Privilégier l'achat local | Avec l'arrivée du printemps, la fébrilité gagne les producteurs et les productrices agricoles du Centre-du-Québec. Vous comprendrez que le signal est ainsi donné pour les semis qui permettront de produire les aliments nécessaires pour nourrir la population. La mise en terre des semences est une étape cruciale et d'autant plus critique en ces temps de pandémie. Il faut des bras et des sous pour produire les denrées alimentaires. C'est aussi un acte de foi puisqu'on ne sait jamais ce que nous réserve Dame Nature. Il nous faudra aussi des marchés pour rentabiliser toute l'opération. Dernièrement, tout le secteur agricole était heureux d'entendre des gouvernements, canadien et québécois, la place qu'ils accordaient à notre filière en parlant d'autonomie alimentaire; de la musique à nos oreilles. Pour y arriver, ils ont mis en place différentes mesures pour supporter les entreprises agricoles pendant la crise, tant au niveau du financement que de la main-d'oeuvre. Le Québec a aussi élaboré des outils pour faciliter l'achat des produits d'ici sur le web. Il faudra aller plus loin, en améliorant les programmes de gestion du risque si on veut vraiment assurer la pérennité de la production. L'UPA y travaille toujours. Cette année, le monde agricole ressent une vague d'amour de la société en général. C'est motivant puisque la population semble privilégier l'achat local de denrées alimentaires, surtout en ces temps d'incertitude liés à la crise sanitaire. Dans cette optique, l'UPA a lancé le mouvement « Mangeons local plus que jamais ». Pourquoi acheter local? Plusieurs raisons militent en ce sens. En achetant local, on limite le transport des denrées alimentaires et l'utilisation d'emballage, ce qui est très positif pour diminuer l'empreinte environnementale de l'agriculture. Le consommateur ayant un lien privilégié avec le producteur, peut influencer le choix des produits mis en marché. Cette proximité permet de mieux faire connaître les pratiques agricoles. C'est aussi une façon de soutenir les entreprises du coin et de dynamiser le milieu. Comment acheter local? Il existe plusieurs façons. On peut penser aux différents sites web, soit celui du producteur ou en passant par le site d'Aliments du Québec ou encore par le dernier né, Le Panier bleu, entre autres. Plusieurs producteurs tiennent des kiosques à la ferme ou se déplacent dans un marché public. L'épicerie est aussi un lieu de prédilection pour faire l'achat de produits du Québec. Il ne faut pas se gêner pour y demander les aliments désirés s'ils ne sont pas sur la tablette. Je vous invite à suivre vos hebdos régionaux, il y a fort à parier qu'une multitude d'informations seront disponibles dans les semaines qui viennent à ce sujet. Comme on peut le constater, l'achat local est possible et souhaitable. Les producteurs et les productrices agricoles poursuivent inlassablement leur travail. Il faudra que cet engouement pour les produits locaux persiste pendant et après la crise. Il en va du dynamisme de nos régions et bien sûr, de notre autonomie alimentaire. Alain Désilets, vice-président | | MANGEONS LOCAL PLUS QUE JAMAIS! | L’Union a lancé récemment le mouvement Mangeons local plus que jamais !, pour inviter les Québécois à consommer des produits locaux. Cette vaste campagne promotionnelle comprend plusieurs volets et se décline autant dans les médias traditionnels que dans les médias sociaux. Afin de donner un précieux coup de pouce aux producteurs de la région qui travaillent sans relâche malgré la crise actuelle, nous avons décidé d’adapter cette campagne à notre réalité centricoise et de la faire rayonner chez nous. Concrètement, nous sommes à élaborer une campagne publicitaire en trois volets dans tous les hebdos du Centre-du-Québec, tant en format papier qu’électronique. Nous avons ciblé trois moments stratégiques, ce qui implique que nous serons présents très prochainement avec une déclinaison régionale de Mangeons local plus que jamais! Par la suite, nous souhaitons être présents avec une thématique Marchés publics et plus tard, avec une thématique Autocueillette. Surveillez vos hebdos et suivez-nous sur nos médias sociaux et notre site web. | PARTAGEZ vos plus belles photos | Les cinq MRC du Centre-du-Québec s’unissent pour mettre en valeur les produits bioalimentaires de la région. Cette démarche débute par la création d’une nouvelle image de marque, Notre Centre-du-Québec, goûtez-y!. Le mouvement débutera ce printemps avec le lancement de la nouvelle image et de son mot-clic #goutezy sur les médias sociaux. Nous faisons appel à vous pour nous envoyer les plus belles photos de vos produits, de votre entreprise, de vous ou de votre équipe. Partagez-nous ce qui fait votre fierté! Ces photos pourront être utilisées librement pour la création de diverses publications. Les photos, accompagnées du nom de votre entreprise, peuvent être envoyées au mpicotin@mrcdrummond.qc.ca d’ici le 15 mai prochain. S’il vous plaît également entrer vos coordonnées dans le très court formulaire disponible sous le lien suivant : https://forms.gle/W46Z6AfHnN5zmGbP6 Nous vous remercions à l’avance de votre participation. | Reprise de la construction et de la rénovation EN AGRICULTURE | Deux jours après avoir autorisé la reprise de la construction résidentielle, un arrêté ministériel publié le 22 avril a permis la construction et la rénovation de bâtiments agricoles. Il faut évidemment suivre les nouvelles recommandations de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST), qu’on retrouve dans le Guide COVID-19. À titre d’exemples, on doit respecter la distanciation sociale et les véhicules utilisés pour le transport du personnel doivent être remplis à 50% de leur capacité. Advenant que les mesures de distanciation ne soient pas possibles pour une durée supérieure à 15 minutes, l’employeur doit fournir de l’équipement de protection individuelle à chaque travailleur. Aussi, chaque travailleur qui arrive sur les lieux d’un chantier doit répondre à un questionnaire pour attester de son état de santé. | | Travailleurs étrangers temporaires | Vous attendiez des travailleurs et vous n’avez reçu encore aucun appel ? Ça signifie qu’il n’y a pas de travailleurs prêts. Tous les travailleurs qui sont arrivés ou ceux qui arrivent cette semaine étaient prêts à voyager avant la fermeture des frontières le 16 mars. Pour les autres, tout est plus incertain. Dès que vous savez qu’un de vos travailleurs arrivera, il faut contacter Marie-Pierre Lemire au CEA (819-519-5838 poste 177) pour discuter de la mise en quarantaine de ce travailleur et pour s’assurer que tout le protocole est respecté. | HÔTEL MONTFORT PRÊT À ACCUEILLIR VOS TRAVAILLEURS ÉTRANGERS TEMPORAIRES (TET) | Toutes les entreprises qui embauchent des TET doivent respecter une quarantaine. L’Hôtel Montfort de Nicolet vous offre, à prix avantageux, la possibilité d’y loger vos TET pour la période de quarantaine. Les chambres sont dotées d’une petite cuisinette. L’hôtel Montfort est un hôtel de 3 étoiles et plus, aucune inspection du logement n’est nécessaire pour la conformité du dossier auprès de Service Canada. Pour information 1-855-293-6262. | Campagne « J’y vais sur le champ » | Pour combler l’absence des travailleurs étrangers, le ministre de l’Agriculture a annoncé un programme visant à attirer les Québécois vers les emplois agricoles. Une campagne de recrutement, J’y vais sur-le-champ, a été lancée et la réponse est bonne. Le CEA du Centre-du-Québec reçoit déjà un fort volume de candidats prêts à venir aider les producteurs de notre région. Un incitatif financier a aussi été annoncé pour les candidats qui viendront prêter main-forte aux employeurs agricoles. Les critères d’admissibilité sont : - Être à l’emploi d’une exploitation agricole produisant des biens alimentaires pour la population;
- Avoir 15 ans et plus;
- Gagner le salaire minimum;
- Travailler dans ce secteur un minimum de 25 heures/semaine;
- Ne pas être actionnaire dans l'entreprise;
- Un maximum de 24 semaines sont admissibles à ce programme.
Le Centre d’emploi agricole (CEA) veillera au bon fonctionnement de ce programme, mais les détails administratifs ne sont pas encore finalisés. Les chercheurs d'emplois qui veulent participer à la campagne J’y vais sur le champ doivent communiquer avec le Centre d’emploi : 819-519-5838 poste 176 ou ceacdq@upa.qc.ca Les producteurs intéressés à obtenir des candidatures québécoises dans le cadre de cette campagne sont invités à communiquer avec Maxime Sauvageau du CEA au 819-519-5838 poste 178. | RAPPEL Le CEA et la Coopérative de remplacement de main-d’œuvre font équipe pour vous aider | | Le CEA s’arrime avec la COOP de remplacement de main-d’œuvre pour élaborer une stratégie afin de combler les besoins de remplacement des producteurs agricoles de notre région qui pourraient survenir si, par exemple, ils contractent le virus COVID-19. Vous pouvez communiquer avec le CEA ou la Coop de remplacement pour nous faire parvenir vos besoins de remplacement. Centre d’emploi agricole : Tél: 819-519-5838 Coop de remplacement de main-d’œuvre : Tél.: 819-291-0882 coop.solidarite.agricole@gmail.com | ANNONCE DU COMITÉ SUR LE QUOTA DE P5 - BAISSE DU QUOTA DE 2 % | Les offices des provinces de P5 ont accepté la recommandation du comité sur le quota de P5 de réduire le quota de 2 % à compter du 1er mai 2020. Les mesures de limitation des tolérances demeurent en vigueur. Le comité continuera de suivre de près la situation des marchés pour s’ajuster en fonction des nouvelles informations qui seront disponibles (évolution des stocks, ventes au détail d’avril, ajustement des livraisons). Pour plus de détails, consultez la résolution du comité sur le quota de P5 sur l’extranet des producteurs ou la vidéo explicative des Producteurs de lait du Québec. | | AJOUT D’UNE JOURNÉE ADDITIONNELLE POUR LE LAIT BIOLOGIQUE | Le conseil d’administration des Producteurs de lait du Québec a pris la décision d’émettre une journée additionnelle de production pour le mois de mai, pour les producteurs de lait biologique seulement. Cette décision vise à répondre à la demande spécifique pour le lait biologique. Le tableau des journées additionnelles est disponible sur l’extranet. | | Si vous avez des questions, n'hésitez pas à contacter votre conseillère Mme Nancy Paquet au 819 519-5838, poste 169 ou encore en lui adressant un courriel à : centreduquebec@lait.qc.ca | Les marchés publics peuvent opérer | Les marchés publics, permanents ou saisonniers, sont des commerces d’alimentation et peuvent poursuivre leurs activités. Les marchés publics qui désirent maintenir leurs activités doivent observer les mesures et les consignes d’hygiène et de santé publique. Ces établissements doivent également respecter les consignes suivantes : - Les marchands autorisés à effectuer de la vente dans un marché public doivent offrir uniquement des produits alimentaires, horticoles ou d’hygiène personnelle (ex. : savon);
- Aucune dégustation, ni aucun service de restauration ou de prêtà-manger n’est autorisé sur les lieux du marché public. Les marchands peuvent vendre des mets préparés, mais ces derniers doivent être emballés pour être emportés;
- Aucune activité d’animation ne peut se dérouler sur place (ex. : musicien, démonstration culinaire). Le marché public doit être uniquement un lieu d’approvisionnement d’aliments ou de produits d’hygiène;
- Les aires de jeux pour enfants, s’il y a lieu, doivent être fermées et inaccessibles;
- Aucun lieu de repos ou de repas ne peut être aménagé (ex. : chaises, tables, tables de piquenique);
- Aucun flânage n’est permis.
| À mesure que le beau temps s’installe et que les grands travaux s’amorcent dans les champs, l’enjeu de l’accès à des services de garde pour les producteurs et productrices agricoles se fait de plus en plus pressant. L’Union, de concert avec plusieurs partenaires de la filière, mène des représentations auprès du gouvernement afin que des solutions soient rapidement déployées. Pour des raisons de santé publique, les services de garde demeurent ouverts uniquement pour une liste restreinte de travailleurs, mais les discussions se poursuivent pratiquement au quotidien pour que les agriculteurs y soient ajoutés. | Plans régionaux des milieux humides et hydriques | Nous vous rappelons que les MRC d’Arthabaska, de l’Érable, de Drummond ainsi que de Nicolet-Yamaska sont en cours de réalisation de leur plan des milieux humides et hydriques. Les forums prévus initialement en mars dernier ont été annulés. Un webinaire ainsi qu’un sondage seront réalisés en remplacement. Le Webinaire se tiendra le 4 juin, de 10h à 12h. Le lien vers le webinaire sera donné lors de l’inscription. Quant au sondage, il sera lancé le 4 juin à 12h et se déroulera jusqu’au 19 juin. Le dévoilement des résultats se fera le 3 juillet. Le sondage sera réalisé en ligne, mais aussi par téléphone pour les personnes qui le désirent. Voici la publicité avec tous les détails: | ENQUÊTE SUR LES IMPACTS DE LA COVID-19 SUR L’INDUSTRIE TOURISTIQUE INCLUANT L’AGROTOURISTIQUE ET L’AGROALIMENTAIRE | Cette démarche se veut une procédure d’enquête évolutive et une vigie des impacts de la crise sur l’industrie. Les données recueillies permettront notamment de mettre en lumière les difficultés et défis rencontrés par les différents secteurs de l’industrie dans le contexte de la crise, de cerner les besoins prioritaires et d’alimenter la réflexion sur les actions à entreprendre par les différents acteurs du développement de l’industrie, pendant la crise et au-delà.
Afin que le portrait de la situation soit le plus fidèle possible, toutes les entreprises touristiques, agrotouristiques et agroalimentaires sont invitées à compléter le formulaire d’enquête, disponible ici.
| VOUS VIVEZ DES DÉFIS DE MISE EN MARCHÉ FACE AUX CHANGEMENTS ACTUELS? | Le Service aux entreprises, SAE Centre-du-Québec, dans un esprit de solidarité a mis en place une plateforme de communication et d’échange sur Facebook. L’usage évoluera selon les besoins. Le partage d’outils, l’appel à des collaborations, la diffusion d’initiatives sont autant d’exemples d’informations pertinentes à communiquer. Les intervenants du milieu pourront également l’utiliser. La participation est sur une base volontaire. La page se nomme Entreprises agroalimentaires Centre-du-Québec : entraidons-nous! | CHAPEAU AUX PRODUCTEURS AGRICOLES : BAISSE DE 28% DES VENTES DE PESTICIDES | Le bilan 2018 des ventes de pesticides au Québec affiche une baisse substantielle de près de 28% par rapport à l’année 2017. Cette baisse est principalement due à une diminution importante des ventes de glyphosate (- 39%) et d’atrazine (-59%). De plus, toujours pour l’année 2018 : - l’indice de pression sur l’environnement est le plus faible jamais enregistré depuis 15 ans.
- l’indicateur de risque pour la santé a diminué de 28% par rapport à la période 2006-2008 (une baisse de 3 % supérieure à l’objectif 2021 de la Stratégie phytosanitaire québécoise en agriculture).
- l’indicateur de risque pour l’environnement affiche une réduction de 15 % par rapport à cette même période, alors que la cible de réduction était de 25 %.
| DEMANDE DE PERMIS OU DE CERTIFICATS POUR LA VENTE ET L’UTILISATION DE PESTICIDES | Pour le dépôt d’une nouvelle demande de permis ou de certificat pour la vente et l’utilisation de pesticides, le format électronique est privilégié. Une fois rempli, vous devez transmettre le formulaire de demande de permis ou de certificat et les pièces requises par courriel au bureau du ministère de l’Environnement de Victoriaville, en acquittant les frais exigibles. Pour faciliter le dépôt de la demande au mode électronique, une copie numérisée de l’attestation d’examen, claire et lisible, est acceptée. Le virement bancaire est maintenant possible pour les entreprises et les municipalités. Un numéro de facture vous sera transmis lors du dépôt de votre demande pour vous permettre de procéder au paiement. Le paiement peut toujours être effectué par chèque ou par mandat-poste Coordonnées : Ministère de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques Direction régionale de l'analyse et de l'expertise du Centre-du-Québec 62, rue Saint-Jean-Baptiste, S-02 Victoriaville (Québec) G6P 4E3 Téléphone : 819 752-4530 Télécopieur : 819 752-1032 Courriel : centre-du-quebec@environnement.gouv.qc.ca | DU NOUVEAU POUR LES PRODUCTEURS DE GRAINS : SERVICES-CONSEILS EN AUTOGESTION DES RISQUES | Les services-conseils en autogestion des risques permettent aux producteurs de grains d’être accompagnés dans une étape cruciale : la mise en marché. Diagnostic global, coût de production, plan de commercialisation, voilà ce qu’offre ce service. De plus, les producteurs peuvent profiter du Programme services-conseils et obtenir une aide financière variant de 50 à 75% selon les régions et jusqu’à 85% pour les entreprises de la relève ou en production biologique. Pour plus d’informations, communiquez avec France Trudel à la Fédération 819-519-5838 au poste 166 ou Laurence Gendron MAPAQ 819-371-6761 au poste 4642. | ASSURANCE-RÉCOLTE COLLECTIVE FOIN : BONNE NOUVELLE ! 600 000 $ DE PLUS DANS LA RÉGION | Dame nature n’a pas été généreuse en 2019 et cela s’est reflété dans les récoltes. Une bonne collaboration entre le bureau régional de la FADQ et votre fédération régionale a conduit à la révision des résultats de certaines stations météo et plus particulièrement celle de St-Célestin. Cette collaboration a conduit à des ajustements de paiement dans trois stations météo. Un merci spécial aux producteurs du syndicat de l’UPA de Nicolet qui ont répondu à l’appel de la Fédération et ont transmis leurs résultat de récolte. Ces informations ont été précieuses pour l’élaboration du dossier. | | Station météo | Indemnité totale ($) | Nombre d'indemnisés | Indemnité moyenne par client ($) | | 52004 Nicolet | 172 080 $ | 26 | 6 644 $ | | 52005 Saint-Célestin | 304 832 $ | 38 | 7 953 $ | | 53001 Saint-Louis-de-Blandford | 106 207 $ | 41 | 2 590 $ | | Pour connaître l’État de la situation dans les productions | Chacune des productions vit son lot de défis en ce moment. Les événements se bousculent et l’information change presque quotidiennement. Pour les derniers développements, nous vous invitons à visiter les sites web des différentes spécialités, qui sont mis à jour régulièrement dans le contexte de la covid-19. | | FORMATION : Si la transformation alimentaire vous tente | La pandémie a mis les mots « produits d’ici » et « achat local » sur toutes les lèvres. Il est possible de manger des produits d’ici à l’année en mettant l’abondance estivale en pot, en barquette, en sac et en bouteille. Nos produits d’ici peuvent être transformés. Votre répondante en formation agricole souhaite entendre les producteurs agricoles et les transformateurs artisanaux sur le besoin de formation en matière de transformation alimentaire. Mise en conserve, congélation, lactofermentation, déshydratation, salaison, conservation dans l'huile, tous ces contenus sont disponibles ensemble ou séparément. En matière de formation sur mesure, tout peut être adapté : le contenu, la durée, l’horaire, le lieu, etc. Pour faire part de vos besoins de formation en transformation alimentaire, vous pouvez contacter la répondante en formation agricole pour la région Centre-du-Québec, Guylaine Martin, Tél. : 819-758-6401 poste 2702, gmartin@formationagricole.com. | COVID-19 – Outils de prévention pour le milieu agricole | MESURES D’AIDE AUX TRAVAILEURS ET AUX ENTREPRISES | | Plusieurs mesures d’aide ont été annoncées depuis le début de la crise, tant au provincial qu’au fédéral. Pour en savoir plus, veuillez consulter le document-synthèse déposé sur le site de la fédération www.centre-du-quebec.upa.qc.ca section publications, onglet communiqués. Vous pouvez également communiquer avec Frédéric Hamel du SCF CPA Centre-du-Québec Inc. au poste 149. | TRAVAILLEUSE DE RANG En ces temps difficiles pour plusieurs, nous vous rappelons que notre travailleuse de rang est disponible pour vous accompagner… à distance Hélène Bourgoin 450-768-6995 | | Mise en garde – Vente à pression de trousses de premiers soins | FACEBOOK En ces temps de confinement, les médias sociaux sont des outils précieux pour maintenir les liens dans les communautés. Aimez notre page facebook UPA Centre-du-Québec et demeurez à l’affût des plus récentes nouvelles. | | | | | |
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