Sainte Thérèse de l’Enfant-jésus : « Ma vocation, c’est l’amour ». affirmait l’humble carmélite de Lisieux qui, depuis sa mort, connait un rayonnement extraordinaire. Docteure de l’église depuis 1997.
Bienheureux Antoine Chevrier : Touché par la misère du quartier de la Guillotière, ce prêtre Iyonnais fonda la Société du Prado pour venir en aide aux plus pauvres. Béatifié en 1986.
Sainte Emilie de Villeneuve : Fondatrice en 1836 de la congrégation des Sœurs de l ’Immaculée Conception de Castres, « pour la gloire de Dieu et le bien corporel et spirituel des pauvres ». Canonisée en 2015.
Saint François d’Assise : Canonisé deux ans seulement après sa mort, le fondateur des frères mineurs est, depuis près de huit siècles, l’un des saints les plus aimés.
Sainte Faustine Kowalska : « Nous ressemblons le plus à Dieu lorsque nous pardonnons a notre prochain », écrivait cette religieuse polonaise, apôtre de la Divine miséricorde. Canonisée en 2000.
Bienheureuse Marie-Rose : Elle fonde à Longueuil, en 1843, la congrégation des Sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie, vouée à la formation intellectuelle, sociale et religieuse des jeunes filles. Elle meurt le 6 octobre 1849. Béatifiée par Jean-Paul II le 23 mai 1982.
Bienheureux Jean Hunot : Comme des centaines d’autres prêtres, ce chanoine du diocèse de Sens fut déporté sur un bateau-prison, en rade de Rochefort. Il y mourut, épuisé par les mauvais traitements, la faim et la maladie. Béatifié en 1995.