VOTRE BULLETIN - Novembre 2019

L’ITA compte maintenant plus de 12 000 diplômé(e)s

L’Association des anciennes et anciens de l’ITA, campus de Saint-Hyacinthe et de La Pocatière accueille 222 nouveaux diplômé(e)s. Comme la plupart d’entre vous s’en souviennent, c’est en octobre qu’a lieu à chaque année la remise des diplômes. Cette année, le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, M. André Lamontagne, a participé à la 55e cérémonie de remise de diplômes sur les deux campus de l'Institut de technologie agroalimentaire (ITA).

La Pocatière

M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, et Mme Louise Leblanc, sous-ministre adjointe à la formation bioalimentaire et responsable de l’ITA, entourant les médaillés du MAPAQ : Karen Larose-Labrecque (Techniques équines), Abigaël Senneville (TPHE), Alexis Lemay (GTEA), Alexianne Jacob (TPQA) et Anne-Marie Roy (TPA).

À La Pocatière, ce sont 83 étudiantes et étudiants qui ont terminé avec succès leur programme de formation technique. À cette occasion, le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ) a décerné également des médailles de mérite et des bourses aux diplômés ayant obtenu les meilleurs résultats scolaires, soit une personne dans chacun des cinq programmes d'études collégiales offerts au campus. Cette année, les récipiendaires de ces médailles au campus de La Pocatière sont :

  • M. Alexis Lemay (gestion et technologies d'entreprise agricole),
  • Mme Anne-Marie Roy (technologie des productions animales),
  • Mme Abigaël Senneville (technologie de la production horticole et de l'environnement),
  • Mme Alexianne Jacob (technologie des procédés et de la qualité des aliments),
  • Mme Karen Larose-Labrecque (techniques équines).

Saint-Hyacinthe

Les lauréats des médailles de mérite du MAPAQ, entourés de M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et de Mme Louise Leblanc, sous-ministre adjointe à la formation bioalimentaire et responsable de l'ITA : Nicolas Marquis (TGA), Valérie Lalumière (TPQA), Zacharie Labrecque (PCHO) et Dominic Tremblay (TPA). Absentes sur la photo : Marianne Tétrault-Loiselle (TPHE) et Jessica Messier (GTEA).

Deux semaines plus tard soit le 19 octobre, le ministre Lamontagne participait à la remise des diplômes du campus de Saint-Hyacinthe. Cette fois, c’était pour souligner la réussite des 139 étudiantes et étudiants qui ont terminé avec succès leur programme de formation technique et pour les féliciter de leur persévérance. Là aussi, le MAPAQ a décerné des médailles de mérite et des bourses aux diplômés ayant obtenu les meilleurs résultats scolaires, soit une personne dans chacun des six programmes d'études collégiales offerts au campus. Cette année, les récipiendaires de ces médailles au campus de Saint-Hyacinthe sont :

  • Mme Jessica Messier (gestion et technologies d'entreprise agricole),
  • M. Dominic Tremblay (technologie des productions animales),
  • Mme Marianne Tétrault-Loiselle (technologie de la production horticole et de l'environnement),
  • M. Zacharie Labrecque (paysage et commercialisation en horticulture ornementale),
  • M. Nicolas Marquis (technologie du génie agromécanique),
  • Mme Valérie Lalumière (technologie des procédés et de la qualité des aliments).

Le ministre n’a pas manqué de souligner le fait que, en obtenant leur diplôme d'études collégiales, tous ces finissants deviennent des technologues compétents et qualifiés qui joueront un rôle stratégique en contribuant au développement économique de la société québécoise. « La remise des diplômes de l'ITA représente l'étape ultime du parcours scolaire des étudiants de cet établissement unique. Cette cérémonie trace la ligne de départ d'une vie professionnelle que je leur souhaite aussi passionnante qu'enrichissante. »

L’ITA se distingue des autres établissements qui offrent des programmes similaires en formant chaque année près de 60 % des nouveaux diplômés du secteur des technologies agroalimentaires qui arrivent sur le marché de l'emploi. En offrant certaines techniques collégiales spécialisées et uniques au Québec, l'ITA représente la référence pour l'industrie bioalimentaire. Le nombre de diplômés depuis sa création en 1962 dépasse aujourd'hui les 12 000.


Mort tragique d’une employée du MAPAQ

Une employée du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ), a perdu la vie de façon tragique le 4 octobre dernier sur une ferme de Shawinigan. Madame Sandra Jacob, 35 ans, conseillère en communication dans la région de la Mauricie a perdu la vie lorsque son foulard est demeuré coincé dans l’arbre de transmission d’un tracteur pendant qu’elle faisait un tournage sur la ferme La perle rouge. Cette mère de deux jeunes enfants partageait sa vie avec un producteur agricole.

Une enquête a évidemment été ouverte par la Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST). Une première décision a été annoncée moins de deux semaines plus tard : « Par les pouvoirs qui lui sont conférés par la Loi sur la santé et la sécurité du travail, l’inspecteur interdit le port de vêtements non ajustés, le port de vêtements ou accessoires comportant des parties flottantes et les cheveux longs sans être contenues lors d’intervention sur une ferme agricole à proximité des pièces en mouvement. »

Deux accidents du genre ont eu lieu à quelques jours d’intervalle et impliquant la même pièce d’équipement. À Val-Joli, en Estrie, Rick Lessard-Carrier, 19 ans, est décédé sur la Ferme l’Espoir après que son corps eut été enroulé dans l’arbre de transmission – aussi appelé PTO – qui reliait le tracteur au chargement arrière. L’arbre de transmission est une pièce mécanique qui a la forme d’un tuyau et qui transmet de la puissance d’un véhicule à la charge qu’il transporte à l’arrière en effectuant un mouvement de rotation sur lui-même.


Une ancienne étudiante de l’ITA fait un tabac en Afrique

C’est sous ce titre que la publication « La Terre de chez-nous » a publié récemment un article sur la Sénégalaise Aminata Dominique Diouf qui a obtenu son diplôme de l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA), campus de Saint-Hyacinthe en 2013.

Voici quelques extraits de ce reportage.

Grâce à ses études « au Canada », comme elle dit, elle a développé en Afrique une grande entreprise agricole qui atteint aujourd’hui les 300 hectares. Son chiffre d’affaires frôle les 700 000 $, ce qui est remarquable considérant que la ferme de son père faisait à peine trois hectares au début des années 2000. Le magazine African Business a consacré une pleine page à la jeune agricultrice de 29 ans. Ambitieuse, Aminata veut élever son entreprise au même niveau que les multinationales, elle qui exporte déjà 50 % de sa production en Europe.

Aminata a été applaudie lors de son passage à son ancienne école où elle se souvenait encore de tous les noms de ses professeurs.

De retour au Québec

Aminata attribue une partie de son succès aux techniques agronomiques qu’elle a apprises à l’ITA. C’est pour remercier le personnel enseignant et pour partager son histoire qu’elle est venue donner une conférence à l’Institut le 18 septembre. Tirée à quatre épingles avec son tailleur et ses chaussures rouges, la Sénégalaise a expliqué comment sa décision de quitter son pays pour aller étudier au Canada était atypique pour un Africain, surtout pour une femme. « Il a fallu que je sois entêtée pour venir ici, assure-t-elle. En Afrique, les parents imposent souvent d’être une bonne femme au foyer. Alors vouloir aller étudier à l’étranger et ensuite diriger une entreprise, ce n’est pas habituel. Mais je voulais me former pour changer les choses. Il y a aussi mon père qui m’a toujours soutenue. Je lui suis très reconnaissante », explique-t-elle.

Choc à son arrivée

À sa première session à l’ITA, Aminata a vécu un choc culturel. « En Afrique, on fait tout collectivement : on mange ensemble, on vit ensemble. En Amérique du Nord, c’est individualiste. Je n’étais pas habituée à ça, je me sentais seule, j’avais peur », se souvient-elle. Celle qui disait quand même bonjour à tous les étudiants chaque fois qu’elle entrait dans une classe s’est vite fait des amis. Les professeurs ont également remarqué son désir d’apprendre. « Si elle ne comprenait pas un petit élément, elle venait tout de suite nous voir. C’est une étudiante qui ressortait », se rappelle l’enseignant Martin Gosselin.

Carence en phosphate, ravages aux cultures causés par les insectes, maladies fongiques, mauvaises herbes… « J’ai compris à Saint-Hyacinthe c’était quoi tout ça, et qu’il y avait des solutions. Quand je suis revenue en Afrique, la production totale de la ferme est passée d’une tonne de mangues à plus de 300 tonnes aujourd’hui », indique fièrement l’agricultrice.

Elle ajoute que les notions apprises lui permettent aussi de livrer ses fruits selon les exigences internationales. « Par la grâce de Dieu, j’ai pu m’inscrire à Saint-Hyacinthe. C’est une école qui m’a beaucoup marquée. Je remercie l’ITA en mon nom et au nom de mon village », insiste-t-elle, spécifiant que les écoles d’agriculture de son pays enseignent de vieilles techniques qui ne permettent pas aux jeunes d’exercer une agriculture performante et rentable.


Investissements de 80 M$ du MAPAQ : précisions

À la suite de notre article publié en septembre et intitulé « Des investissements à venir de 80 millions à l’ITA », le directeur du campus de Saint-Hyacinthe, monsieur Michel Ste-Marie a tenu à apporter la précision suivante.

Cette somme ne concerne pas seulement l’ITA. Le montant de 80 M$ est prévu pour la modernisation d’infrastructures de formation et d’innovation de l’Institut de technologie agroalimentaire, de laboratoires d’analyse et de centres d’expertise et de recherche affiliés au ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.


EN VRAC

Le bronze pour deux anciens de l’ITA

Crédit photo : Nathalie Toulouse/MAPAQ

Deux anciens de l’ITA-campus Saint-Hyacinthe ont remporté la médaille de Bronze au concours de l’Ordre national du mérite agricole qui mettait en évidence cette année, les producteurs de l’Abitibi-Témiscamingue–Nord-du-Québec, du Bas-Saint-Laurent, de la Côte-Nord, de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine et du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Situées au nord de Rouyn-Noranda, les Serres Gallichan ont en effet remporté la 1ère médaille de bronze.

Tous les deux diplômés de l’Institut de technologie agroalimentaire, campus St-Hyacinthe (PCHO – 2005) Marie-Claude Raiche et Samuel Gadoury Boissé ont pris la relève des parents de ce dernier en 2007. Depuis une trentaine d’années, les Serres Gallichan annoncent l’arrivée de la belle saison avec leur production d’annuelles, de vivaces et d’arbustes. Un virage vert a été entrepris pour les 75 000 pieds carrés de production et de vente avec l’installation d’un chauffage à la biomasse. De plus, le recours aux pesticides a été réduit de 95 % et les fertilisants de synthèse, éliminés.

Le concours de l'Ordre national du mérite agricole (ONMA) est un événement d'envergure organisé par le MAPAQ et consacré exclusivement aux entreprises agricoles. Pour les besoins du concours, le Québec est divisé en cinq grands territoires en raison de son immensité. Ainsi, chacun d'eux accueille l'ONMA tous les cinq ans. Par exemple, l’an prochain, le concours se tiendra sur le territoire de la Montérégie Est et Ouest.

Préparez vos pelles

Le site américain Accuweather a publié récemment son aperçu de l’hiver au Canada et au Québec. En un mot : beaucoup de neige pour le Québec en première partie de l’hiver. Selon les météorologues d’Accuweather, ce sera « un hiver neigeux pour une grande partie de la province, incluant Montréal et Québec, en raison d’un nombre accru de tempêtes gorgées d’humidité qui arriveront du sud-ouest ».

Prix de consolation

Toute cette neige ne sera pas accompagnée de froid glacial comme chez nos voisins des Prairies. La majeure partie de l'hiver ne devrait pas être particulièrement froid au Québec. «Cependant, il y a une chance que la fin de l'hiver soit glaciale, tandis que le chemin suivi par les tempêtes se déplacera vers la côte de l'Atlantique», selon l'entreprise américaine. En résumé: plein de neige au début de l’hiver et froid plus intense vers la fin de l’hiver. On devrait en avoir pour notre argent.


Les portes ouvertes, c’est pour très bientôt

Vous connaissez quelqu’un qui est passionné par l’agriculture, les équipements et la machinerie, l’horticulture, l’agroenvironnement, le domaine équin ainsi que la qualité et la transformation des aliments et qui désire y faire carrière ? Voici une belle occasion de l’amener aux « Portes ouvertes » de l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) au cours desquelles les visiteurs peuvent découvrir les différents programmes de formation offerts dans ces domaines.

Ces portes ouvertes auront lieu :

  • le samedi 9 novembre, de 10 h à 14 h, au campus de La Pocatière
  • le samedi 16 novembre, aux mêmes heures, au campus de Saint-Hyacinthe.

Rappelons que L’ITA propose sept programmes de formation technique, dont plusieurs sont uniques au Québec :

  • Gestion et technologies d’entreprise agricole (profils axés sur la production biologique au campus de La Pocatière);
  • Technologie des productions animales;
  • Technologie du génie agromécanique (seulement au campus de Saint-Hyacinthe);
  • Technologie de la production horticole et de l’environnement;
  • Paysage et commercialisation en horticulture ornementale (seulement au campus de Saint-Hyacinthe);
  • Technologie des procédés et de la qualité des aliments;
  • Techniques équines (seulement au campus de La Pocatière).

Les journées portes ouvertes constituent des occasions uniques pour se familiariser avec un milieu collégial dynamique. Vous pourrez discuter avec des membres du personnel et des étudiants, visiter les nombreuses installations pédagogiques et aussi découvrir l’ensemble des activités et des services qui sont offerts aux étudiantes et aux étudiants de l’Institut.

En participant aux portes ouvertes, vous courez également la chance de gagner l’une des trois bourses d’une valeur de 190 dollars, représentant l’équivalent des droits d’inscription pour un trimestre à l’ITA. Vous trouverez plus de détails sur les journées portes ouvertes et sur l’Institut à l’adresse Internet www.ita.qc.ca/po. Les portes ouvertes de l’ITA sont l’occasion idéale de valider un choix de carrière et de découvrir l’établissement par excellence au Québec en matière de formation agroalimentaire.


Nouvelle offre de formation continue à L’ITA

Vous voulez vous perfectionner ou acquérir des compétences complémentaires à votre formation? Voici votre chance. L’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) vient de dévoiler sa nouvelle offre de formation continue. Ainsi, un large éventail d’activités de perfectionnement sera proposé au cours de l’année 2019-2020 dans les secteurs agricole, alimentaire, horticole et équin.

Pour répondre aux besoins des personnes ou des entreprises qui désirent actualiser leurs connaissances, l’ITA offre des activités de perfectionnement non seulement aux campus de La Pocatière et de Saint-Hyacinthe, mais aussi en ligne et dans d’autres régions du Québec. La liste complète des activités est publiée au www.ita.qc.ca/formationcontinue.

Éric Labonté, MAPAQ

Nouveautés pour le secteur agricole

  • Une série de formations sur la certification biologique qui s’adresse aux producteurs de lait, d’œufs, d’agneaux, de porcs, de poulets et de bœufs débutera à la fin de novembre et se poursuivra toute l’année.
  • En matière de production végétale, des formations seront offertes pendant l’automne sur la permaculture, une forme d’agriculture qui vise à s’inspirer de la nature pour développer des systèmes agricoles en interaction. Les activités traiteront de design en milieu urbain, de design en milieu agricole et du choix des végétaux.
  • Une nouvelle formation intitulée Introduction à la santé globale des sols sera proposée cet hiver.

Éric Labonté, MAPAQ

Nouveauté pour le secteur alimentaire

  • Une vingtaine de formations en management de la sécurité alimentaire ont été révisées, pour soutenir les entreprises qui sont appelées à mettre en œuvre progressivement la nouvelle réglementation sur la salubrité des aliments au Canada. Ces activités s’échelonneront jusqu’à l’été 2020.

Rappelons que l’ITA est un établissement d’enseignement collégial qui offre sept programmes de formation technique liés aux activités agricoles, horticoles, agroenvironnementales, équines et alimentaires, ainsi qu’un service de formation continue dans ces secteurs d’activité.

Pour de plus amples renseignements ou pour effectuer une inscription, visitez le site Internet www.ita.qc.ca/formationcontinue ou communiquez avec l’ITA, par courriel à formation.continue@mapaq.gouv.qc.ca ou par téléphone au 1 800 383-6272.


Une image vaut mille maux !

Le traceur de ligne suivait un orignal


Fallait y penser

  • Réunion de parents jeudi dernier pour 30 élèves : c’était complet. 120 parents.
     
  • Moi, je ne me pose jamais aucune question. Je me demande d'ailleurs bien pourquoi ?
     
  • À chaque mariage, les plus vieux me demandent si je serai la prochaine : j’ai décidé de faire la même chose aux enterrements.

Saviez-vous que …

Le Canada affiche six fuseaux horaires

Dans la nuit de samedi à dimanche, nous avons reculé les horloges d’une heure afin de revenir à l’heure normale. Le soleil se couchera donc maintenant une heure plus tôt le soir mais nous gagnerons une heure de clarté le matin.

Presque tout le Canada change l’heure au printemps et à l’automne sauf la Saskatchewan et une partie de la Colombie-Britannique qui gardent la même heure tout au long de l’année. Ce qui n’empêche pas le Canada d’avoir six fuseaux horaires.

D’ouest en est, il s’agit des fuseaux horaires du Pacifique, des Rocheuses, du Centre, de l’Est, de l’Atlantique et de Terre-Neuve. Il y a donc 4 heures et demie de différence entre Vancouver et Saint-Jean, Terre-Neuve, presque autant que Montréal-Paris.

Finalement, ce n’est pas toute la planète qui change d’heure : on dénombre plus de 70 pays qui le font par exemple les États-Unis, le Mexique, Cuba, le Brésil, le Chili, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et la plupart des pays d’Europe.


Le truc du mois

Pour protéger vos portes d’auto

Ça y est ! L’hiver est à nos portes et bon nombre de québécois profitent du mois de novembre pour monter l’abri « tempo ». Mais c’est bien beau garer son auto dans un abri ou dans un garage pour la protéger, si vous cognez votre porte à chaque fois sur un des montants de l’abri ou sur le mur de votre garage, s’il est étroit.

Utilisez des isolants à tuyaux sur un des montants de votre abri « Tempo » de sorte que vous ne craindrez pas d’égratigner votre porte d’auto à chaque fois que vous l’ouvrez.

Même chose pour le garage. Vous pouvez utiliser des isolants à tuyaux ou les frites en mousse avec lesquelles les enfants ont joué tout l’été dans la piscine.


Peut-être l’avez-vous connu …

Cette chronique « Peut-être l’avez-vous connu … » vise à souligner le décès d’un(e) ancien(ne) de l’ITA ou quelqu’un de proche de l’Institut. Si vous connaissez quelqu’un qui a fréquenté l’ITA ou qui a un lien avec notre Institut et qui est décédé, vous pouvez nous faire parvenir de l’information (vérifiable) au sujet de cet événement via notre courriel : associationanciens.ita@gmail.com .

Madame Catherine Lalanne - Nous avons appris le décès de madame Catherine Lalanne, survenu le 4 septembre dernier à l'Hôpital de l'Enfant-Jésus de Québec, des suites d’une maladie. Âgée de 37 ans seulement, elle était diplômée de l’ITA, campus de La Pocatière (TPA-2003) et résidait maintenant à Cacouna. Elle laisse notamment dans le deuil son conjoint, Mathieu Filion, lui-même un ancien du programme GEEA, de même que ses trois filles Jade, Agathe et Annabelle.

Une pensée !


Nos offres d’emploi ce mois-ci

Vous avez une offre d’emploi ou vous connaissez quelqu’un qui recherche du personnel qualifié? L’Association des anciennes et anciens de l’ITA qui regroupe tous les diplômé(e)s des campus St-Hyacinthe et La Pocatière, peut vous aider via son service d’offres d’emploi.

Visitez nos deux sites internet aux adresses suivantes : anciensita.ca/saint-hyacinthe ou http://aaaita.ca/ ou communiquez directement avec l’une des deux associations au : (450) 778-6504 poste 6298 ou (418) 856-1110 poste 1378. Il nous fera plaisir de vous aider. Nos offres d’emploi sont maintenant aussi diffusées sur Facebook.

Offres d’emploi disponibles actuellement:

Nous joindre

Campus de
Saint-Hyacinthe

3230, rue Sicotte (Local AA-205)
Saint-Hyacinthe (Québec)
J2S 2M2
450-778-6504, poste 6298
associationanciens.ita
@gmail.com

Facebook

Campus de
La Pocatière

401, rue Poiré
La Pocatière (Québec)
G0R1Z0
418 856-1110 poste 1378
permanence.anciens
@gmail.com