VOTRE BULLETIN - FÉVRIER 2017

Un nouveau départ pour les comités école-industrie

L’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) a procédé récemment à la remise sur pied, sur ses deux campus, des comités école-industrie. Cette collaboration avec les acteurs du milieu permettra à l’Institut d’offrir une formation qui répond aux besoins actuels de l’industrie.

Les comités école-industrie sont des lieux de rencontres et de discussions où les membres ont pour mandat de partager leurs expertises et leurs idées sur le développement et la révision des programmes de formation, sur les besoins de perfectionnement et sur les besoins futurs en main-d'œuvre du milieu.

Campus de La Pocatière

Le comité école-industrie du programme de technologie des productions animales (TPA) s’est réuni le en novembre dernier avec la participation de 15 membres.

De gauche à droite sur la photo : dans la première rangée, M. Denis Boies, directeur de l’enseignement par intérim à l’ITA; M. Martin Roussel, conseiller pédagogique à l’ITA et ancien chef d’équipe en TPA à l’ITA;M. Frédéric Banville, représentant des ventes pour Nutreco et Mme Mireille Drouin, conseillère en ressources humaines pour Agri-Marché; dans la deuxième rangée, M. Marc Levasseur, directeur de comptes chez ADM Animal Nutrition; Mme Carolle Dubois, directrice provinciale des ventes « ruminants » pour Cargill Nutrition Animale – Purina; Mme Marie-Josée Pelletier, conseillère sénior en ressources humaines pour Dynaco, Mme Emmanuelle Pouliot, conseillère technique à la Meunerie Cacouna, et M. Yves Landry, coordonnateur des ventes pour Lactech; dans la troisième rangée, M. Michel Ste-Marie, directeur des études à l’ITA; Mme Brigitte Hernando, directrice adjointe du développement des affaires et des partenariats à l’ITA; M. Olivier Fauvelet, responsable des ventes « équins et spécialités » pour Cargill Nutrition Animale – Purina; M. Roland Lambert, directeur des services techniques pour la région de la Chaudière-Appalaches chez Valacta; M. Stéphane Michaud, conseiller technique chez Belisle et Mme Sylvie Raymond, conseillère en développement des affaires à l’ITA.

Le comité école-industrie du programme de techniques équines (TÉ) s’est aussi réuni le 8 décembre avec la participation de 12 membres.

Campus de Saint-Hyacinthe

Le comité école-industrie en TPA s’est également rencontré l’automne dernier avec la présence de 11 membres.

De gauche à droite sur la photo : Mme Martine Fontaine, directrice de l’enseignement; M. Mario Perron, superviseur des ventes pour Shur-Gain; M. Guy Boyer, directeur régional de l’Estrie et de l’Abitibi Témiscamingue pour Valacta; Mme Brigitte Hernando, directrice adjointe du développement des affaires et des partenariats à l’ITA; M. Charles Dufour, conseiller à la Direction de la main-d’œuvre et de la relève du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation; M. Michel Ste-Marie, directeur des études à l’ITA; Mme Sylvie Raymond, conseillère en développement des affaires à l’ITA; Mme Mélanie Latulippe, professeure en TPA; Mme Guylaine Sauvé, chef d’équipe et professeure en TPA; Mme Carole Frappier, directrice du secteur laitier chez Olier Grisé & Cie ltée et M. Alain Paradis, représentant technico-commercial chez William Houde ltée.

Le comité école-industrie du programme de paysage et commercialisation en horticulture ornementale (PCHO) a également tenu une rencontre tandis que les deux comités école-industrie pour le programme de technologie du génie agromécanique (TGA) se sont rencontrés en janvier.

Toutes ces rencontres ont pour seul objectif d’unir les forces du milieu afin d’offrir une formation d’avenir à l’ITA.


Le Mérite technologique agroalimentaire ATA 2017

à M. Réjean Giguère


Vincent Giasson, président de l’ATA remet le prix à M. Réjean Giguère

À chaque année, l’Association des technologues en agroalimentaire (ATA) remet son prix «Mérite technologique» à un technologue pour son sens de l’innovation et son savoir-faire. Cette année, le prix a été décerné à M. Réjean Giguère des Industries Lassonde lors du déjeuner-causerie annuel de l’ATA qui a eu lieu le 18 janvier dernier.

La carrière de Réjean Giguère au sein de Les Industries Lassonde inc. a commencé lors de sa thèse de fin d’études portant sur la filtration en continue du jus de pomme menée en collaboration avec A. Lassonde et fils. Impressionné par son dynamisme et sa personnalité, monsieur Yves Dumont, alors responsable de la recherche et développement, s’empresse de lui offrir un poste dès l’obtention en 1979 de son diplôme en Génie industriel alimentaire de l’ITA campus Saint-Hyacinthe.

Réjean débute comme superviseur de la production et de la qualité puis renoue avec la recherche et développement en 1981. Il travaille sur l’entreposage stérile en vrac du jus de pomme et termine la recherche amorcée sur la filtration du jus en continue qui aboutit par un brevet : le procédé Clarifruit qui fera connaître Lassonde dans le secteur de l’emballage des jus.

Trois ans plus tard, il démarre la première ligne d’emballage aseptique au Canada, une révolution pour l’industrie du jus à l’époque. L’année suivante, on lui confie la direction technique de l’usine Spécialité BHR que Lassonde vient d’acquérir et qui produit des purées de fruits à Saint-Chrysostome. Peu de temps après, il lance la ligne de produit Frutina.

En 1992 il est de retour à l’usine de Rougemont pour se consacrer à ce qu’il fait de mieux : l’innovation technologique et la mise au point technique. L’innovation étant la base de la croissance spectaculaire qu’a connue Lassonde dont le chiffre d’affaires est passé de quelques millions en 1979 à 1,5 milliard de dollars aujourd’hui, ses talents sont utilisés au maximum.

Il occupe aujourd’hui le poste de directeur des procédés pour les quatre usines de Lassonde au Canada, soit les deux usines de Rougemont et celles de Toronto et Calgary. Avec une carrière aussi remplie et avec son sens de l’innovation, M. Réjean Giguère a illustré de brillante façon le savoir-faire des technologues en agroalimentaire dans ce domaine et c’est pourquoi l’ATA lui a remis le prix du Mérite technologique agroalimentaire 2017.

Voir la video en ligne : https://youtu.be/xg3KcvPV9Ag


La météo, la marmotte et le temps qu’il fera

Cette année, les deux marmottes canadiennes ont prédit un printemps hâtif, tandis que la marmotte américaine est retournée se cacher après avoir vu son ombre. Fred la marmotte de Val-d’Espoir, en Gaspésie, n’a pas vu son ombre! Même chose pour Sam de la Nouvelle-Écosse. Il n’y a que Phil, la célèbre marmotte de l'État de la Pennsylvanie, qui a vu son ombre, ce qui signifie que l’hiver durera encore six semaines.

Efficacité de la prévision

Selon le comportement de l’animal une fois à l’extérieur, certains croient qu'on peut prédire l’arrivée du printemps. Les promoteurs de ces événements prétendent que le rongeur est correct entre 75 % et 90 % du temps mais une étude du Service météorologique du Canada menée sur 30 à 40 ans et comptant treize villes, montre que la validité de la prévision n'est que de 37 %.

La question est : comment savoir si la marmotte a vu son ombre ou pas? Comme chacun sait, la marmotte est un animal plutôt peureux. Et quand elle a peur, la marmotte rentre dans son terrier. Donc si la marmotte rentre dans son terrier, c’est quelle a eu peur, donc quelle a vu son ombre. Simple. Mais bon, l’événement fait jaser et donne espoir à certains ou les trompe carrément.


1er mars, date limite pour admission à l’ITA

Si vous avez un enfant ou si vous connaissez quelqu’un qui aime le secteur agroalimentaire ou horticole et qui pourrait s’inscrire à l’ITA, c’est le temps, dépêchez-vous ! La période pour soumettre une demande d’admission à la rentrée d’automne 2017, prend fin le 1er mars, comme c’est d’ailleurs le cas pour tous les établissements d’enseignement collégial.

Que ce soit au campus Saint-Hyacinthe ou au campus La Pocatière, l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) offre une formation de pointe, intéressante et axée vers les besoins de l’industrie. De plus, les étudiant(e)s profitent des plus imposantes installations pratiques et technologiques en milieu scolaire au Québec.

Les personnes qui souhaitent s’inscrire à l’un ou l’autre de ces programmes doivent le faire en ligne au www.sracq.qc.ca pour les programmes du campus de La Pocatière et au www.sram.qc.ca pour ceux du campus de Saint-Hyacinthe.


Nouvelle formation en agriculture biologique

L’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) – campus La Pocatière bonifie son offre de formation en proposant trois nouveaux profils axés sur les productions animales et végétales biologiques. Les nouveaux profils biologiques s’intégreront au programme de Gestion et technologies d’entreprise agricole du campus de La Pocatière. Ils concernent la production laitière, la production porcine et avicole (animaux monogastriques), la production bovine, ovine et caprine (animaux polygastriques), ainsi que les cultures végétales qui y sont associées.

Les nouveaux profils biologiques mis sur pied permettront de mieux répondre aux besoins de formation technique des étudiants. En effet, de plus en plus d’étudiants manifestent un intérêt marqué pour le mode de production biologique.

Le campus de La Pocatière de l’ITA possède déjà plusieurs installations à caractère biologique qui seront utilisées et mises en valeur par cette nouvelle offre de formation, soit 80 hectares de terres cultivées biologiques, une unité de production laitière biologique (ferme-école Lapokita) et une serre technologique en pleine terre exploitée selon une gestion biologique.


EN VRAC

Rivière-du-Loup, première ville entrepreneuriale au Canada

La ville de Rivière-du-Loup est devenue en 2016, la première ville entrepreneuriale au Canada. Ce constat a été fait dans une étude récente de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante. Les chercheurs ont utilisé 14 indicateurs regroupés en trois catégories : la présence entrepreneuriale de même que les perspectives et les politiques entrepreneuriales.

La capitale du Bas-du-Fleuve a obtenu un score de 72, soit six points de plus qu’en 2015 alors qu’elle s’était classée 12e. Cinq autres villes du Québec se classent parmi les 20 premières au palmarès canadien : Saint-Georges (3e), Saint-Hyacinthe (9e), Val-d’Or (12e), Sherbrooke (16e) et Victoriaville (19e).

Il est tombé

Le « Pioneer Cabin tree » un immense séquoia vieux de plusieurs siècles est tombé lors d’une tempête qui s’est abattue au début janvier sur la Californie. On ignore l’âge de cet arbre mais selon les estimés, il avait plus de 1000 ans. Le tronc de cet arbre, aussi appelé «tunnel tree», avait été creusé il y a plus de cent ans pour permettre aux nombreux touristes du parc de passer à travers le géant, soit à pied ou avec une petite voiture.

L’arbre avait un diamètre de près de 10 mètres et mesurait environ 75 mètres de haut. Il était cependant tout juste en vie avec une branche vivante au sommet. On ignore précisément ce qui a causé la chute de l’arbre mais ses racines peu profondes ont sans doute été victimes de la pluie.


DERNIÈRE HEURE

Gaston Doré à la Société d’agriculture

La Société d’Agriculture de Saint-Hyacinthe, responsable de l’Exposition agricole et du Suprême Laitier, vient d’annoncer la nomination de M. Gaston Doré au poste de Directeur développement des affaires. Gaston Doré détient une vaste expérience à titre de gestionnaire chez Vico le groupe inc., Exceldor, Groupe Dynaco, La Coop Saint-Damase et Comax.

Gaston Doré, un ancien de l’ITA – campus Saint-Hyacinthe (HLF – 1979) est aussi détenteur d’un certificat en administration au HEC. Il a su se démarquer dans l’organisation et la réalisation de divers évènements et activités par son implication à l’Association des technologues en agroalimentaire, la Chambre de commerce, le sport mineur, La Société d’agriculture du comté de L’Islet ainsi que dans le mentorat pour gens d’affaires.

La Société d’Agriculture est responsable de l’organisation de la 180e édition de l’Exposition agricole et alimentaire de Saint-Hyacinthe. Sa mission consiste à encourager l’amélioration de l’agriculture sous toutes ses formes et à sensibiliser le milieu urbain au vécu et à la réalité des producteurs agricoles. De plus, l’Exposition de Saint-Hyacinthe organise annuellement Le Suprême Laitier, qui inclut la Finale provinciale de bovins laitiers du Québec.


Une image vaut mille maux !

On réfléchit : à quoi ça sert déjà ?


Saviez-vous que
Le cochon ne peut pas regarder au ciel

Le cochon est le seul animal qui ne peut pas regarder au ciel. Il lui est en effet physiquement impossible de regarder vers le ciel. Les porcs sont des animaux courts sur pattes, ayant une tête grande par rapport à leur corps, et de grandes oreilles. À cause de la forme de leur dos, les porcs ne peuvent que très légèrement relever la tête. Leur cou est trop bref pour pouvoir regarder le ciel. C’est ce qu’on appelle avoir le profil bas. Et contrairement à ce qu’on dit souvent, on ne peut pas suer comme un porc : en effet, les cochons ne suent pas.


Fallait y penser

  • Si vous m'avez compris, c'est que je me suis mal exprimé. (Alan Greenspan)
     
  • De chez moi au bar il y a 5 minutes, alors que du bar jusque chez moi il y a 1 h 30 !
     
  • Avant je savais bien écrire et, un jour, j'ai eu un téléphone portable : é depu il c produi kelk choz 2 bizar...

Le truc du mois
Une fourchette pour suspendre facilement vos cadres

Vous avez de la difficulté à suspendre un cadre sur le clou au mur ? Voici un truc simple et efficace : la technique de la fourchette.

Comment faire

  1. Glissez la fourchette sur le clou à l'endroit où vous voulez le cadre au mur.
  2. Glissez ensuite la corde du cadre derrière la fourchette.
  3. Retirez maintenant la fourchette.
     

D’une telle simplicité : plus besoin de tatillonner de trouver le clou. Les idées les plus simples sont quelquefois les plus utiles.


Peut-être l’avez-vous connu …

Cette chronique « Peut-être l’avez-vous connu … » vise à souligner le décès d’un(e) ancien(ne) de l’ITA ou quelqu’un de proche de l’Institut. Si vous connaissez quelqu’un qui a fréquenté l’ITA ou qui a un lien avec notre Institut et qui est décédé, vous pouvez nous faire parvenir de l’information (vérifiable) au sujet de cet événement via notre courriel : associationanciens.ita@gmail.com .

Heureusement ce mois-ci, pas de décès.


Nos offres d’emploi ce mois-ci

Vous avez une offre d’emploi ou vous connaissez quelqu’un qui recherche du personnel qualifié? L’Association des anciennes et anciens de l’ITA qui regroupe tous les diplômé(e)s des campus St-Hyacinthe et La Pocatière, peut vous aider via son service d’offres d’emploi. Visitez nos deux sites internet aux adresses suivantes : anciensita.ca/saint-hyacinthe ou http://aaaita.ca/ ou communiquez directement avec l’une des deux associations au : (450) 778-6504 poste 6298 ou (418) 856-1110 poste 1378. Il nous fera plaisir de vous aider. Nos offres d’emploi sont maintenant aussi diffusées sur Facebook.

Voici nos offres d’emplois en cours :

Nous joindre

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3230, rue Sicotte (Local AA-205)
Saint-Hyacinthe (Québec)
J2S 7B3
450-778-6504, poste 6298
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