Une Bonne Année prospère et en santé Environ la moitié d’entre nous, prenons de bonnes résolutions à chaque début d’année. Ce sont habituellement des choses comme maigrir, faire du sport, arrêter de fumer, moins dépenser, travailler pour avoir son diplôme, etc.. Mais selon une étude sur le sujet (Psychologists seek key to successful new year resolutions, The Gardian), 78 % des gens ne tiennent pas leurs résolutions de début d’année. Autrement dit, dans le mois de janvier, nous avons 31 jours pour prendre de grandes résolutions et le reste de l’année pour trouver des prétextes et des excuses. Comme par exemple : - Il faut choisir son régime et s’y tenir. C’est ce que je vais faire en 2019 …dès que j’aurai fini mon petit pain au chocolat.
- Ma seule résolution, c’est de n’en prendre aucune.
Que vous preniez ou non des résolutions, nous vous souhaitons une Bonne Année 2019, une année prospère et en santé. Votre Association des anciennes et anciens de l’ITA | Des portes ouvertes réussies à l’ITA Plus de 600 personnes ont été accueillies lors des portes ouvertes tenues à l’ITA le samedi 10 novembre au campus de La Pocatière et le samedi 17 novembre au campus de Saint-Hyacinthe. Cette participation confirme le rôle prépondérant que joue l’ITA en matière de formation dans le secteur agroalimentaire. Les visiteurs ont constaté pourquoi l’ITA jouit d’une réputation sans égale en matière de formation au Québec. Ils ont aussi été à même de se renseigner sur la formation technique, générale et continue offerte à l’Institut ainsi que sur la vie étudiante. Ils ont pu visiter les installations pédagogiques et rencontrer bon nombre d’étudiants, de professeurs et de membres du personnel. De la grande visite Au campus de Saint-Hyacinthe, l’activité a aussi été rehaussée par la présence de M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, qui a souligné l’importance du rôle de l’ITA : « L’Institut est le choix par excellence pour les personnes qui souhaitent débuter une carrière en agroalimentaire et également pour les entreprises qui veulent parfaire les connaissances de leurs employés. » De gauche à droite : Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. André Lamontagne, Mme Chantal Soucy, députée de Saint Hyacinthe, Mme Louise Leblanc, sous-ministre adjointe à la formation bioalimentaire et responsable de l’ITA et M. Michel Ste-Marie, directeur du campus de Saint Hyacinthe de l’ITA. Mme Louise Leblanc, sous-ministre adjointe à la formation bioalimentaire et responsable de l’ITA, était également présente à l’événement. Elle s’est réjouie de cette affluence « qui laisse présager une belle cohorte d’étudiants pour la prochaine rentrée scolaire et, ultimement, un plus grand nombre de diplômés. C’est une excellente nouvelle pour les entreprises qui sont en constante recherche d’une main-d’œuvre qualifiée. » Demandes d’admission La période des demandes d’admission à l’ITA débute à la mi‑janvier et se terminera le 1er mars 2019. Les demandes doivent être remplies sur le site Internet du Service régional d'admission au collégial de Québec (www.sracq.qc.ca) pour le campus de La Pocatière et sur le site Internet du Service régional d'admission du Montréal métropolitain (www.sram.qc.ca) pour le campus de Saint-Hyacinthe. | Un service d’offres d’emploi incontournable Encore une fois, le service de publication d’offres d’emploi de l’Association des anciennes et anciens de l’ITA a connu une bonne année en 2018. Nous avons en effet publié 123 offres d’emploi reliées à l’agroalimentaire ou au domaine horticole au cours de la dernière année. Pour maximiser la visibilité, toutes les offres d’emploi sont publiées par les deux associations d’anciennes et anciens de l’ITA, soient celle du campus Saint-Hyacinthe et celle du campus La Pocatière en plus d’être reprises dans notre bulletin électronique mensuel (comme celui-ci) et d’être aussi publiées sur Facebook. Rappelons que notre service a pris naissance en 2012 avec un double objectif : offrir à nos diplômé(e)s des opportunités de carrière dans le domaine agroalimentaire et horticole et, d’autre part, être des partenaires de l’industrie agroalimentaire au Québec. Ces deux objectifs demeurent encore aujourd’hui tout à fait pertinents. Notre service de parution d’offres d’emploi est donc maintenant devenu incontournable puisque près de 60 % des professionnels qui travaillent dans l’industrie agroalimentaire au Québec ont été formés à l’ITA. Et depuis sa création en 1962, l’ITA a formé plus de 12 000 technologues. Si vous êtes un employeur et que vous avez une offre d’emploi à faire paraître ou si vous connaissez quelqu’un qui en aurait besoin, n’hésitez pas à référer l’Association des anciennes et anciens de l’ITA. Campus Saint-Hyacinthe : (450) 778-6504, poste 6298 Campus La Pocatière : (418) 856-1110 poste 1378 associationanciens.ita@gmail.com | Knickers, la vache géante … ce que vous ne saviez pas Presque tout le monde a vu il y a quelques semaines, des images de Knickers, une grosse vache australienne de 1,94 m. (6 pi. 3 po.) et de 1400 kg, soit plus de 3 000 livres. Les photos ont rapidement fait le tour d’internet et sont devenues virales. On n’en revient tout simplement pas : l’animal semble deux fois plus grand que ses congénères. Un mastodonte, oui mais avec quelques nuances. D’abord, les animaux qui l’entourent ne sont pas de la même race ni du même âge. En fait, c’est un peu comme comparer un labrador adulte à des chihuahuas. D’abord, cette vache est noire et blanche alors que toutes celles qui l'entourent sont brunes. Knickers est en effet une Holstein alors que les autres sont des vaches japonaises. Or les bœufs Holstein adultes sont en moyenne, 20 à 30% plus grands que leurs cousins japonais. Par ailleurs, Knickers est âgée de sept ans alors que ses compagnons n'ont qu'un an environ: ce sont encore des adolescents. Les bœufs qui entourent le géant n'ont donc pas encore atteint leur taille définitive. Pas de doute, Knickers est un animal imposant mais son entourage l’a fait grandir encore un peu plus en la comparant à des bêtes de race différente et d’un âge différent, ce qui amplifie le phénomène. Comme quoi, il faut quelquefois se méfier des apparences. | On ne perd rien pour attendre Le Québec a connu son mois de novembre le plus froid de l'histoire dans les villes de Québec et de Sherbrooke, le deuxième plus froid à Montréal et plus généralement dans les dix plus froids à l'échelle provinciale. Et le début décembre a été à l’image de novembre. Par exemple, dans la nuit du 7 au 8 décembre, la ville de Québec a battu un record de froid : -31 °C. Il s'agit du -30 °C le plus hâtif de l'histoire de la Capitale-Nationale. Le précédent record était le 13 décembre 2013. Une météo capricieuse Puis le froid et le chaud se sont succédé durant le temps des Fêtes pour créer un mouvement de montagnes russes, notamment quelques heures avant Noël et quelques heures avant le nouvel An, donnant à penser que l’hiver pourrait nous épargner. Et pourtant, il semble que nous ne perdons rien pour attendre. Selon le National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), le Québec devrait connaître un hiver froid et corsé. Selon l’organisme, un froid plus intense qu’à l’habitude devrait affecter une bonne partie de la Belle province durant la deuxième moitié de janvier. Et la plupart des patrons météo vont dans le même sens. Alors, préparez vos tuques ! | De plus en plus d’emploi dans le bioalimentaire De 2016 à 2017, l’industrie bioalimentaire a généré 11 477 emplois de plus dans l’économie québécoise pour atteindre un total de 509 344 travailleurs ce qui représente 12 % des emplois au Québec. C’est la première fois en dix ans que l’industrie crée autant d’emplois, selon les derniers chiffres du MAPAQ. Ce sont les établissements de restauration et les débits de boissons qui ont le plus contribué à la progression de l’emploi dans l’industrie avec une hausse de 2,9 %. Le secteur de la transformation alimentaire a aussi contribué à la croissance en créant 4 091 emplois la même année pour un total de 69 688 emplois. Étonnamment, dans l’agriculture, le nombre de travailleurs s’est accru de 600 pour s’établir à 57 100. Hausse également de l’emploi dans les magasins d’alimentation et dans le commerce de gros (agricoles, aliments, boissons et tabac). Dans les pêches et l’aquaculture, on a plutôt observé un recul du nombre d’emplois.Enfin, fait intéressant, dans 12 des 17 régions administratives de la province, au moins 10 % de l’emploi est attribuable à l’industrie bioalimentaire, signe que cette industrie a un poids important dans l’économie du Québec. | | Ils se revoient 45 ans plus tard Retrouvailles zootechnologie 1973-2018 Le 20 octobre dernier, la classe de finissants en zootechnologie, promotion 1973 de l'ITA campus de St-Hyacinthe, s’est réunie pour le partage d’un repas retrouvaille. Les 22 finissants ont été retrouvés et contactés, dix-huit étaient présents. Selon un des organisateurs, M. Gilles Dion, « il existait un profond désir de revoir les amis et tous les souvenirs complices rattachés à ce groupe en sciences animales, 45 ans plus tard. Merci à nos parents, nos amis, nos professeurs et à l’ITA de St-Hyacinthe d’avoir contribué à enrichir nos connaissances ». Si vous organisez des retrouvailles, faites-nous le savoir : il nous fera plaisir de les partager avec tous les anciens de l’ITA. | Déjeuner conférence ATA-ITA le 16 janvier L’Association des technologues en agroalimentaire (ATA) du Québec en collaboration avec l’ITA tiendra son déjeuner-conférence annuel le mercredi 16 janvier prochain. Sous le thème « Nourrir le monde…à partir d’ici », monsieur Paul Beauchamp, premier Vice-président d’Olymel abordera les thèmes suivants : - Le secteur agroalimentaire canadien peutil rivaliser avec les géants étrangers de l'industrie sur les marchés d'exportation ?
- Les entreprises québécoises et canadiennes sontelles de taille ?
- Les filières d'approvisionnement peuventelles répondre à la demande?
- Comment les entreprises canadiennes peuventelles tirer le meilleur parti des ententes commerciales internationales et des accords de libre-échange ?
- Quelles sont les conditions à réunir pour nourrir le monde?
M. Beauchamp s'est joint à l'équipe de direction d'Olymel en l'an 2000. Il joue un rôle-clé dans les dossiers d'acquisition, de fusion, de partenariat et de stratégie d'affaires. Responsable de l'approvisionnement dans les secteurs du porc et de la volaille, il est également chargé des affaires corporatives, des communications et des affaires publiques en plus d'agir à titre de porte-parole de l'entreprise. Aussi au programme, la remise du Mérite technologique agroalimentaire 2019 à M. Jacques Dion, directeur de la production d’orge brassicole, Semican inc.. Admission : 37$ Dans le cadre du Salon de l’agriculture Le MERCREDI, 16 JANVIER 2019 de 7h00 - 9h00 Centre BMO, salle Richard Robert Saint-Hyacinthe Information et inscription : Téléphone : 514-791-1226 Courriel : assotechnologues@gmail.com Inscription en ligne : ttp://www.technologuesagroalimentaire.com/dejeuner-conference-ata-ita-2019/ | Une image vaut mille maux ! Tout est à portée de main … pour une fois seulement ! | Fallait y penser - Si vous ne réussissez jamais rien du premier coup, le parachute n’est pas pour vous.
- Les prévisions sont difficiles, surtout lorsqu'elles concernent l'avenir.
- Le plus dur pour le mouton le matin, c’est la laine du matin.
| Saviez-vous que … Boire de l’eau pour éviter la gueule de bois Ah le temps des Fêtes, des partys et peut-être des petits excès. Même si vous avez bien gérer votre consommation d’alcool, il se peut que votre lendemain de veille soit accompagné du fameux mal de bloc, communément appelé la gueule de bois, du nom scientifique (veisalgie). Saviez-vous qu’en ces occasions, l’eau est votre meilleur ami. En fait, si on a la gueule de bois après avoir bu de l'alcool en soirée, c'est en partie à cause de la déshydratation du corps. En effet, l'alcool est diurétique et l'eau du corps est utilisée par le foie pour détoxiquer l'alcool. Pour éliminer ou, à tout le moins, diminuer le malaise, il suffit de boire beaucoup d'eau avant de se coucher : cette façon de faire vous permettra d'éviter ou d'atténuer le mal de bloc au réveil. Évidemment, si votre consommation a été vraiment excessive, le fait de boire de l’eau ne fera pas disparaître totalement les effets de l’alcool. Chin, chin ! | Le truc du mois Le gel de silice peut vous être très utile Pendant le temps des Fêtes, vous avez reçu un cadeau dans une boîte dans laquelle se trouvait des petits sachets de silice. Ne les jetez surtout pas parce qu’ils peuvent vous être très utiles. Quand vous achetez des chaussures ou des produits technologiques, il y a souvent des petits sachets de gel de silice à l’intérieur. Ces granules absorbent l’humidité et protègent ainsi vos produits. Normalement, on les jette immédiatement sans y penser à deux fois. Mais en réalité, ces sachets sont particulièrement utiles.Voici quelques trucs utiles avec le gel de silice. Vêtements humides Si vos vêtements sont humides et sentent le renfermé après ou pendant vos vacances, placez quelques sachets de gel de silice dans votre valise. Le résultat est magique ! Sac de sport malodorant Si l’odeur de votre sac de sport ou celle de votre casier de gym devient nauséabonde, mettez quelques sachets à l’intérieur et voilà, problème réglé. Pare-brise embué Votre pare-brise devient embué : il suffit de mettre plusieurs sachets de gel de silice sur votre tableau de bord pour aider à combattre cette buée. Le plus intéressant, c’est que les sachets de silice sont réutilisables même s’ils sont mouillés. Vous n’avez qu’à les placer au four entre 120 et 150°C jusqu'à ce qu’ils soient secs. | Peut-être l’avez-vous connu … Cette chronique « Peut-être l’avez-vous connu … » vise à souligner le décès d’un(e) ancien(ne) de l’ITA ou quelqu’un de proche de l’Institut. Si vous connaissez quelqu’un qui a fréquenté l’ITA ou qui a un lien avec notre Institut et qui est décédé, vous pouvez nous faire parvenir de l’information (vérifiable) au sujet de cet événement via notre courriel : associationanciens.ita@gmail.com. Heureusement ce mois-ci, pas de décès. | Nos offres d’emploi ce mois-ci Vous avez une offre d’emploi ou vous connaissez quelqu’un qui recherche du personnel qualifié? L’Association des anciennes et anciens de l’ITA qui regroupe tous les diplômé(e)s des campus St-Hyacinthe et La Pocatière, peut vous aider via son service d’offres d’emploi. Visitez nos deux sites internet aux adresses suivantes : http://www.anciensita.ca/saint-hyacinthe ou http://www.aaaita.ca/ ou communiquez directement avec l’une des deux associations au : (450) 778-6504 poste 6298 ou (418) 856-1110 poste 1378. Il nous fera plaisir de vous aider. Nos offres d’emploi sont aussi diffusées sur Facebook. Offres d’emploi disponibles actuellement: - Conseiller de la qualité du lait et Valideur, Valacta, Région du Saguenay Lac St-Jean
(Date de parution: 13 décembre 2018) - 2 postes – Techniciens en production laitière, Valacta, Région de l’Abitibi
Date de parution: 13 décembre 2018) - Assistant technique R & D, Barry Callebaut,
Saint-Hyacinthe (Date de parution: 6 décembre 2018) - Coordonnateur HACCP / SQF, Sherrington Cold Storage, Sherrington
(Date de parution: 29 novembre 2018) - Technicien de serre, Serres Sagami Savoura, Sur un des sites au Québec
(Date de parution: 29 novembre 2018) - Technicien Conformité et Qualité des emballages, Barry Callebaut, Saint-Hyacinthe
(Date de parution: 15 novembre 2018 – Nouvelle version 26 novembre 2018) - Chargé de projet R & D, Les Ingrédients alimentaires BSA Inc., Montréal
(Date de parution: 22 novembre 2018) - Technicien d’usine / Technicienne d’usine, Agropur, Québec
(Date de parution: 22 novembre 2018) - Coordonnateur(trice) de production, planification et amélioration des procédés, Dalisa L’Atelier gourmand, Saint-Jean-sur-Richelieu
(Date de parution: 15 novembre 2018) - Technicien / Technicienne Qualité, Smucker, Sherbrooke
(Date de parution: 8 novembre 2018) | | | | |