28 avril 2023

Opération Inflation : Résultats du sondage du Bas-Saint-Laurent
(Claire P. Beaulieu)

La Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent s’inquiète des résultats alarmants du sondage de l’UPA sur les conséquences de l’inflation, de l’augmentation des coûts de production et de la flambée des taux d’intérêt sur la situation financière des fermes.

En effet, la région n’échappe pas à la crise en devenir dans le secteur agricole. L’augmentation du coût des intrants de production (+27,9 %) a été près de trois fois supérieure à l’inflation (+11,8 %) entre janvier 2020 et septembre 2022. La hausse importante et rapide des taux d’intérêt, depuis janvier 2022, a quant à elle aggravé de beaucoup la situation. En raison de leur endettement plus élevé, les jeunes de la relève risquent d’être parmi les plus affectés par cette flambée des taux.

Les résultats du sondage pour le Bas-Saint-Laurent dévoilés en conférence de presse le 18 avril dernier démontrent bien les difficultés dont font face actuellement les entreprises agricoles. Près de cinq entreprises sur dix anticipent une détérioration de leur situation au cours des douze prochains mois et une ferme sur dix prévoit même de fermer définitivement ses portes dans l’année qui vient.

Les deux paliers de gouvernement ont déjà été interpellés par l’UPA pour mettre en place une mesure d’urgence ou à défaut, un programme d’aide financière administré par La Financière agricole du Québec et de bonifier la protection contre la hausse des taux d’intérêt pour toute la relève. La région a également fait des démarches auprès du ministre de l’Agriculture et des députés pour confirmer les besoins criants de producteurs agricoles. Ces derniers sont invités à contacter les députés de leur circonscription pour témoigner de leur situation et ainsi, maintenir la pression sur les élus. La Fédération régionale réclame des actions concrètes des gouvernements pour donner de la liquidité aux entreprises agricoles.

Des représentants de la Fédération régionale et de l’Union ont tenu une conférence de presse, au cours de laquelle des producteurs ont fait part des impacts de la conjoncture sur leur entreprise.

Rencontres avec les députés et les ministres de la CAQ
(Johanne Laplante)

La Fédération régionale poursuit son travail d’information et de conscientisation auprès des élus provinciaux et fédéraux. Ainsi, le 13 avril dernier, trois membres du conseil d’administration ont rencontré le ministre de l’Agriculture, M. André Lamontagne et le député de la Côte-du-Sud, M. Mathieu Rivest. Le président, M. Gilbert Marquis ainsi que Mme Nathalie Lemieux, 1re vice-présidente et Mme Mylène Bourque, présidente du Syndicat de l’UPA de Kamouraska, ont sensibilisé les élus sur les enjeux et problématiques que vivent actuellement les entreprises agricoles. Le régime transitoire et les Aboiteaux ont aussi été abordés ainsi que la levée du moratoire des bassins dégradés, REA pour le Kamouraska. M. Lamontagne a souligné qu’il travaille avec son collègue, le ministre de l’Environnement, pour que les exigences ministérielles soient réalistes et applicables. Des résultats du sondage Agriculture sous pression, au niveau régional, lui ont été transmis. Les représentants de la Fédération régionale ont attiré son attention sur la nécessité que des actions gouvernementales soient mises de l’avant très rapidement.

Le 21 avril dernier, à Rimouski, lors d’une rencontre du caucus des députés de la CAQ-Bas-Saint-Laurent, à laquelle étaient présents : Mme Maïté Blanchette Vézina, ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et députée de Rimouski, Mme Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup-Témiscouata ainsi que M. Mathieu Rivest, ces mêmes résultats du sondage Agriculture sous pression ont été présentés. M. Marquis et Mme Lemieux ont mis en lumière l'importance d’obtenir très rapidement des programmes spécifiques, adaptés aux régions périphériques. Nous avons convenu de reprendre les discussions dans 4 à 6 semaines.

Des rencontres sont également prévues avec le député de Matane-Matapédia, M. Pascal Bérubé et les députés fédéraux de notre territoire soit Mme Kristina Michaud, MM. Maxime Blanchette-Joncas et Bernard Généreux.

Crise financière : n'hésitez pas à demander de l'aide
(Éric Pagé)

Le comité Financement et assurances agricoles de la Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent a rencontré, au cours des derniers jours, les représentants régionaux de la Financière agricole du Québec (FADQ). L’objectif étant de faire le point sur les conséquences de l’inflation, de l’augmentation des coûts de production et la flambée des taux d’intérêt, des éléments influençant grandement la situation financière des fermes. Les représentants de la FADQ se sont montrés sensibles aux difficultés financières que vivent un nombre non négligeable de fermes de la région.

Par conséquent, si vous anticipez que la situation financière de votre entreprise se détériorera de façon significative dans les prochains mois, nous vous invitons à communiquer avec votre conseiller en financement de votre centre de services de la FADQ afin de discuter des différentes options s’offrant à vous. L’important, c’est de trouver des solutions adaptées à votre réalité qui pourront, à court terme, atténuer les effets de la crise.

En parallèle, toute la structure de l’UPA est à pied d’œuvre pour continuer à mettre de la pression sur les instances gouvernementales afin que de nouveaux outils ou programmes soient instaurés pour permettre à nos entreprises de passer à travers la crise. Comme tous les cycles économiques, la situation finira par s’améliorer, mais dans ce contexte économique très lourd pour beaucoup d’entrepreneurs agricoles, l’important est que vous puissiez traverser cette période en utilisant toutes les ressources disponibles.

40 000 entailles pour la relève acéricole
(Mylène Gagnon)

Les Producteurs et productrices acéricoles du Québec augmentent annuellement, pour favoriser la relève en acériculture, le contingent intérimaire global de 40 000 entailles, ou de son équivalent calculé selon la moyenne des rendements de référence par entaille des cinq années précédant celle au cours de laquelle ils sélectionnent des projets.

Le programme de relève vise à attribuer un contingent à une personne, ou à une société, afin qu’au cours des deux années de commercialisation suivant l’acceptation de son projet :

  • Elle exploite une érablière de 500 à 25 000 entailles pour laquelle aucun contingent n’était jusqu’alors émis;
  • Elle ajoute au plus 10 000 entailles à une érablière, pour laquelle un contingent est déjà émis, qu’elle achète ou loue au plus tard dans l’année qui suit sa demande.

Date limite pour déposer sa candidature: 15 juin 2023

Consultez les critères d’admissibilité et toutes les informations sur le programme sur le site web des PPAQ: https://ppaq.ca/fr/contingent-acericole/releve-acericole/

Préoccupation face à la grève des fonctionnaires fédéraux
(Ferme Québec - Justine Lussier)

La grève de certains employés du gouvernement fédéral soulève des inquiétudes avec l’arrivée imminente d’un nombre élevé de TET. Les communications reçues du gouvernement précisent que : « En cas de perturbation du travail au sein de la fonction publique, les activités de traitement seront axées sur les demandes des employeurs dans les services de l’agriculture primaire, du traitement des aliments, du camionnage, et les services liés à la santé.

Effarouchement des oiseaux migrateurs
(Chantale Dubé)

La Fédération régionale a débuté le service d’effarouchement des oies et des bernaches grâce au Programme d'effarouchement des oiseaux migrateurs en milieu agricole. Celui-ci sera offert du lundi au vendredi, jusqu’aux environs de la fin mai. Les effaroucheurs parcourent les secteurs vulnérables dans les MRC de Kamouraska, Rivière-du-Loup, et Les Basques. Vous pouvez signaler leur présence sur les terres agricoles en contactant Chantale Dubé au 1 800 463-8001 ou au 418 856-3044 poste 4156 au Centre de services de La Pocatière.

Malgré le travail des effaroucheurs, il est possible que des champs subissent des dommages. Dans ce cas, il est important d’aviser un représentant de La Financière agricole du Québec (FADQ), dès le constat des dommages aux champs, soit au Centre de services à Rimouski au 418 727-3586 ou à Rivière-du-Loup au 418 867-1264. Une indemnité est versée lorsque les dommages causés par la sauvagine engendrent une perte de rendement supérieure à 10 %, que vous soyez un producteur agricole adhérent ou non aux différents programmes de La FADQ. www.fadq.qc.ca/fileadmin/fr/sauvagine/resume-sauvagine-2023.pdf

Afin de contrôler la population de la Grande Oie des neiges et réduire les dommages agricoles, la chasse printanière à l'oie est permise jusqu’à la fin mai sur les terres agricoles. Advenant que vous preniez des arrangements avec des chasseurs, nous vous suggérons de leur faire signer un dégagement de responsabilité morale (https://fedecp.com/media/7938/entente-chasseur-proprietaire.pdf). Soyez vigilant avant de conclure des ententes d’exclusivité de chasse. De plus, nous vous invitons à communiquer avec nous si vous donnez accès à vos terres à des chasseurs et que vous ne souhaitez pas la présence d’effaroucheur; ceci nous aidera à mieux planifier le service d’effarouchement et à favoriser la cohabitation entre chasseurs et effaroucheurs.

Le Programme d’effarouchement des oiseaux migrateurs en milieu agricole est financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

Le Service canadien de la faune tient à informer les agriculteurs
(Environnement et Changement climatique Canada - Chantale Dubé)

Chaque printemps, durant les derniers jours d’avril, une équipe du Service canadien de la faune d’Environnement et Changement climatique Canada survole les basses-terres du Saint-Laurent pour y dénombrer les couples de sauvagine (canards et oies). À bord d’un hélicoptère, l’équipe survole à basse altitude tous les plans d’eau susceptibles d’abriter des canards (p. ex. rigoles, étangs de ferme, ruisseaux, lacs et rivières) dans 144 parcelles de 4 km². Le pilote veille à éviter de survoler les bâtiments et les élevages d’animaux sensibles au bruit (p. ex. visons, émeus) et tente de minimiser le dérangement des animaux de ferme. Le survol d’une parcelle dure de 5 à 10 minutes environ. Les observateurs à bord de l’hélicoptère identifient alors toutes les espèces de canards présentes et les comptent. Parmi les espèces de sauvagine les plus abondantes dans les basses-terres du Saint-Laurent, on trouve le Canard colvert, dont le mâle arbore une belle tête vert métallique, la Bernache du Canada et le Canard branchu. De retour au bureau de Québec, l’équipe compile les données qui servent à dresser le portrait de l’abondance, de la répartition et de la tendance des populations de sauvagine du Québec.

Nous pensons commencer notre survol vers le 27 avril. L’hélicoptère sera blanc.

Un nouveau président pour Les Éleveurs de porcs
(Marc Tétreault)

M. Étienne Migneault, propriétaire de la Ferme Clauvie-Porcs (2002) inc. de Saint-Donat, est le nouveau président des Éleveurs de porcs du Bas-Saint-Laurent, depuis l'assemblée générale tenue le 11 avril dernier. Il succède à M. Pascal Rioux qui a occupé le poste de président de 2016 à 2023. Les Éleveurs de porcs du Bas-Saint-Laurent félicitent M. Migneault pour sa nomination et remercient M. Rioux pour son implication comme représentant régional.

La biodiversité, ça n'est pas seulement pour les grenouilles : un premier webinaire réussi
(Mylène Gagnon)

Ce premier webinaire d’une série de quatre se voulait une introduction à la biodiversité en milieu agricole. Il a permis de définir : c’est quoi la biodiversité? À quoi ça sert? Et de répondre aux questions : L’agriculture et la biodiversité, est-ce que c’est compatible? Qu’est-ce qu’on peut faire à la ferme pour favoriser la biodiversité?

L’importance de la biodiversité
La biodiversité, c’est la diversité de tout ce qui est vivant sur la planète. Cette biodiversité rend de nombreux services à l’humain tels que des biens matériels (aliments), la régulation de processus environnementaux (pollinisation des cultures par les abeilles, la filtration de l’eau et de l’air par les plantes) ou des apports immatériels (beauté de la nature, appréciation d’une randonnée en forêt). C’est ainsi que M. Dominique Berteaux, professeur au département de biologie, chimie et géographie à l’Université du Québec et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en biodiversité nordique s’est adressé aux participants le 13 avril dernier. Il a mentionné qu’il y a un déclin généralisé de la biodiversité et que la destruction des habitats et la surexploitation de certaines espèces sont deux des cinq principales causes de ce déclin. Pour rétablir et maintenir les services rendus par la biodiversité, il est important d’adopter des pratiques favorables à la biodiversité et le milieu agricole n’y échappe pas.

Des aménagements inspirants à la Ferme Lizière
Les participants ont pu apprécier l’enthousiasme de Mme Amélie St-Jean, co-propriétaire de la Ferme Lizière à L’Isle-Verte. Elle a présenté sa démarche et les nombreux aménagements favorables à la biodiversité réalisés au cours des dernières années. Amélie s’exprime avec passion à propos des réalisations à la ferme : «Au lieu de nourrir les plantes au champ, on aménage notre ferme et on travaille pour ramener du vivant dans le sol afin que celui-ci nourrisse les plantes qu’on cultive.»

Les conseillères Mme Annie Dubé du Groupe Pousse-Vert et Mme Noémie Côté de JMP Consultants, ont abordé le rôle d’accompagnement dans la réalisation des projets favorisant la biodiversité et présenté quelques aménagements réalisés chez quelques entreprises agricoles de la région.

Ce webinaire fait partie du projet « L’agriculture complice de la biodiversité » et s’inscrit dans le Plan d’agriculture durable du gouvernement du Québec. Le projet est financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec dans le cadre du programme Prime-Vert.

Il s’agit d’un projet collectif porté par 4 fédérations régionales de l’UPA soit celle de l’Abitibi-Témiscamingue, de Gaspésie-Les Îles, de Capitale-Nationale-Côte-Nord et du Bas-Saint-Laurent. Il a pour objectif principal de favoriser l’amélioration de la biodiversité en milieu agricole et de mettre en valeur les aménagements et les pratiques réalisés par les producteurs et productrices agricoles des quatre régions.

Vous pouvez visionner le webinaire en cliquant ici.

Annonce du MELCCFP concernant l’accompagnement des exploitants agricoles dans les nouvelles exigences visant l’agriculture en littoral
(Mylène Gagnon)

Le ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) a annoncé qu'il proposera, dans les prochains mois, une modification réglementaire afin de donner plus de temps aux exploitants agricoles, soit jusqu'en 2027, pour s'adapter à la nouvelle exigence d'établir des bandes végétalisées de cinq mètres le long des cours d'eau et de trois mètres le long des fossés, dans le cadre du régime transitoire de gestion des zones inondables, des rives et du littoral.

Entretemps, des distances minimales standards s'appliquent aux abords des fossés et des cours d'eau. Toutes les autres conditions prévues par le régime transitoire demeurent en vigueur, notamment le dépôt de la déclaration de conformité. Ces conditions visent à diminuer graduellement les impacts des activités agricoles dans ces milieux fragiles importants.

De plus, en ce qui concerne la culture en littoral dans des secteurs endigués à des fins agricoles, le MELCCFP collabore avec le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ) afin de documenter la présence de ces ouvrages sur le territoire québécois. Plus précisément, dans les secteurs du Haut-Richelieu et du Kamouraska, des études visant à évaluer les caractéristiques écologiques et hydrologiques des terres endiguées, ainsi que l'état des ouvrages, seront entreprises à court terme par le MAPAQ.

Pour lire le communiqué complet du gouvernement, cliquez ici.

C’est parti pour Le Germoir, parcours d’incubation!
(Yan Gosselin)

Photographe : Mme Audrey Mainguy

Près de 3 mois après son lancement, l’incubateur d’entreprises agricoles Le germoir, parcours d’incubation accueille ses premiers participants.

C’est à la Ferme Becqué inc, qu’on a pris connaissance des quatre entreprises participantes. La ferme-hôte est d’ailleurs une entreprise laitière qui vient tout juste d’être cédée à une relève non-apparentée. La Buissonnière herboristerie s.e.n.c. est située dans la municipalité de Saint-Épiphane, dans la MRC de Rivière-du-Loup. Les deux autres entreprises sélectionnées proviennent de La Matapédia. La Ferme des cinq sens inc. est située à Sayabec et produit des bovins de boucherie et des légumes et Les entreprises St-Laurent division agricole, à Saint-Léon-le-Grand élèvent des bovins et mettront sur pied une production serricole. Les huit entrepreneurs sont très motivés à débuter le parcours d’incubation. Ils auront la chance d’obtenir des conseils agricoles personnalisés, de participer à de la formation, d’obtenir un profil de personnalité, d’avoir accès à des mentors, du réseautage et même un soutien à l’établissement. Au total, les services ont une valeur de 15 750 $ et ils ne coûtent que 1 500 $ par entreprise.

Bien que les bovidés soient à l’honneur dans cette première cohorte, rappelons que tous les types de production agricole sont acceptées dans Le Germoir, parcours d’incubation. Les inscriptions sont d’ailleurs en cours pour la 2e cohorte (date limite le 30 avril) qui débutera à l’automne. Les MRC visées sont Kamouraska, Les Basques, Témiscouata, Rimouski-Neigette, La Mitis et La Matanie. Pour en savoir plus : http://tcbbsl.org/incubateur

Lancement du Plan directeur pour le développement de l'acériculture en forêt publique
(Mylène Gagnon)

La ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Mme Maïté Blanchette Vézina, a rendu public mardi, le Plan directeur ministériel pour le développement de l'acériculture en forêt publique. Ce dernier a pour objectif d'encadrer, à l'échelle provinciale, le développement de cette industrie. Il est accompagné d’un plan d'action visant à assurer la mise en œuvre des orientations retenues.

Après plusieurs mois d’attente, les Producteurs et productrices acéricoles du Québec (PPAQ) se sont dits satisfaits, qualifiant les orientations stratégiques retenues de : «bonne première étape». «Tous les partenaires doivent maintenant travailler dans le sens du développement de l’acériculture en forêt publique et dans un esprit de mixité des usages», a expliqué M. Luc Goulet, président des PPAQ.

Votre Fédération au rendez-vous de la construction biosourcée au Bas-Saint-Laurent!
(Yan Gosselin)

Le 25 avril dernier, l’Hôtel Lévesque accueillait 37 acteurs reliés aux différentes filières des matériaux écologiques offrant d’innombrables innovations dans le secteur de la construction résidentielle et commerciale. La Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent tenait, conjointement avec ses partenaires clés, un kiosque présentant les quatre cultures offrant des opportunités d’affaires.

L’équipe expliquait entre autres aux visiteurs, l’avenir de la culture du chanvre, du lin, du panic érigé et de l’asclépiade sur l’ensemble du territoire bas-laurentien. Certaines parties de ces plantes pourront être intégrées dans des matériaux biosourcés afin de remplacer les traditionnels matériaux au bilan carbone moins reluisant. L’organisation présentait également 6 conférences/panel de discussion aux visiteurs afin d’approfondir la vision et les opportunités du secteur.

Un remerciement particulier est adressé aux partenaires présents au kiosque des agromatériaux, tous dévoués à faire la promotion du secteur agricole :

  • Mme Chantal Ouellet, agente de développement à la MRC du Témiscouata
  • Mme Marie-Noël Breton de Coop Monark
  • Mme Caroline Côté-Beaulieu de JMP Consultants
  • M. Jonathan Ferté, agent de développement à la MRC de La Mitis et soutien d’Innolin
  • M. David Dupont de l’Institut de recherche en économie contemporaine (IREC)
  • M. Jacques Boucher d’Agroénergie de l’Est
  • M. Quentin Bellanger d’Écosphère
 

Fédération de l’UPA du
Bas-Saint-Laurent

284, rue Potvin
Rimouski (Québec)  G5L 7P5
418 723-2424 ou 418 856-3044
1 800 463-8001
bas-saint-laurent@upa.qc.ca

Centre de services de
La Pocatière

1120, 6e Avenue, bureau 100
La Pocatière (Québec)  G0R 1Z0

Centre de services de
Saint-Antonin

125, rue du Carrefour
Saint-Antonin (Québec)  G0L 2J0

 

Volume 7, Numéro 9