VOTRE BULLETIN - MAI 2018

Une année 2017 bien remplie pour l’AAAITA

Au cours de l’assemblée générale annuelle de l’Association des anciennes et anciens de l’ITA – campus St-Hyacinthe qui a eu lieu le 26 avril dernier, le président Sylvain Biron, a présenté le bilan de l’année 2017 en parlant d’une année remplie de réalisations et de défis.

M. Biron a notamment souligné l’excellente performance du service de publication d’offres d’emploi avec une augmentation de 30 % du nombre d’offres d’emploi publiées par rapport à l’année 2016. « Il est clair que notre service d’offres d’emploi répond à un besoin de l’industrie et, en même temps, constitue autant d’occasions d’aider nos diplômés à se trouver de bons emplois », de dire Sylvain Biron.

Parmi les autres réalisations, le président a relevé la publication des 10 Bulletins électroniques mensuels de l’Association, bulletin qui est très populaire auprès des anciens de l’ITA. Au nombre des réalisations, il a également souligné la création d’un guide et aide-mémoire pour les anciens qui désirent s’organiser des retrouvailles. Ce guide a déjà suscité de nombreuses demandes.

Le président a également relevé le départ au cours de 2017 de deux administrateurs soit Olivier Charron et Bernard Desautels. Sylvain Biron a aussi profité de l’occasion pour remercier les autres administrateurs pour leur temps, leur énergie et leurs contributions soit Louise Riendeau, Jean-Luc Sauvé, Alain Paradis et André Campeau (absent à l’AGA).

Alain Paradis, Jean-Luc Sauvé, Louise Riendeau.


Un printemps assez moche merci !

Le mois d’avril qui vient de se terminer aura été parmi les 5 plus froids depuis 1942.

Dans le sud du Québec, les températures ont été de 3 à 5 °C sous les normales de saison. Dans l’est de la province, elles ont été jusqu’à 2 °C sous les normales avec des précipitations de 50 mm au-dessus des moyennes. Et à Val-d’Or, avril n’a jamais été aussi froid. À Montréal, le mercure a atteint 10 ˚C à seulement deux reprises au cours des trois premières semaines.

Pour ce qui est de mai, toutes les projections annoncent une météo en dents de scie pour les deux dernières semaines. Quelques belles journées de chaleur mais rien de constant.

En deux mots, si vous avez l’impression qu’il a fait plus froid qu’à l’habitude au mois d’avril, vous ne vous trompez pas. Un mois d’avril à oublier et un mois de mai qui s’annonce couci couça !


L'Institut de technologie agroalimentaire souligne le talent et la réussite

L’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) a tenu ses galas annuels dans ses campus de Saint-Hyacinthe et de La Pocatière les 18 et 25 avril derniers. Les deux événements ont permis de souligner le talent, l’implication et la réussite des étudiants et étudiantes pour l’année 2017-2018.

Au-delà de 900 personnes, soit des élus de la Montérégie et du Bas-Saint-Laurent, des représentants de l'industrie, des membres du personnel et des étudiants de l’ITA, de même que des parents et des amis y ont participé. À cette occasion, plus de 160 prix et bourses ont été remis, totalisant près de 86 000 dollars grâce à la générosité de nombreux partenaires locaux et régionaux ainsi que des entreprises québécoises issues de tous les secteurs de l’industrie.

Au campus de La Pocatière, l’événement s’est déroulé sous la présidence d’honneur de Maxim Tardif, diplômé 2008 en Technologie de la production horticole et de l’environnement.

Lors du Gala Méritas à Saint-Hyacinthe, M. Alain Desautels, diplômé en gestion et exploitation d’entreprise agricole en 1993, agissait comme président d'honneur. Il a également reçu le Mérite Édouard-Brochu afin de souligner sa réussite et ses réalisations professionnelles.

Remise d’un panier cadeau au président d’honneur Maxim Tardif
par Sylvain Gingras, directeur du campus de La Pocatière.

Rappelons que Le Gala Méritas et le Gala de l’excellence ont comme objectif de souligner le talent, l’implication et la réussite des étudiants et étudiantes. Ces deux activités de reconnaissance favorisent l’épanouissement personnel et professionnel des étudiants et permettent aussi aux entreprises de rencontrer leurs futurs employés. 

M. Alain Desautels, président d'honneur du Gala Méritaset récipiendaire du Mérite Édouard-Brochu,
ainsi que M. Michel Ste-Marie, directeur du campus de Saint-Hyacinthe.


Étudiant et ancienne de l’ITA qui s’illustrent

Un prix prestigieux pour Consortium Prisme

Consortium Prisme, de Sherrington, sur la Rive-Sud de Montréal s’est vu décerner en mars dernier, un prix d’envergure au 9e Symposium international sur la lutte intégrée pour ses projets de mouches stériles de l’oignon et de capteurs de spores. Cette distinction a été remise par l’Integrated Pest Management qui est géré par le Center for Innovation in Teaching & Learning de l’Université de l’Illinois à Urbana-Champaign. Ce prix prestigieux a été décerné à PRISME Consortium pour son utilisation des mouches stériles et des capteurs de spores en lutte intégrée.

C’est la directrice générale de Consortium PRISME, Madame Linda Roberge qui a reçu le prix en soulignant que l’entreprise envisage maintenant la construction d’une nouvelle usine d’insectes pour étendre la recherche à d’autres espèces, parce que les bâtiments actuels sont désuets.

Linda Roberge est une ancienne de l’ITA, campus Saint-Hyacinthe et diplômée en horticulture légumière et fruitière (HLF) 1993.

Prix de la Technopole pour un étudiant

Par ailleurs, Cédric Lacharité de Montréal, étudiant en technologie du génie agromécanique à l’Institut de technologie agroalimentaire, campus Saint-Hyacinthe a remporté le prix de la technopole 2018. Ce prix, assorti d'une bourse de 1 000 $, lui a été remis par Mme Karine Guilbault, directrice du développement industriel de Saint-Hyacinthe Technopole. Encore une fois, la formation offerte à l’ITA se démarque.


Record de postes vacants au Québec

Le nombre de postes vacants a continué de croître l'an dernier au Canada et c'est au Québec que l'on a observé la hausse la plus marquée à ce chapitre, selon les derniers chiffres de Statistique Canada.

Les employeurs le constatent déjà : la main-d'œuvre se fait déjà rare et ce nouveau portrait brossé par l'agence fédérale suggère que les entreprises devront continuer à travailler d'arrache-pied pour combler leurs besoins et attirer des employés.

Dans l’ensemble du Canada, il y avait 469 795 postes à combler chez les employeurs à la fin de 2017, soit une hausse de 23 % par rapport à l’année précédente. Il s'agissait en fait du cinquième trimestre de suite au cours duquel la tendance était à la hausse.

Au Québec, la situation est encore pire. Plus de 92 500 postes étaient disponibles l’an dernier, soit une augmentation de 46 % par rapport à 2016. Deux facteurs expliquent cette tendance : d’abord, une accélération des retraites provoquées par le vieillissement de la population mais aussi un taux de croissance de 3,1 % de l’économie québécoise soit la meilleure performance depuis le début des années 2000.

Au Québec, c'est dans le secteur de la fabrication qu'il y avait le plus grand nombre de postes disponibles, avec près de 13 800 à la fin de l'année, ce qui constitue une hausse de 65 pour cent par rapport au même moment en 2016. Évidemment, le secteur bioalimentaire qui représente plus d’un emploi sur huit, n’est pas épargné.

Selon Statistique Canada, le taux horaire moyen offert par les employeurs québécois pour les postes à combler se situe actuellement à 19,50 $. Évidemment, le portrait varie toutefois d'un secteur à l'autre. Dans ce contexte, il n’est pas surprenant de voir que les étudiants-diplômés de l’ITA soient des candidatures recherchées pour les employeurs.


Une image vaut mille maux !

 

Guichet automatique pour petits épargnants


La production de sirop d’érable, un modèle structurant pour les régions

Selon une note d’intervention publiée il y a quelques semaines par l’Institut de recherche en économie contemporaine (IREC), la structuration de la filière aéricole et les instruments de régulation ont largement contribué à l’essor de la production du sirop d’érable non seulement sur les marchés internationaux mais aussi dans les régions du Québec. Selon les auteurs de l’étude, cet essor est intimement lié à la création d’institutions de régulation que se sont données les producteurs de sirop d’érable du Québec (plan conjoint, agence de vente, contingentement et réserve stratégique, principalement).

Selon l’IREC, les faits montrent que le modèle institutionnel de la filière acéricole a produit jusqu’ici des résultats convaincants : non seulement a-t-il permis de consolider les bases de l’entrepreneuriat québécois en acériculture, mais il a fait connaître à l’économie de l’érable du Québec un véritable saut qualitatif.

Et c’est sans compter les multiples retombées positives générées par cette filière récente pour les économies régionales où elle est implantée. C’est ainsi qu’au cours des dernières années, des contingents de production ont été réservés pour le démarrage de nouveaux établissements en production acéricole. De 2008 à 2016, c’est plus de 7,7 millions de livres qui ont été distribués pour le démarrage, ce qui équivaut à l’entrée d’environ 675 nouveaux producteurs dans le métier. La filière permet de générer des effets positifs sur le bilan économique des régions rurales où est installée la production acéricole.

Pour ce qui est de l’augmentation de production de sirop d’érable par les américains, l’étude reconnaît qu’il y a eu une hausse de production mais cette augmentation a été moindre que celle du Québec pour les mêmes années, comme le montre le graphique suivant.

L’IREC conclut que dans un marché en expansion, l’arrangement institutionnel en acériculture, loin de constituer un frein à la production acéricole, a au contraire été une formidable rampe de lancement pour les producteurs québécois dans ce secteur.


Saviez-vous que

Le grizzli a assez de force de morsure pour écraser une boule de bowling !

Le grizzli, dont le nom scientifique est l’Ursus horribilis (l’ours horrible), est un des animaux les plus grands et les plus féroces sur Terre. Ses griffes font 10 centimètres de long et ses besoins caloriques quotidiens sont de 20 000 calories. Comparativement à l’humain, une femme a besoin d’environ 2 000 calories par jour tandis que les besoins calorifiques d’un homme sont d’environ 2 600 quotidiennement.

Mais saviez-vous que la morsure du grizzli exerce une pression de 8 000 000 pascals, assez pour écraser une boule de bowling. En comparaison, l’être humain peut exercer une pression allant jusqu’à 58kg/cm² et la pression pour casser l’os d’un bras humain est de 150kg/cm², ce qui nous montre à quel point la bête peut être dangereuse.


Fallait y penser

  • Lorsque j'ai un chat dans la gorge, je prends du sirop pour matou.
     
  • Selon les derniers chiffres, 43 % des statistiques sont fausses.
     
  • On dit d'un accusé qu'il est cuit quand son avocat n'est pas cru.

Le truc du mois

Nettoyez facilement l’ensemble de jardin

Avec l’arrivée du printemps, il y a souvent plusieurs corvées avant de profiter des douceurs de l’été comme, par exemple, nettoyer le mobilier de jardin en PVC. Un peu d’huile de coude et les bons produits devraient vous faciliter la tâche.

Pour facilement nettoyer et raviver le mobilier de jardin devenu gris ou taché par les intempéries, utilisez du vinaigre blanc.

  • Diluez 1 volume de vinaigre blanc pour 2 volumes d'eau.
  • Frotter à l'aide d'une éponge.
  • Laisser agir quelques minutes et rincer à l'eau.

Pour blanchir les meubles de jardin, vous pouvez utiliser l’eau de javel.

  • Imbibez une éponge ou un chiffon d'eau de Javel pure.
  • Frotter sur toute la surface du meuble
  • Laisser sécher au soleil, puis rincer à l'eau.
  • L'eau de Javel est très efficace en cas de moisissures.

Peut-être l’avez-vous connu …

Cette chronique « Peut-être l’avez-vous connu … » vise à souligner le décès d’un(e) ancien(ne) de l’ITA ou quelqu’un de proche de l’Institut. Si vous connaissez quelqu’un qui a fréquenté l’ITA ou qui a un lien avec notre Institut et qui est décédé, vous pouvez nous faire parvenir de l’information (vérifiable) au sujet de cet événement via notre courriel : associationanciens.ita@gmail.com .

Monsieur Laurent Allard – Un des premiers diplômé(e)s de l’ITA, campus Saint-Hyacinthe, monsieur Laurent Allard, est décédé le 18 avril dernier à Acton Vale. Âgé de 76 ans, monsieur Allard faisait partie en effet de la toute première cohorte de diplômés, celle de 1965 avec 17 autres étudiants. Diplômé en technologie laitière, monsieur Allard participait activement à tous les cinq ans à l’organisation de retrouvailles de son groupe.

Outre son épouse Denyse Vadeboncoeur, le défunt laisse dans le deuil son fils Dick (Johanne Belhumeur), ainsi que parents, neveux, nièce, et nombreux amis.

Une pensée !


Nos offres d’emploi ce mois-ci

Vous avez une offre d’emploi ou vous connaissez quelqu’un qui recherche du personnel qualifié? L’Association des anciennes et anciens de l’ITA qui regroupe tous les diplômé(e)s des campus St-Hyacinthe et La Pocatière, peut vous aider via son service d’offres d’emploi. Visitez nos deux sites internet aux adresses suivantes : http://www.anciensita.ca/saint-hyacinthe ou http://www.aaaita.ca/ ou communiquez directement avec l’une des deux associations au : (450) 778-6504 poste 6298 ou (418) 856-1110 poste 1378. Il nous fera plaisir de vous aider. Nos offres d’emploi sont maintenant aussi diffusées sur Facebook.

Voici nos offres d’emplois en cours :

Nous joindre

Campus de
Saint-Hyacinthe

3230, rue Sicotte (Local AA-205)
Saint-Hyacinthe (Québec)
J2S 2M2
450-778-6504, poste 6298
associationanciens.ita
@gmail.com

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Campus de
La Pocatière

401, rue Poiré
La Pocatière (Québec)
G0R1Z0
418 856-1110 poste 1378
permanence.anciens
@gmail.com