Infolettre du 27 février 2020 | SEMAINE DES TRAVAILLEURS SOCIAUX 2020 DU 22 AU 28 MARS Commandez MAINTENANT votre affiche de la Semaine des travailleurs sociaux! | Cette année encore, la tradition est respectée et nous vous offrons la possibilité de commander, sans frais, l’affiche produite pour souligner la Semaine des travailleurs sociaux (22 au 28 mars 2020). Cette affiche s’inspire du texte que David Goudreault, slameur, auteur, romancier et travailleur social a écrit spécialement pour la Semaine des T.S. et qui sera l’élément central de la vidéo qui sera tournée pour l’occasion (et qui vous en mettra plein la vue!). Une nouveauté cette année: au verso de l’affiche vous trouverez le texte écrit par David Goudreault. Vous pourrez donc constater de visu la richesse et la force de ce slam. COMMENT commander? Pour commander votre affiche, vous n’avez qu’à remplir le formulaire ci-joint et en cochant l’une des trois options, soit 1, 2 ou 3 affiches. Cela dit, si vous organisez un événement dans le cadre de la Semaine des T.S. (ou pour toute autre raison) et que vous souhaitez recevoir plus de 3 affiches, adressez-vous par courriel à Mme Laurie Coutu-Racette, assistante de direction, direction des communications : lcouturacette@otstcfq.org qui traitera votre commande. Veuillez noter que vous avez jusqu’au dimanche 1er mars, à minuit, pour nous faire parvenir votre bon de commande. Merci! Remplir le formulaire de commande | « Ouvre tes oreilles, monte le son! » David Goudreault célèbre la Semaine des T.S. 2020 (erratum) | Dans l’Infolettre du 12 février, alors que nous vous présentions certains éléments en lien avec la Semaine des T.S., l’auteur de ce texte a été victime d’une légère attaque de dyscalculie en retranscrivant des extraits du slam de David Goudreault : «14 000 travailleurs sociaux, c’est 28 000 bras pour accueillir, 28 jambes pour accompagner, 28 yeux grands ouverts». Bien sûr, et vous l’aurez compris, on aurait dû écrire 28 000 jambes et 28 000 yeux grands ouverts! Heureusement, certains d’entre vous ont eu les yeux suffisamment ouverts pour détecter cette coquille et nous la rapporter! | Appel à contributions no 153 (à paraître au printemps 2021) L'utilisation des forces en travail social: diversité et possibilités dans la pratique contemporaine | Sous la direction de : Christiane Bergeron-Leclerc, T.S., Ph.D., professeure, Département des sciences humaines et sociales, Université du Québec à Chicoutimi Ève Pouliot, Ph.D., professeure, Département des sciences humaines et sociales, Université du Québec à Chicoutimi Virginie Gargano, Ph.D., professeure adjointe, École de travail social et de criminologie, Université Laval « La croyance en la capacité humaine d’évoluer et de se développer » (OTSTCFQ, 2012 : 7) est au cœur de la pratique actuelle du travail social. Cette valeur fondamentale de la profession trouve notamment écho dans le Référentiel de compétences, lorsqu’il est question de la capacité des travailleuses et travailleurs sociaux à « favoriser l’autodétermination » (composante 2.1.2) et « d’allier et de mobiliser les ressources » (composante 2.3.3) des personnes dont le fonctionnement social est altéré. Cette conviction que les personnes accompagnées possèdent des forces qui doivent être mises à profit dans l’atteinte d’un mieux-être n’est toutefois pas nouvelle. En effet, certaines définitions du travail social du début du XXe siècle font référence à cette idée de prise en compte et de valorisation du potentiel humain. Une analyse des définitions recensées par Bilodeau (2005) permet de constater que dès les débuts de la profession, l’idée de forces, le plus souvent désignées comme des « ressources » ou des « capacités » individuelles ou environnementales devant être mobilisées, était au cœur de la pratique du travail social. Lire la suite | À lire dans le numéro 150 de la revue Intervention Trajectoires de violences subies et agies de femmes québécoises : pistes pour l’intervention | Cet article de la revue Intervention propose une analyse féministe des comportements violents subis et exercés par 26 femmes. Dans le contexte d’une recherche qualitative, ces femmes ont été rencontrées à deux reprises afin d’effectuer des entrevues de type «récit de vie». Cette étude démontre que les trajectoires de vie de ces femmes sont teintées par des victimisations répétées durant l’enfance et l’adolescence, des dynamiques de violence conjugale ou d’autres difficultés qui contribuent à les cantonner dans des emplois précaires et à les plonger dans des difficultés financières pouvant les mener à commettre des crimes ou à récidiver. Les femmes qui ont recours à la violence semblent avoir une longue histoire de victimisation et vivent dans des conditions de vie plus précaires, sont susceptibles de connaître des problèmes de santé mentale et de toxicomanie, sont souvent plus jeunes et mères monoparentales. C’est en tenant compte des dynamiques oppressives qui marquent les trajectoires de vie de ces femmes qu’une recherche a été réalisée, visant à reconstituer les trajectoires de vie de femmes qui utilisent la violence sous différentes formes. Cet article expose l’analyse qui a été effectuée sur l’articulation des violences vécues et agies par ces femmes, en vue de développer des pistes d’intervention qui s’appuient sur une compréhension fine des dynamiques à l’œuvre. Lire l'article | Poste de chargée ou chargé d’affaires professionnelles L’Ordre est à la recherche d’une professionnelle ou d’un professionnel qui pourra se joindre à l’équipe afin de soutenir nos activités de développement professionnel. La personne aura comme principales responsabilités la réponse aux demandes d’information et de consultation ainsi que la diffusion d’avis professionnels. | | Les personnes intéressées doivent faire parvenir une lettre de présentation et leur curriculum vitae au plus tard le 8 mars 2020. Lire l'offre d'emploi | Vous pouvez maintenant vous abonner à la veille scientifique de l'Ordre! | Geneviève Cloutier, T.S., courtière de connaissances à l'OTSTCFQ, recense des livres, des articles scientifiques et professionnels, des rapports, des colloques, des outils d’intervention, et d'autres ressources liées au travail social et à la thérapie conjugale et familiale. Cette veille permet d'informer, de partager des connaissances, d'éclairer et même d'orienter les décisions. Qu'il s'agisse de pratiques professionnelles, de services sociaux ou de protection du public, gardez-vous au parfum! Je m'abonne! | Postes à pourvoir au sein du Conseil de discipline | Les personnes intéressées à soumettre leur candidature sont priées de faire parvenir une lettre de motivation accompagnée de leur curriculum vitae, d’ici le 31 mars 2020, à l’attention du secrétaire du Conseil de discipline. Consulter l'appel de candidatures | | Comme le veut désormais la tradition, l’Ordre profitera de son Assemblée générale, en octobre prochain, pour remettre des hommages, prix et bourses dans diverses catégories. Vous connaissez des collègues dont le travail mérite d’être souligné dans l’une ou l’autre des catégories? Prenez quelques minutes pour nous soumettre leur candidature et nous nous ferons un plaisir de les soumettre aux jurys. | | Découvrez les critères et les modalités pour la soumission de candidatures : En collaboration avec La Personnelle, l’Ordre remet également différentes bourses : | NOS MEMBRES DANS LES MÉDIAS | Les styles d’attachement des enfants (26 février) L’attachement est le lien que forment les bébés avec les personnes les plus près d'eux. Cette relation influencera toutes les autres relations que l’enfant aura dans sa vie, elle est donc très importante. Cette entrevue permet d'explorer les différents styles d'attachement et comment ils se développent en collaboration avec Sylvie Samson, travailleuse sociale. Consulter l'article | | Le Phare: un peu de lumière pour les enfants qui partent trop tôt (26 février) Par le biais du récit de Marie-Ève et de sa petite Juliette, ce texte permet de mieux comprendre le rôle que joue le Phare, une maison de soins palliatifs pédiatriques. Parmi l’équipe soignante, Marion Onno, travailleuse sociale. Consulter l'article | | Les pompiers de la DPJ (23 février) Intervenir auprès de familles en difficulté n'a rien de facile, comme le traduit cet article de Katia Gagnon. On y suit plusieurs intervenantes, dont les travailleuses sociales Stéphanie Paris-Lebel, Véronique Rhodet et Jannick Le Gouadec dans un quotidien survolté et exigeant. Consulter l'article | | Des embauches déjà complétées au CIUSSS de l'Estrie-CHUS (23 février) Le samedi 22 février avait lieu le Grand repêchage du CIUSSS de l'Estrie - CHUS. Charlène Pétrin, travailleuse sociale, a été la toute première personne de la journée « repêchée » par l’organisation. Consulter l'article | | Et si la crise de la quarantaine permettait de devenir soi-même? (22 février) Selon Judith Petitpas, travailleuse sociale, il s’opère une transition en milieu de vie, entre la trentaine et la cinquantaine. Cette période s’avère souvent positive, comme elle l'indique dans son récent livre: Bien vivre la crise de la quarantaine. Consulter l'article | | Détresse dans les rangs (22 février) La détresse psychologique touche de nombreuses personnes, dont les agriculteurs. Divers organismes, dont « Au cœur des familles agricoles » (ACFA), basé à Saint-Hyacinthe, leur viennent en aide. Rachelle Houle, travailleuse sociale, s'est récemment jointe à l'équipe à titre de travailleuse de rang. Consulter l'article | | Une nouvelle travailleuse de rang (19 février) Rachelle Houle, travailleuse sociale, occupe depuis janvier le poste de travailleuse de rang, offrant du soutien en santé mentale aux producteurs agricoles. Consulter l'article | | L'itinérance bien présente au Saguenay–Lac-Saint-Jean (17 février) Selon une étude menée par des enseignants de l’UQAC, l'itinérance se vit bien différemment en région que dans les grands centres. Entre autres, elle se traduit plutôt par de l’instabilité résidentielle, comme l'indique Christiane Bergeron-Leclerc, travailleuse sociale et professeure en travail social à l'UQAC. Consulter l'article | | Manque de maisons d’hébergement: des victimes de violence conjugale doivent aller en foyer de sans-abri (16 février) Les maisons de femmes victimes de violence conjugale étant toutes pleines, celles qui demandent de l’aide sont souvent redirigées vers des foyers pour itinérantes. Claudine Thibaudeau, travailleuse sociale chez SOS violence conjugale, partage ses inquiétudes en ce qui a trait à la sécurité. Consulter l'article | | Peu des ressources pour des parents en deuil d'un bébé (16 février) Un couple de Shawinigan déplore le manque de ressources pour les parents qui vivent un deuil périnatal dans leur région. Anik Bertrand, travailleuse sociale au Papillon bleu, un organisme de soutien au deuil périnatal de Trois-Rivières, souligne qu’il est primordial que les mères qui vivent un deuil périnatal consultent des spécialistes pour surmonter cette épreuve. Consulter l'article | | Comment bien vivre sa crise de milieu de vie (12 février) En compagnie de Judith Petitpas, travailleuse sociale et auteure de Bien vivre la crise de la quarantaine, et d'autres invités, Pénélope McQuade discute des façons de bien gérer les remises en question existentielles, peu importe l'âge auquel elles surviennent. Écouter le segment | | L'auteure et travailleuse sociale Judith Petitpas parle de son livre sur la crise de la quarantaine (11 février) En entrevue, Judith Petitpas, travailleuse sociale, traite de la crise de la quarantaine, cette période de transition où l'individu est amené à faire des choix. Écouter l'entrevue | | AVIS DE RADIATION ET/OU DE LIMITATION DU PERMIS D'EXERCICE, RÉVOCATION DU PERMIS D'EXERCICE | CETTE INFOLETTRE VOUS A ÉTÉ PRÉSENTÉE PAR : | | | | |