Retrouvailles : ils se revoient 40 ans plus tard De gauche à droite : 1ère rangée :Christian Régnaud, François Messier, Sylvain Duquette, Claudette Brault, Margo Bohemen, Michel Mongrain, Daniel Laurin, Suzanne Tenhave, 2ième rangée :Jean-Claude Hivon, Jean-Guy Rodrigue, Laurent Blier, André Pétrin, François Pelletier, Christian Lepage, Gaétan Francoeur, Denis Gagnon, Claude Hamel, Alain Lévesque, Jacques Lapointe, Jean-Yves Grégoire, Martin Lemoyne Samedi et dimanche 14 et 15 septembre derniers, avait lieu à Mont Saint-Grégoire un rendez-vous pour célébrer le 40ième anniversaire de promotion de Zootechnologie 1979, campus de Saint-Hyacinthe. Une rencontre dans un décor champêtre, tout à fait extraordinaire à laquelle la très grande majorité du groupe était présent. Ce fut un véritable plaisir d’avoir la chance de se revoir après toutes ces années, partager un peu de vécu et d’expériences, mais surtout de se replonger dans le temps et se remémorer tous les bons moments vécus ensemble. Aux dires d’une des organisatrices, madame Suzanne Tenhave, « un groupe tricoté serré comme il en existe peu. Les souvenirs ont coulé à flot et nous avions tous la sensation que c’était juste hier que nous nous étions rencontrés pour la dernière fois. » Marcel Pinard, Paul Hénault, Éric Andriamanjay, François Bergeron, André Boucher, Claude Goyette, Réjane Baril Le samedi soir, d'autres membres de la promotion 1979 qui avaient pu être rejoints, sont venus partager ces moments. Une rencontre qui restera gravée à jamais dans nos mémoires. | Une ancienne de La Pocatière fait parler d’elle dans les médias Madame Sandra Paradis, diplômée de l’ITA, campus de La Pocatière, a fait l’objet d’un reportage intéressant dans l’édition du samedi 7 septembre, du Journal de Montréal. Sous la plume de Martin Lavoie, le journaliste raconte le parcours professionnel et personnel de Mme Paradis, diplômée en GEEA – 2006 du campus La Pocatière. Voici des extraits du reportage. La copropriétaire de la ferme l’Arc-en-Ciel du Paradis, à Cap-Santé, Sandra Paradis, au centre, sa mère Marielle Paradis, son conjoint Delfino Tellez Jimenez et leurs trois filles, Flor, 4 ans, Leticia, 2 ans, et Dulce, 6 ans. Le 4e enfant est prévu pour le 2 janvier. Comme bien d’autres de ses compatriotes mexicains, Delfino Tellez Jimenez est un jour débarqué sur l’île d’Orléans pour y travailler sur une ferme maraîchère. Il s’est finalement enraciné au Québec après y avoir trouvé une conjointe avec qui il a fondé une famille et une exploitation agricole. Permis de travail temporaire en poche, M. Tellez Jimenez est arrivé au Québec en 2004. « À 6,75 $ de l’heure, c’était le paradis par rapport au peso mexicain ! On travaillait huit mois ici et on sortait riche », s’exclame-t-il encore aujourd’hui. Mais les huit mois passés au Québec ont des conséquences fâcheuses pour le couple qui, rapidement, se sépare. Delfino Tellez Jimenez est revenu en 2005, puis en 2006, où sa vie a pris un nouveau tournant. « Je venais de terminer mon cours en gestion d’entreprises agricoles à l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) de La Pocatière. Je voulais un travail pour l’été afin d’apprendre avant de m’acheter une ferme », explique Sandra Paradis. Elle se retrouve donc sur la Ferme Maurice et Philippe Vaillancourt, à Saint-Laurent-de-l’Île-d’Orléans, où Delfino Tellez Jimenez travaille. «Au début, il ne parlait qu’espagnol. J’avais eu des cours au secondaire, mais je n’avais jamais vraiment parlé la langue. Mais comme je m’occupais de 30 ou 40 travailleurs étrangers, je me suis débrouillée », se rappelle Mme Paradis. Les étapes Malgré le coup de foudre, M. Tellez Jimenez a dû retourner au Mexique à la fin de sa période de travail. Il a passé l’hiver suivant ici. « Je voulais voir si je pouvais supporter le froid », dit-il. Le couple se marie en 2008. Les deux plus vieux garçons de M. Tellez Jimenez, âgés alors de 15 et 16 ans, viennent les rejoindre à l’île d’Orléans, chez les parents de Mme Paradis. « Mes parents nous ont toujours aidés. Ils rêvaient aussi d’avoir une ferme. » Des débuts tout sauf faciles Leur projet prend forme à Cap-Santé où l’Arc-en-Ciel du Paradis voit le jour en 2010. Sandra Paradis et son conjoint ont littéralement travaillé la terre à la main pour faire de leur ferme ce qu’elle est aujourd’hui. « La terre était plantée en épinettes et en sapins. On s’est débarrassé de 18 000 petits plants. Il y avait des champs sans irrigation qu’on appelait la piscine à vagues. Le tracteur ne fonctionnait pas (il a rendu l’âme au bout d’une semaine !), le semoir non plus. On a fini par planter le maïs à la main ». Elle reconnaît que des moments de découragement il y en a eu. « Mon père était bon pour nous motiver. » | Un automne sournois Comme prévu, le mois de septembre a été plus chaud que la normale sur une bonne partie du territoire québécois sauf dans certains secteurs qui ont connu plusieurs épisodes de gel précoce comme au Saguenay-Lac-St-Jean ce qui a eu pour effet de stopper la cueillette dans les bleuetières. Dans le Bas-St-Laurent, plusieurs maraîchers ont subi des pertes avec des températures de 2 à 3 ⁰C sous les normales de saison lors des deux premières semaines de septembre. Pour ce qui est du mois d’octobre, ce sera le combat entre le froid et le chaud et, malheureusement, il semble que le froid va l’emporter. D’ailleurs, vers la fin de cette semaine, les températures devraient fléchir de façon notable. Et il faudra aussi se méfier car les premières neiges pourraient nous prendre par surprise. Par la suite, tous les patrons météo, canadiens comme américains convergent vers un hiver qui sera dur particulièrement janvier, février et mars. En perspective, un hiver corsé. N’oubliez pas : à compter de cette année, la pose des pneus d’hiver est obligatoire à compter du 1er décembre. | Le meilleur fromage 2019 au Québec est … Le Québec a maintenant son meilleur fromage de l'année 2019! Il s'agit du fromage Religieuse de la Fromagerie du Presbytère (Centre-du-Québec). Ce fromage a en effet reçu le prestigieux Caseus Or, symbole d'excellence en matière de fromages au Québec. Trois autres distinctions ont aussi été remises à des fromages produits par La Fromagerie du Presbytère. Le Caseus Argent a été remis à La Tomette de L'Atelier Fromagerie (Centre-du-Québec). Le Caseus Bronze a été décerné au Pionnier, produit par la Fromagerie Nouvelle-France (Estrie) et la Fromagerie du Presbytère (Centre-du-Québec). Le Caseus Longaevi, qui récompense un fromage qui est vieilli, a été attribué au Zacharie Cloutier 12 mois, de la Fromagerie Nouvelle-France (Estrie). Les mentions spéciales du meilleur fromage biologique et du meilleur fromage au lait cru ont été respectivement allouées au Chemin Hatley et à Alfred Le Fermier, deux fromages fabriqués par la fromagerie La Station (Estrie). En mai dernier, un jury de 22 spécialistes, représentant les diverses filières du secteur fromager, a évalué pas moins de 169 fromages. Au terme d'un rigoureux processus d'évaluation, 21 fromages se sont illustrés dans les différentes classes du concours. Créé en 1998, Sélection Caseus souligne depuis 21 ans l'excellence des fromages québécois et met en évidence le savoir-faire de celles et ceux qui les fabriquent. Il est organisé par le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation et l'Institut de technologie agroalimentaire (ITA), campus de Saint-Hyacinthe en collaboration avec Cintech Agroalimentaire. | Une image vaut mille maux ! Est-ce que Roméo aurait pu chanter la sérénade à Juliette ? | Fallait y penser - Il y a 30 ans : va dans ta chambre. Aujourd’hui : sort de ta chambre.
- Quand je vois ce que je vois et que j’entends ce que j’entends, je me dis que j’ai bien raison de penser ce que je pense.
- C'est toujours quand il y a un temps mort qu'il faut tuer le temps.
| Saviez-vous que... ... Le Tiramisù sert à remonter le moral Le Tiramisù est un célèbre dessert provenant du nord de l'Italie. Son nom est un dérivé de l'expression italienne "tirare su", signifiant "remonter le moral" ou "redonner des forces", du fait de sa contenance en café et de son goût très apprécié et populaire. Plusieurs légendes courent autour de ce fameux dessert notamment que le tiramisù serait une façon de ne pas gaspiller les restes de gâteau et de café froid. On imbibait le gâteau dans une liqueur et on le recouvrait par une crème ou du mascarpone. Un fait demeure : le tiramisù est le dessert italien le plus dégusté au monde. | Le truc du mois ... ...Comment bien ranger ses pinceaux Une fois les pinceaux nettoyés, plusieurs personnes ont tendance à les empiler pêle-mêle quelque part dans un fond de tiroir ou au fond de l’établi. Voici une méthode simple et pratique de les ranger. Il suffit simplement d’installer de petits crochets sous un comptoir ou une tablette et d’y ajouter une tige de métal. Assurez-vous de laisser suffisamment d’espace entre la tablette et les crochets afin de pouvoir y glisser plusieurs types de pinceaux. De plus, lorsque vous en aurez de nouveau besoin, vous pouvez repérer facilement la taille du pinceau que vous recherchez. | Peut-être l’avez-vous connu … Cette chronique « Peut-être l’avez-vous connu … » vise à souligner le décès d’un(e) ancien(ne) de l’ITA ou quelqu’un de proche de l’Institut. Si vous connaissez quelqu’un qui a fréquenté l’ITA ou qui a un lien avec notre Institut et qui est décédé, vous pouvez nous faire parvenir de l’information (vérifiable) au sujet de cet événement via notre courriel : associationanciens.ita@gmail.com . Heureusement ce mois-ci, pas de décès. | Nos offres d’emploi ce mois-ci Vous avez une offre d’emploi ou vous connaissez quelqu’un qui recherche du personnel qualifié? L’Association des anciennes et anciens de l’ITA qui regroupe tous les diplômé(e)s des campus St-Hyacinthe et La Pocatière, peut vous aider via son service d’offres d’emploi. Visitez nos deux sites internet aux adresses suivantes : http://www.anciensita.ca/saint-hyacinthe ou http://aaaita.ca/ ou communiquez directement avec l’une des deux associations au : (450) 778-6504 poste 6298 ou (418) 856-1110 poste 1378. Il nous fera plaisir de vous aider. Nos offres d’emploi sont aussi diffusées sur Facebook. Offres d’emploi disponibles actuellement: - Responsable Contrôle Qualité, Bernard Breton, St-Narcisse-de-Beaurivage
(Date de parution: 19 septembre 2019) - Contremaître ou Contremaîtresse – Collections vivantes, végétaux, Espace pour la Vie, Ville de Montréal
(Date de parution: 19 septembre 2019) - Acheteur, Commis-vendeur en centre jardin, Botanix, Sorel-Tracy
(Date de parution: 12 septembre 2019) - Polyvalent au brassage, Brasseries Sleeman, Chambly
(Date de parution: 12 septembre 2019) - Technicien(ne) système qualité & HACCP, Aliments BCI Foods, Saint-Hyacinthe
(Date de parution: 5 septembre 2019) - Technicien assurance qualité, Maurice Guillemette Inc., Bécancour
(Date de parution: 5 septembre 2019) - Technicien agricole, 5 Points cannabis, Pierreville
(Date de parution: 29 août 2019) - Coordonnateur Systèmes Qualité, Croustilles Yum Yum, Warwick
(Date de parution: 22 août 2019) - Technicien Contrôle de la qualité, Croustilles Yum Yum, Warwick
(Date de parution: 22 août 2019) - Chef de production, Nova Farming, Brossard
(Date de parution: 22 août 2019) - Représentant(e) inventaire et qualité, UPA, Province Québec
(Date de parution: 15 août 2019) - Technicien(ne) Contrôle Qualité, Olymel, Drummondville
(Date de parution: 15 août 2019) - Technicien de laboratoire, Agropur, Beauceville
(Date de parution: 15 août 2019) - Superviseur(e) assurance qualité, Aliments Asta inc., St-Alexandre de Kamouraska
(Date de parution: 8 août 2019) - Contrôleur(e) de la qualité, Laiterie Charlevoix, Baie-Saint-Paul
(Date de parution: 8 août 2019) - Conseiller en production horticole et grande culture, Fertinor, Lanaudière
(Date de parution: 8 août 2019) - Coordonnateur au développement de la zone agricole, Municipalité régionale de comté (MRC) de Pierre-De Saurel (Date de parution: 1er août 2019)
- Technicien de laboratoire, Aliments BCI Foods, Saint-Hyacinthe
(Date de parution: 18 juillet 2019) | | | | |