La famille Maegerli vous convie aux Portes ouvertes Mangeons local (Vincent Dupont) | Un détour dans Les Basques, plus précisément à Saint-Jean-de-Dieu, s’imposera le dimanche 8 septembre prochain, entre 10 h et 16 h. La famille Maegerli, propriétaire de la Ferme Pakama, située au 650, rang de la Rallonge est, à Saint-Jean-de-Dieu, vous invite à les visiter à l’occasion de la 20e édition des Portes ouvertes Mangeons local. Cette ferme laitière, bovine et ovine profitera de ce rendez-vous pour présenter au grand public et à vous, producteurs agricoles, la diversité de ses opérations et de ses installations. Au menu : présentation de l’entreprise et de ceux qui lui donnent vie, visite de la ferme laitière, jeux gonflables et maquillage pour les enfants, kiosques de partenaires et dégustations de produits régionaux, cantine de la relève agricole, prix de présence, espace pique-nique et présentations de bonnes pratiques agroenvironnementales. L’organisation des Portes ouvertes Mangeons local au Bas-Saint-Laurent se réalise cette année en collaboration avec le Syndicat de l’UPA des Basques. Des portes ouvertes similaires ont lieu simultanément dans toutes les régions du Québec. Pour planifier votre circuit, consultez l’application Mangeons local ou visiter le site Internet. | Collaborer à une œuvre collective lors des Portes ouvertes (Maxime Paradis) | Culture et agriculture n’ont jamais fait aussi bon ménage! Lors de l’événement Portes ouvertes Mangeons local prévu à la Ferme Pakama de Saint-Jean-de-Dieu, le 8 septembre prochain, l’artiste visuelle Mélissa C Pettigrew sera sur place pour proposer une activité de médiation culturelle. Cette dernière fera appel à la créativité artistique des visiteurs qui seront invités à collaborer à une œuvre collective intitulée Tes objets désorientent mes paysages, à partir de cordes de balle de foin recyclées, matériau utilisé par l’artiste pour trois autres sculptures actuellement visibles aux fermes Côte D’Or, de la Plaine Holstein et Persil 2011, dans les MRC des Basques et de Rivière-du-Loup. | Sécurijour : un balado qui incite à inscrire vos enfants (Vincent Dupont) | Votre fédération régionale n’est pas la seule à se préoccuper de la sécurité des enfants sur les fermes. Les Agricultrices du Québec ont cet enjeu à cœur depuis très longtemps, comme en témoigne cet épisode du balado Femmes de terre, femmes de tête paru en mai 2023. Dans cet épisode, le Dr Claude Cyr, pédiatre depuis 1998 aux soins intensifs pédiatriques du Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke, aborde de front la délicate question des accidents qui surviennent sur les fermes au Québec et qui impliquent des enfants. Certains d’entre eux ressortent de ces accidents gravement blessés ou vont malheureusement perdre la vie. Mieux vaut prévenir que guérir. Cette approche est celle qui guide les journées de formation Sécurijour organisées par votre fédération régionale. Ces activités réunissent une brochette de formateurs spécialisés allant des services incendies en passant par les paramédics, et la Sûreté du Québec. Par leur savoir et leur expertise, ils contribuent à rendre vos enfants plus alertes aux dangers de la ferme afin d’éviter le pire. Les prochaines activités Sécurijour à l’agenda sont prévues le 21 septembre à La Pocatière et le 28 septembre à Saint-Joseph-de-Lepage. Il est encore temps d’inscrire vos enfants et leurs amis dès maintenant en cliquant sur ce lien. N’hésitez pas, c’est gratuit! S’il est impossible pour vous d’inscrire vos enfants à l’une de ces deux activités Sécurijour, nous vous invitons à consulter le guide Sécurité des enfants à la ferme destiné aux parents et préparé par la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail, en collaboration l'Union des producteurs agricoles. Ce dernier rassemble une foule d’informations permettant à vous, parents-producteurs, de vous poser objectivement les bonnes questions afin d’assurer la sécurité de vos enfants sur vos entreprises agricoles. | Un projet de chaulage collectif voit le jour dans La Mitis (Marc Tétreault) | Le Syndicat de l’UPA de La Mitis, en partenariat avec la Coopérative des producteurs de chaux du Bas-Saint-Laurent, vient de mettre en place un projet de chaulage collectif afin d’augmenter les épandages et améliorer la productivité des sols des producteurs agricoles de la MRC. Cette formule innovante, soutenue financièrement par le MRC de La Mitis par le biais du programme Volet 1 – Soutien au rayonnement des régions du fonds régions et ruralité (FRR) du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH), consiste à faire l’épandage de 8 000 tonnes de chaux d’ici le 31 décembre 2025. Pour ce faire, les fermes de La Mitis recevront un crédit collectif de 10 $ par tonne de chaux épandue jusqu’à un maximum de 100 tonnes par entreprise pour toute la durée du projet. Ce crédit sera appliqué directement à l’achat par la Coopérative des producteurs de chaux du Bas-Saint-Laurent. Pour plus d’informations, contactez par courriel Marc Tétreault, conseiller aux services syndicaux – bovin et porc à la Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent, ou par téléphone au 418 723-2424 poste 4104. | Soyez Au cœur de la solution (Claire P. Beaulieu) | Surveillez les médias traditionnels, les réseaux sociaux, le web et les différents affichages en bordure de la route, des visuels de la campagne Au cœur de la solution feront progressivement leur apparition dans les prochaines semaines. Cette campagne de l’Union des producteurs agricoles se veut la suite des mobilisations réalisées le printemps dernier à travers le Québec. L’objectif est de sensibiliser le grand public aux différents enjeux vécus en agriculture afin de préserver l’appui populaire favorable aux producteurs agricoles. Économie, environnement, protection des terres agricoles sont autant de thèmes mis à l’avant-plan par cette campagne dont une publicité de 15 secondes peut être visionnée dès maintenant sur YouTube. Vous pouvez également prendre part à la campagne en affichant vos couleurs sur les réseaux sociaux. Pour ce faire, téléchargez les outils numériques directement sur le site internet de l’UPA. Plus de détails à venir. | Adoption du projet de mise en marché collective (Syndicat des producteurs de bois de la Côte-du-Sud) | Le 26 juillet, la Régie des marchés agricoles, alimentaires et de la pêche a rendu une décision en tout point favorable au Syndicat des producteurs de bois de la Côte-du-Sud en lui accordant le droit de négocier collectivement les conditions de mise en marché du bois de sciage. La date d’entrée en vigueur du règlement est prévue pour le 1er février 2025. La décision, qui porte le numéro 12673, peut être consultée directement sur le site Internet de la Régie. | Vingt-deux entreprises reconnues complices de la biodiversité (Chantale Dubé) | Une première vague d’entreprises ayant adopté de bonnes pratiques agroenvironnementales ou des aménagements allant au-delà de la réglementation environnementale ont été reconnues à Saint-André-de-Kamouraska, le 28 août dernier. Ces entreprises situées dans les MRC de Kamouraska, Rivière-du-Loup et Les Basques ont toutes soumis leur candidature au programme de valorisation et de reconnaissance L’agriculture complice de la biodiversité. La remise des affiches arborant le logo du programme a été un des moments forts de cette journée. Le grand public découvrira prochainement l’identité de ces entreprises complices de la biodiversité grâce à de la publicité dans les journaux locaux, sur les médias sociaux ou simplement en surveillant les affiches placées en évidence à la ferme. Outre la reconnaissance des entreprises, un avant-midi de conférences en salle et un après-midi de démonstrations au champ autour du thème de la biodiversité ont ponctué la journée. L’application d’un engrais vert à l’aide d’un drone, dont une vidéo peut être visionnée sur la page Facebook de la Fédération, n’a pas manqué de capter l’attention des participants. Une journée similaire est prévue pour l’Est du Bas-Saint-Laurent, le 11 septembre prochain à Mont-Joli. On y abordera entre autres la biodiversité des sols et l’implantation d’arbres à la ferme. À l’occasion de cette activité, les entreprises agricoles situées sur le territoire des MRC de Rimouski-Neigette, La Mitis, La Matapédia et La Matanie inscrites au programme L’agriculture complice de la biodiversité seront à leur tour reconnues pour leurs bonnes pratiques. Pour vous inscrire à cette journée, cliquez ici et complétez le formulaire. | Le producteurs de la MRC de Rivière-du-Loup se rassemblent à L'Isle-Verte (Maxime Paradis) | Le Syndicat de l’UPA de la MRC de Rivière-du-Loup ouvrait le bal des rassemblements des membres au Bas-Saint-Laurent, en tenant le sien à la Ferme Bélanger de L’Isle-Verte, le 18 août dernier. En présence du préfet de la MRC de Rivière-du-Loup et maire de Saint-Cyrprien, Michel Lagacé, de la présidente de la Fédération régionale, Nathalie Lemieux, de la directrice régionale, Claire P. Beaulieu, et des propriétaires de l’endroit, Bruno et Jean-Pierre Bélanger, le rassemblement a accueilli pas moins d’une centaine de personnes. Une courte assemblée qui a précédé le dîner a permis de reconduire à leur siège l’ensemble des administrateurs en élection : Yves Côté, Francis Beaulieu, Martin Lebel, Stéphane Dubé et Gilbert Dumont. D’ailleurs, un siège demeure toujours à combler par un producteur du secteur Notre-Dame-du-Portage—Saint-Antonin—Rivière-du-Loup. Un des points forts de ce rassemblement a été la présence de la cantine mobile du Marché des Îles de L’Isle-Verte qui a vendu pas moins de 92 poutines. Les propriétaires de la cantine mobile s’étaient engagés à remettre la somme d’un dollar par poutine vendue à la cause des travailleurs de rang du Bas-Saint-Laurent, somme qui a été égalisée par le Syndicat, même davantage, pour totaliser un don de 240 $. Également présente à l’événement, la relève agricole de la MRC de Rivière-du-Loup, les Élites du Parc, a assuré le service de bar. Un panier de produits provenant de différents producteurs de la MRC de Rivière-du-Loup a été remis à la famille hôte en guise de remerciements. | Journée Ovi-plus : du champ à la bergerie (Ousmane Ndiaye) | Une très belle journée Ovi-plus, organisée dans le cadre du projet de Reconquête ovine dans l’Est-du-Québec, a eu lieu dans la Matapédia le 31 juillet dernier. Cette journée a rassemblé une soixantaine de producteurs et de conseillers venus d’un peu partout des régions du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie. L’activité a été appréciée à plusieurs égards : visite d’installations innovantes, ateliers au champ, rencontre entre collègues pour discuter, partager et aider à briser l’isolement. | Rencontre avec la ministre fédérale Marie-Claude Bibeau (Claire P. Beaulieu) | Des représentants de la fédération régionale et du syndicat de La Matanie ont accepté l’invitation de la ministre du Revenu et auparavant ministre de l’Agriculture, Marie-Claude Bibeau, à une rencontre d’échanges sur les enjeux agricoles tenue le 31 juillet dernier. Étaient également présents des gens de la fédération de la Gaspésie-Les Îles et la ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière, Diane Lebouthillier. Les discussions ont porté notamment sur le besoin de programmes spécifiques pour les régions éloignées. Le coût du transport fait augmenter les prix des intrants, machineries, animaux et diminuer les montants des ventes laissant un revenu net inférieur. Les deux ministres ont manifesté un intérêt à réfléchir avec nous afin de trouver ensemble des pistes de solution pour une aide au transport, limiter le crédit à l’investissement aux producteurs résidents des régions admissibles et faciliter l’accès aux différents programmes. Une rencontre virtuelle devrait avoir lieu dans les prochaines semaines. | L’activité de désherbage mécanique attire son lot de producteurs (Ousmane Ndiaye) | Le 11 juillet dernier, une activité de démonstration d’équipement de désherbage mécanique s’est déroulée aux Jardins du Haut-Pays de Saint-Onésime-d'Ixworth, dans la MRC du Kamouraska. Cette démonstration a eu lieu dans le cadre du Plan d’agriculture durable (PAD) et a attiré plus d’une vingtaine de personnes qui ont échangé sur différents équipements de désherbage mécanique. Le succès de cette journée repose sur la participation des producteurs agricoles et conseillers, mais également les Jardins du Haut-Pays et la Ferme-école LAPOKITA que nous remercions d’avoir ouvert leurs portes, en plus de partager leurs expertises. Merci également au Syndicat de l’UPA de Kamouraska pour la commandite des boîtes à lunch du dîner. Cet événement a été organisé par le Groupe Conseil Agricole de la Côte-du-Sud, en partenariat avec la Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent et JMP Consultant, dans le cadre du projet Réseau bio-conventionnel, plus d’échanges pour moins de pesticides. L’événement a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec. | Formation sur l’application de pesticides Vous devez obtenir votre certificat pour l'application de pesticides sur vos terres agricoles et avez besoin de suivre la formation ? S’il vous plaît, manifestez votre intérêt en remplissant ce formulaire afin que l’on puisse vous offrir la formation d’ici la fin novembre. | Les temps ont bien changé… (Maxime Paradis) | Il n’y a pas de doutes, les temps ont bien changé, dans la société comme en agriculture. Dans son édition du mercredi 14 août dernier, La Terre de chez nous ressortait de ses archives l’histoire de Céline Dumont, administratrice au Syndicat local de l’UPA de Kamouraska. Ce récit publié en août 1991 démontre bien comment les perceptions ont évoluées en agriculture comme dans notre société depuis plus d’une trentaine d’années. En 1988, Céline, déjà copropriétaire de la Ferme Labrie avec son conjoint Paul Labrie, décide de racheter la ferme de son frère afin qu’elle demeure dans la famille Dumont. Il n’en fallait pas plus pour que les rumeurs de divorce entre elle et Paul se mettent à circuler dans la municipalité de Saint-Alexandre-de-Kamouraska, l’achat d’une ferme par une femme mariée, sans son mari, étant rarissime à l’époque. La rumeur a même repris de plus belle quelques mois plus tard quand Céline a ajouté au sien le nom de son employé sur l’enseigne apposée sur le mur de l’étable! Il n’y a pas de doutes, les temps ont bien changé, et les femmes propriétaires de fermes, seules, ne suscitent plus autant d’émois dans nos rangs aujourd’hui qu’à cette époque. En faisant fi des ragots et en démontrant une force de caractère à toute épreuve, Céline Dumont a certainement pavé la voie à plusieurs autres agricultrices de sa trempe au Bas-Saint-Laurent et partout au Québec. | Bilan hydrique du Bas-Saint-Laurent (Yan Gosselin) | En juin dernier, un article dans votre InfoProducteur parlait du manque d’eau au Bas-Saint-Laurent. Deux mois plus tard, quel est le portrait de la situation? Selon le site Agrométéo, la quantité de précipitation reçue entre le 1er mai et le 28 août 2024 varie de 185 mm (Matane) à 404 mm (Saint-Alexis-de-la-Matapédia). Les quantités de précipitations mesurées à travers tout le territoire bas-laurentien est inférieure aux autres régions du Québec, à l’exception de la Gaspésie—Îles-de-la-Madeleine qui demeure elle aussi en déficit hydrique. Lorsque l’on tient compte de l’évaporation de l’eau du sol et de la transpiration des plantes, l’ensemble de la région du Bas-Saint-Laurent vit un déficit d’eau variant de -88 mm (Kamouraska) à -255 mm (Matane). Des entreprises agricoles ont laissé la deuxième coupe aux champs, misant plutôt sur une troisième coupe, espérons-le, plus luxuriante. Présentement, la saison 2024 cumule une avance de plus de 250 degrés-jours (base 5) comparativement à la moyenne 1981-2010. Par conséquent, le début des récoltes pourrait être plus hâtif, mais cette chaleur ne remplacera pas le manque d’eau. D’ailleurs, n’oubliez pas de signaler à La Financière agricole du Québec toutes les problématiques vécues afin que vos avis de dommages alimentent les conseillers aux assurances récoltes. | ASREC : cultures maraîchères - Pertes au champ ou en entrepôt | DEP Pro en Production animale 2024-2025 De retour pour une deuxième année, le programme d’études professionnelles en Production animale prépare le candidat à l’exercice du métier d’ouvrier spécialisé en production animale. La formation est entièrement offerte en milieu de travail par le Centre de formation professionnelle de Mont-Joli. Vous pouvez consulter les informations à ce sujet en cliquant ici. Pour toute question, contacter Nancy Bouillon au 418 722-4922, poste 1402. | HORAIRE : Bureaux de Rimouski et Saint-Antonin Lundi au vendredi 8 h 30 à 12 h et 13 h à 16 h 30 Bureau de La Pocatière Du 17 juin au 6 septembre inclusivement Lundi au vendredi 8 h 15 à 12 h et 13 h à 16 h Dès le 9 septembre Lundi au vendredi 8 h 30 à 12 h et 13 h à 16 h 30 | | ACTIVITÉS À VENIR 📌 Portes ouvertes à la Ferme Pakama 8 septembre (Saint-Jean-de-Dieu) 📌 Sécurijour à la Ferme-école LAPOKITA 21 septembre (La Pocatière) 📌 Sécurijour au Garage de mécanique agricole 28 septembre (Saint-Joseph-de-Lepage) du CFP Mont-Joli-Mitis 📌 Assemblée générale annuelle de la FUPABSL 30 octobre (Sainte-Luce) | Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent 284, rue Potvin Rimouski (Québec) G5L 7P5 418 723-2424 ou 418 856-3044 1 800 463-8001 bas-saint-laurent@upa.qc.ca | Centre de services de La Pocatière 1120, 6e Avenue, bureau 100 La Pocatière (Québec) G0R 1Z0 Centre de services de Saint-Antonin 125, rue du Carrefour Saint-Antonin (Québec) G0L 2J0 Volume 9, Numéro 1  | | À noter que le masculin est utilisé uniquement dans le but d'alléger le texte | | | | |