28 juin 2024

« Un point de départ »
(Nathalie Lemieux)

La date du 13 juin était attendue. Après des mois de mobilisations dans tout le Québec, tous étaient impatients de connaître le soutien financier que nous réservait le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, André Lamontagne.

Ce soutien, qui s’élève à 233,6 M$, est ventilé à travers six mesures phares, dont quatre auront un impact concret auprès des entreprises agricoles du Bas-Saint-Laurent. Du nombre : les allégements réglementaires et administratifs qui se déclinent en une liste de quatorze points; l’adaptation du programme Sécuri-Taux Relève pour contrer la hausse des taux d’intérêt; la bonification de l’initiative d’urgence; un meilleur soutien financier afin d’aider les entreprises agricoles à faire face aux changements climatiques. Je vous invite à consulter plus en détail le contenu de cette annonce sur le site provincial de l’Union des producteurs agricoles.

De ces mesures, plusieurs sont des demandes de longue date de l’UPA. En ce sens, le soutien dévoilé par le ministre Lamontagne est « un point de départ », il reste donc encore beaucoup de travail à faire. Les discussions sur l’Initiative Agri-relance ne sont pas terminées et aucune mesure n’est spécifiquement destinée aux régions périphériques, sauf celle concernant le soutien complémentaire accordé à l’Abitibi-Témiscamingue en lien avec la sécheresse exceptionnelle vécue en 2023.

Ainsi, je peux comprendre que pour certains d’entre vous cette annonce donne l’impression d’une victoire douce-amère. Nous avons été la première région à nous mobiliser au Québec et de manière impressionnante. Ne serait-ce qu’en matière de transport, c’est un fait avéré que les productrices et producteurs agricoles bas-laurentiens sont désavantagés par rapport aux régions centrales. Il faudra donc redoubler d’efforts, de concert avec nos partenaires régionaux, afin de continuer à faire entendre notre voix auprès du gouvernement. Notre travail consiste à nourrir le Québec. En ce sens, l’agriculture doit être considérée par nos élus comme le socle de notre société.

Par cette annonce, le ministre répond aux demandes à court terme de notre organisation. En revanche, gardons en tête que notre stratégie provinciale, elle, se veut à moyen et long terme. Ne perdons pas espoir et demeurons mobilisés. D’autres occasions, comme le renouvellement prochain de la Politique bioalimentaire et les suites de la consultation sur l’aménagement du territoire et les activités agricoles, nous permettront de faire entendre notre voix. Comme disait le joueur de baseball Yogi Berra, « ce n'est pas terminé tant que ce n'est pas terminé »!

L’été est maintenant bien installé, nos champs et nos animaux nous tiendront passablement occupés pour les prochains mois. Profitons de ces moments à exercer un métier qui nous passionne pour recharger nos batteries. En temps et lieu, je vous tiendrai informé des prochaines étapes qui nous attendent. D’ici là, n’hésitez pas à me contacter pour me faire part de vos préoccupations.

Bon été à vous tous!

Un 100e réussi au Bas-Saint-Laurent
(Maxime Paradis)

Les festivités du 100e anniversaire de l’Union des producteurs agricoles se sont déroulées sans anicroche et sous une météo des plus clémentes le 22 juin dernier, à La Pocatière. Le marché public, le cocktail dînatoire, le dévoilement de l’exposition Du cœur au ventre depuis 100 ans qui se poursuit jusqu’au 18 août et la projection extérieure du court métrage Habiter la terre sur l’arche agricole entre le 22 et le 25 juin ont ponctué ces festivités.

La Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent remercie tous les producteurs agricoles d’avoir contribué à la réussite de cette journée. Un merci tout spécial à nos partenaires : l’Institut de technologie agroalimentaire du Québec, le Musée québécois de l’agriculture et de l’alimentation, Développement économique La Pocatière, le Centre de développement bioalimentaire du Québec et la Ville de La Pocatière. Leur implication est une part importante de la réussite de cette journée. Longue vie à l’Union des producteurs agricoles et bon 100 ans!

Bilan hydrique du Bas-Saint-Laurent
(Yan Gosselin)

Selon le site Agrométéo, la quantité de précipitation reçue entre le 1er mai et le 25 juin 2024 varie de 66 mm (Saint-Éloi) à 131 mm (Saint-Gabriel-de-Rimouski). Cette quantité d’eau est inférieure aux autres régions du Québec, excepté la Gaspésie—Îles-de-la-Madeleine qui se trouve elle aussi en déficit hydrique en comparaison avec la moyenne 1981-2010. Lorsque l’on tient compte de l’évaporation de l’eau du sol et de la transpiration des plantes, l’ensemble de la région du Bas-Saint-Laurent vit un déficit d’eau variant de -46 mm (Saint-Alexis-de-Matapédia) à -121 mm (Saint-Modeste). La première coupe de foin ne devrait pas être trop impactée cette année puisque les 300 degrés-jours (base 5) ont été atteints hâtivement partout sur le territoire. Souhaitons que la saison estivale 2024 apporte à tous les producteurs rendement et qualité!

Une nouvelle présidente pour la TCBBSL
(Yan Gosselin)

Le 5 juin dernier, au parc du Mont-Saint-Mathieu, se tenait l’assemblée générale annuelle de la Table de concertation bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent (TCBBSL). En avant-midi, près de 40 participants ont assisté à la présentation des nombreuses réalisations et implications de la TCBBSL à travers tout le territoire. Pour visualiser la diversité des dossiers, n’hésitez pas à consulter leur rapport d’activités.

Lors de l’élection à la présidence, les membres ont pu exercer leur droit de vote, du jamais vu depuis plus de dix ans. En effet, en plus de la mise en candidature du président sortant, Normand Provençal, celle de Nathalie Lemieux, déjà présidente de la Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent, s’est ajoutée. À la fin du scrutin secret, la Table était fière d'annoncer l'élection de Mme Lemieux à la présidence de son conseil d’administration pour la prochaine année.

En après-midi, des tables de travail ont été organisées pour que l’ensemble des invités puissent donner leurs idées sur des enjeux de la planification stratégique interne. Une activité exigeante, mais essentielle pour s’assurer que la TCBBSL poursuive efficacement ses mandats. L’équipe en place peut être fière du travail accompli dans la dernière année. La mission de la TCBBSL est de favoriser la concertation des partenaires du secteur bioalimentaire afin d’identifier les enjeux déterminants, d’élaborer des solutions collectives et de mettre en place des projets structurants et mobilisateurs pour le développement et le rayonnement du Bas-Saint-Laurent bioalimentaire.

Prospérité – Pérennité – Fierté
(Marc Tétreault)

Voici les trois axes de la planification stratégique 2024-2027 présentés à l’assemblée générale annuelle des Éleveurs de porcs du Québec à Saint-Hyacinthe. Le secteur porcin a traversé une période difficile ces dernières années. M. Louis-Philippe Roy, président des Éleveurs de porcs du Québec, propose ce plan en réponse à cette crise parfaite. « Nous sommes persuadés qu’en misant sur ces trois axes, nous rayonnerons par notre capacité à innover et notre rôle de leadership au sein de la filière, permettant aux éleveuses et aux éleveurs de vivre fièrement de leur profession. » Vous pouvez consulter cette planification stratégique sur le site des Éleveurs de porcs du Québec. Vous pouvez aussi regarder cette vidéo.

L’ARTERRE, entremetteur de 36 jumelages au Bas-Saint-Laurent
(Yan Gosselin)

L’ARTERRE continue de jouer les entremetteurs avec succès. Le service de maillage axé sur l’accompagnement et le jumelage de candidats aspirants-agriculteurs et propriétaires-cédants est un maillon incontournable à la vitalité des communautés rurales bas-laurentiennes et à l’occupation dynamique du territoire.

Dans son rapport annuel, déposé en avril dernier pour le Bas-Saint-Laurent, L’ARTERRE dévoilait un nombre de 36 jumelages complétés depuis la mise en place du service pour un total de 194 visites réalisées dans cet objectif. On dénombrait également six ententes qui étaient toujours en négociation à ce moment, comme quoi il y a bel et bien de la relève pour nos entreprises agricoles au Bas-Saint-Laurent!

Selon L’ARTERRE, environ 477 entreprises agricoles sur près de 2 000 sont à risque de démantèlement dans la région. Pour chaque entreprise dont le démantèlement a été évité, les retombées économiques sont évaluées à 70 000 $. Les bénéfices d’un transfert réussi s’élèvent quant à eux à 50 000 $ pour une même entreprise.

Vous êtes aspirant-agriculteur à la recherche d’une entreprise agricole ou propriétaire-cédant en quête d’une relève, contactez les agents de maillage local de L’ARTERRE au Bas-Saint-Laurent, Jean-Philippe Mainville (Kamouraska, Rivière-du-Loup, Témiscouata, Les Basques) ou Jonathan Gagné Lavoie (Rimouski-Neigette, La Mitis, La Matapédia, La Matanie). Une multitude d’ententes sont possibles dans un dossier de jumelage dans un inventaire tout aussi diversifié de productions. Consultez le site internet arterre.ca.

Effarouchement des oiseaux migrateurs – Bilan du printemps 2024
(Chantale Dubé)

Cette année, comme dans la plupart des régions du Québec, les oiseaux migrateurs sont arrivés beaucoup plus tôt qu’à l’habitude. Aperçus dès le début d’avril au Bas-Saint-Laurent, leur présence s’est accentuée vers le 15 du mois. Les oies et bernaches ont été très nombreuses durant toute la saison. D’ailleurs, on constate une présence plus accrue de bernaches.

Le service d’effarouchement a été offert gratuitement aux producteurs durant environ cinq semaines, entre le 15 avril et le 22 mai, selon le territoire. Sept effaroucheurs ont patrouillé les secteurs les plus vulnérables de la fédération régionale afin de surveiller les champs des producteurs et réduire les dommages. En début de saison, les interventions ont surtout été réalisées dans les champs qui ont été semés à l’automne et ceux de luzerne. Par la suite, et ce jusqu’au départ des oies, les effaroucheurs devaient surveiller les nouvelles semences. Selon les données recueillies, elles ont privilégié la région du Kamouraska et de Rivière-du-Loup. En tout, 793 activités d’effarouchement ont été réalisées comparativement à 520 en 2023.

Enfin, comme les effaroucheurs ne peuvent pas être présents partout sur le territoire, la Fédération encourage les producteurs à se procurer des pistolets de départ pour réaliser eux-mêmes l’effarouchement en complément du service offert. Le Programme d’effarouchement des oiseaux migrateurs en milieu agricole est financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

Participez à des démonstrations de désherbage mécanique
(Ousmane Ndiaye)

Vous êtes invités à prendre part à une vitrine sur le désherbage mécanique, entre 10 h 30 et 15 h 30, le 11 juillet prochain dans la MRC de Kamouraska. Cette activité s’inscrit dans le cadre du projet Réseau Bio-conventionnel : plus d’échange et moins de pesticides. Prévue en deux temps, cette journée débutera aux Jardins du Haut-Pays de Saint-Onésime-d’Ixworth à 10 h 30. Cette démonstration sera axée sur des équipements maraîchers : sarcleur Univerco, sarcleur à cage et autres équipements « maison ». À 13 h 15, vous serez invités à la Ferme-école Lapokita de La Pocatière où la démonstration sera davantage orientée sur les équipements de grandes cultures : houe rotative, peigne, sarcleur léger et lourd. Un transport par autobus et prévu à partir de Rimouski avec arrêt à Trois-Pistoles et Rivière-du-Loup. Cette activité est gratuite pour les producteurs et une boîte à lunch sera fournie sur place. La journée aura lieu beau temps, mauvais temps. Inscrivez-vous avant 17 h, le 8 juillet prochain. Pour plus de détails, contactez Ousmane Ndiaye, conseiller aux services syndicaux - Ovin et répondant en formation agricole.

Les expositions agricoles reprennent du service
(Maxime Paradis)

Que serait un été au Bas-Saint-Laurent sans l’exposition agricole de Saint-Pascal et celle de Rimouski? Ces deux événements, bien ancrés dans la tradition agricole bas-laurentienne, reprennent du service du 18 au 21 juillet (Saint-Pascal) et du 31 juillet au 4 août (Rimouski). À sa 96e édition cette année, l’Expo de Saint-Pascal se démarque désormais par son volet compétition d'animaux qui a gagné en importance avec les années ainsi que la diversité et la qualité des jugements. Annuellement, l’événement attire plus de 15 000 visiteurs de partout au Québec. L’Expo agricole de Rimouski présente cette année sa 79e édition. Par son éventail d’activités, l’événement a pour objectif de rapprocher le monde urbain et agricole. Mission accomplie, car l’exposition a attiré pas moins de 44 000 visiteurs en 2023, ce qui en fait le plus grand événement agricole de l’Est-du-Québec. En juillet et août, soyez nombreux à y participer!

Invitation à une journée d’information technique Ovi-Plus
(Ousmane Ndiaye)

Vous êtes intéressés à participer à une journée technique sur la santé des sols, l’établissement des prairies, en plus de visiter les installations d’élevage d’une ferme ovine? Le 31 juillet, de 9 h 45 à 15 h, une Journée Ovi-Plus : du champ à la bergerie se tiendra aux Fermes Villeneuve de Sayabec. La journée est dédiée entièrement aux producteurs ovins et permettra d’approfondir vos connaissances et de stimuler le potentiel de développement de votre entreprise à travers divers ateliers et échanges. Ne manquez pas ce rendez-vous unique pour en apprendre davantage sur les pratiques d’élevage et agroenvironnementales incontournables qui rendront votre entreprise ovine plus résiliente. Cette journée cadre dans les initiatives de la Reconquête ovine dans l’Est-du-Québec. Inscrivez-vous avant le 24 juillet. Pour plus d’informations, contactez Ousmane Ndiaye, conseiller aux services syndicaux - Ovin et répondant en formation agricole.

Continuez de vous inscrire à L’agriculture complice de la biodiversité
(Chantale Dubé et Mylène Gagnon)

Même si la période officielle d’inscriptions est terminée, les candidatures au programme de valorisation et de reconnaissance L’agriculture complice de la biodiversité sont acceptées tout l’été. Ce dernier vise à souligner les bonnes pratiques agroenvironnementales ou les aménagements réalisés sur vos fermes qui vont au-delà de la réglementation environnementale.

Profitez de votre présence accrue dans les champs en saison estivale pour vous refamiliariser avec ces aménagements et pratiques que vous avez réalisés par le passé et dont les bénéfices générés pour la biodiversité sont aujourd’hui plus que palpables. Consultez les critères, la description des aménagements et pratiques admissibles, et remplissez le formulaire d’inscription directement sur notre site internet. Pour toutes informations supplémentaires, contactez Chantale Dubé, conseillère en aménagement du territoire, environnement et faune, ou Mylène Gagnon, conseillère en aménagement du territoire, agroenvironnement et commercialisation.

Ce programme est réalisé en collaboration avec les fédérations régionales de l’UPA de l’Abitibi-Témiscamingue, de la Gaspésie–Les Îles et de la Capitale-Nationale–Côte-Nord. Le projet est financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec dans le cadre du programme Prime-Vert.

Deux opportunités de bourses pour la relève bovine
(Marc Tétreault)

Relève en production bovine, voici votre chance de remporter l’une des deux Bourses PBQ des Producteurs de bovins du Québec. Destinées à des étudiants ayant réalisé une portion importante de leur parcours scolaire en production bovine, chacune des deux bourses peut atteindre jusqu’à 5 000 $. L’une d’entre elles sera remise à un nouveau candidat de l’industrie, alors que l’autre sera attribuée à un candidat évoluant déjà dans le secteur bovin. Tous les détails et critères d’admissibilité peuvent être consultés en ligne, ou contactez directement votre conseiller Marc Tétreault à mtetreault@upa.qc.ca ou au 418 723-2424 poste 4104 pour plus de détails. La date limite pour vous inscrire est le 3 septembre 2024. Les lauréats seront connus en octobre 2024.

Déposez votre candidature aux prix de l’Union
(Claire P. Beaulieu)

Il n’est pas trop tard pour soumettre votre candidature au prix de l’Union. Les candidatures sont acceptées jusqu’à midi, le 13 septembre. Le dévoilement des gagnants se fera lors du gala du 3 décembre prochain.

Tous les groupes affiliés, régionaux et spécialisés de la Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent peuvent présenter leur candidature dans l’une ou l’autre des quatre catégories : prix développement Gérard-Filion, prix environnement Hélène-Alarie, prix valorisation Laurent-Barré, prix solidarité Jean-Paul-Raymond. Il en est de même pour les groupes de producteurs et de productrices qui ont reçu l’appui d’un affilié de la Fédération.

Les projets qui se qualifient au prix de l’Union doivent, dans tous les cas, faire rayonner positivement la profession agricole. Ceux-ci peuvent être en lien avec la mise en marché, l’agroenvironnement, l’aménagement du territoire ou encore faire ressortir une action collective. La trousse et le formulaire de mise en candidature peuvent être téléchargés directement sur le site internet de l’Union des producteurs agricoles.

De nouvelles sommes disponibles pour la mise en marché de proximité
(Mylène Gagnon)

Les entreprises agricoles désireuses de se lancer dans la mise en marché de proximité ont jusqu’au 31 octobre 2024 pour déposer leurs projets. Le MAPAQ vient tout juste de reconduire l’initiative ministérielle Proximité pour la période 2024-2026. Les exploitations agricoles dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à 30 000 $, mais inférieur à 1 000 000 $, pourraient recevoir une aide financière couvrant jusqu’à 50 % des dépenses admissibles pour un maximum de 50 000 $ par projet et demandeur pour toute la durée de l’initiative, dans le cadre du volet 2. L’aide financière pourrait également vous être versée si vous êtes en mesure de démontrer que votre entreprise atteindra un chiffre d’affaires annuel d’au moins 30 000 $ dans les 36 mois suivant le dépôt d’une demande. Pour plus d’informations, contactez Mylène Gagnon, conseillère en aménagement du territoire, agroenvironnement et commercialisation à la Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent. Consultez également la page web de l’initiative pour plus de détails.

Troquez les énergies fossiles pour le réseau électrique triphasé
(Chantale Dubé et Mylène Gagnon)

Une opportunité unique s’offre actuellement aux entreprises agricoles et agroalimentaires qui ne sont toujours pas desservies par un réseau électrique triphasé. Hydro-Québec offre une aide financière afin de permettre à ces entreprises de bénéficier d’une extension ou d’un raccordement à ce réseau. Dans le cas d’une extension, l’aide financière couvre 75 % des dépenses admissibles jusqu’à concurrence de 250 000 $. Pour un raccordement, 50 % des dépenses sont couvertes pour un maximum de 25 000 $ par demande. En plus de permettre à vos entreprises agricoles et agroalimentaires d’accroître leur compétitivité, le Programme d’accès au réseau triphasé ouvre la porte au remplacement des énergies fossiles par une source d’énergie reconnue meilleure pour l’environnement. Consultez les détails de ce programme ici. Pour plus d'information, contactez Chantale Dubé ou Mylène Gagnon à la fédération régionale.

HORAIRE D'ÉTÉ :

Bureaux de Rimouski et Saint-Antonin
Du 25 juin au 3 septembre inclusivement
8 h 30 à 12 h et 13 h 15 à 16 h 30


Bureau de La Pocatière
Du 17 juin au 6 septembre inclusivement
8 h 15 à 12 h et 13 h à 16 h

Prendre note que nos bureaux seront fermés le lundi 1er juillet pour le congé de la Fête du Canada
Canada OpenMoji Emoji

ACTIVITÉS À INSCRIRE À VOTRE AGENDA


📌 Portes ouvertes à la Ferme Pakama                                  8 septembre (Saint-Jean-de-Dieu)

📌 Sécurijour à l'ITAQ                                                              21 septembre (La Pocatière)

📌 Sécurijour au Garage de mécanique agricole                    28 septembre (Saint-Joseph-de-Lepage)
            du CFP Mont-Joli-Mitis

 

Fédération de l’UPA du
Bas-Saint-Laurent

284, rue Potvin
Rimouski (Québec)  G5L 7P5
418 723-2424 ou 418 856-3044
1 800 463-8001
bas-saint-laurent@upa.qc.ca

Centre de services de
La Pocatière

1120, 6e Avenue, bureau 100
La Pocatière (Québec)  G0R 1Z0

Centre de services de
Saint-Antonin

125, rue du Carrefour
Saint-Antonin (Québec)  G0L 2J0 

 

Volume 8, Numéro 11

 

À noter que le masculin est utilisé uniquement dans le but d'alléger le texte