Centres jeunesse : la crise est profonde
C’est pourquoi se limiter à des réponses punitives ou superficielles ne fonctionnera pas : il faut investir dans des solutions structurelles, plaide Sébastien Pitre, responsable de la protection de la jeunesse à l’APTS, dans une lettre d’opinion publiée dans Le Devoir.
Des solutions, a-t-il précisé, qui passent par de meilleures conditions d’emploi, une charge de travail mieux adaptée et une réelle volonté politique de mettre en œuvre les moyens nécessaires.
Et il faut éviter, prévient-il, les généralisations qui condamneraient injustement l’ensemble des intervenant·e·s, des gens de cœur, dont la majorité travaille avec dévouement et professionnalisme dans des conditions extrêmement difficiles.
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