Infolettre 11 octobre 2019 vol. 4, no 14 | | 27 septembre 2019 Marche pour la planète C'était la plus grande manifestation de l'histoire du pays, et le SCCCUM y était! | Chères et chers membres, Participer à une manifestation de 500 000 personnes, c'était une première! ...que les représentants et représentantes du SCCCUM ont vécu comme un privilège. Ce fut un véritable plaisir de marcher aux côtés de tant de citoyennes et citoyens engagés dans la cause environnementale. Il faut saluer la jeunesse qui est à l'origine de ce grand mouvement. Grâce à celui-ci, le monde est aujourd'hui nettement plus conscient de la nécessité de défendre notre planète en luttant contre les gaz à effet de serre. Souhaitons que les dirigeantes et dirigeants du monde entier aient saisi la volonté des citoyennes et citoyens! Solidairement, Votre équipe syndicale | Plusieurs manifestants arboraient des pancartes très expressives, qui faisaient ressortir leurs inquiétudes devant un avenir incertain et le manque d'engagement des gouvernements. | | Vous souvenez-vous de Pac-Man? Ce n'est pas seulement les jeunes qui ont investi les rues de Montréal! Des manifestants et manifestantes de tous âges ont voulu faire entendre leur voix. | | « On peut faire des omelettes sans suremballer les oeufs! » Certaines pancartes donnaient des exemples bien concrets pour que les compagnies deviennent plus écoresponsables. | | Cessons de faire l'autruche! « Sortez votre tête du trou! Pour opérer le changement, il n'en tient qu'à nous! » | | Au pied du Mont-Royal, le monument de George-Étienne Cartier était bien entouré! Celui qui s'est voulu un réformateur du système d'éducation au Québec aurait de quoi être fier de sa descendance. | | Il est temps que les gouvernements répondent à l'appel du peuple! Un demi-million de personnes ont manifesté dans les rues de Montréal le 27 septembre pour souligner la fin d’une semaine d’action climatique et exiger des gouvernements qu’ils se responsabilisent et agissent devant la crise climatique à laquelle la société fait face. La mobilisation actuelle au Québec pour la justice climatique est sans équivoque. L’intersectionnalité et la diversité de la coalition constituent la force de ce mouvement intergénérationnel, et c'est la raison pour laquelle la jeune activiste suédoise, Greta Thunberg, a choisi de mener la manifestation monstre à Montréal coude à coude avec la jeunesse autochtone et québécoise. | < Le campus MIL – lieu du haut savoir et facteur de l'embourgeoisement du quartier C'est le vendredi 20 septembre, en présence du premier ministre François Legault et de nombreux dignitaires, qu'a été inauguré le nouveau Complexe des sciences de l’Université de Montréal, situé sur le terrain de l’ancienne gare de triage du nord-est de l’arrondissement Outremont. Ce chantier, qui a débuté il y a trois ans, est l’un des plus importants de l’histoire du Québec. Le nouvel édifice loge quatre départements de la Faculté des arts et des sciences, soit ceux de chimie, de physique, de géographie et de sciences biologiques. Et on annonce déjà la phase 2, qui permettra d’accueillir les départements de mathématiques et statistiques et d’informatique. Des félicitations s’imposent, que nous adressons au recteur Guy Breton, de même qu’aux maîtres d’œuvre et aux artisans de ce projet qui s’achève dans les délais et sans dépassement de coût. Du haut savoir dans un édifice écoresponsable entouré d'espaces verts et doté de nombreux laboratoires à la fine pointe de la technologie, voilà qui décrit bien ce nouveau complexe. Cependant, si son architecture ambitieuse fait l'unanimité, le campus MIL qui a été construit près de quartiers populaires n'en fait pas moins craindre à certains groupes sociaux les effets de l'embourgeoisement. Il est vrai que les loyers augmentent rapidement dans le secteur et que les citoyennes et citoyens du quartier ont raison de redouter d'être délogés. Des manifestants l'ont fait savoir aux dignitaires réunis le 20 septembre, dont la mairesse Valérie Plante. Il faut espérer que leur message ait été entendu. À tous les chargées et chargés de cours qui auront à enseigner au campus MIL : nous aimerions connaître vos impressions sur le nouveau complexe et sur toute éventuelle modification de conditions d'exercice dans ses locaux. Écrivez-nous. | Semaine de la santé et de la sécurité au travail (SST) du 13 au 20 octobre 2019 à la CSN | Semaine de la santé et de la sécurité au travail (SST) du 4 au 8 novembre 2019 à l'UdeM L'UdeM aussi consacrera une semaine à la santé sécurité au travail. Cependant, elle aura lieu un peu plus tard, soit pendant la semaine du 4 au 8 novembre. De nombreuses activités marqueront la semaine SST, dont plusieurs ateliers tenus le midi dans différents pavillons, de même que la conférence de l’alpiniste Monique Richard (le 6 novembre à 11 h 45 à Roger-Gaudry). Nous vous tiendrons au courant, et surtout, d'ici là, continuez à travailler en toute sécurité! | Autonome et solidaire La FNEEQ : une intervenante majeure dans le domaine de l’éducation La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ) a été fondée en 1969. Elle compte actuellement 101 syndicats et représente près de 34 000 membres dans 46 syndicats de cégeps (collèges d’enseignement général et professionnel), dans 43 syndicats d’établissements d’enseignement privés et dans 13 syndicats d’établissements universitaires, soit dix syndicats de chargées et chargés de cours, l’Association des étudiantes et des étudiants salarié-es diplômé-es de l’Université McGill, le Syndicat des tutrices et des tuteurs de la Télé-Université et l’Association des maîtres d’enseignement de l’École de technologie supérieure. De plus, le syndicat des travailleuses et des travailleurs de Merinov (CSN) regroupant des chercheuses et des chercheurs, fait également partie de nos rangs. Par sa composition, la FNEEQ couvre tous les niveaux d’enseignement partagés entre le secteur public et le secteur privé de l’éducation. Elle est, par ailleurs, l’organisation syndicale la plus représentative de l’enseignement supérieur. | Sauvons notre culture! Pendant des années, notre culture nationale, régionale, locale prospérait à la radio, à la télé et à l’écrit. Nos politiques ont permis l’essor d’écosystèmes culturels dynamiques et professionnels qui alimentent notre identité, et même notre économie. Les développements technologiques et l’arrivée des géants du Web ont fortement perturbé le secteur culturel en entraînant des changements dans la façon de produire, de distribuer, de promouvoir et d’accéder aux contenus culturels. Les plateformes en ligne offrent un choix important de contenus musicaux, audiovisuels et littéraires. Mais peut-on vraiment choisir de voir, d’écouter, de lire nos artistes et nos créateurs sur ces plateformes? Nos productions sont-elles assez présentes? Sont-elles suffisamment soutenues et mises en valeur dans ce nouvel environnement? La réponse est non. Parce que nos politiques culturelles ne s’appliquent pas en ligne. | Rappel : période d'affichage N'oubliez pas de postuler pour le trimestre d'hiver 2020. La période d'affichage prend fin le 15 octobre. Vérifiez votre fiche de paie! Il arrive que, malheureusement, des erreurs se glissent dans les fiches de paie. Et même de grosses erreurs. Soyez aux aguets, vérifiez bien votre fiche de paie. | Suivez-nous sur notre site Web et sur nos réseaux sociaux! | © 2019 SCCCUM, tous droits réservés. | | | | |