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Quel serait l'apport environnemental des toitures végétalisées au Québec ? par Christian Dufresne
Une recherche réalisée à Québec dans le cadre de la programmation de la Chaire industrielle de recherche sur la construction écoresponsable en bois (CIRCERB) de l’Université Laval, a démontré que l’implantation de toitures végétalisées était négligeable par rapport aux impacts causés à l’environnement par l’enveloppe du bâtiment.
Un article écrit par Laurie Pique, publié le 4 mars 2023 dans la revue Formes, explique très bien les conclusions de cette recherche. Ce projet avait pour objectif d’identifier quel assemblage de toit, parmi une toiture conventionnelle et les divers types de toitures végétalisées (extensive, semi-intensive et intensive), avait l’empreinte carbone la plus faible.
En utilisant plusieurs logiciels d’analyse, cette recherche a surtout été orientée sur la séquestration carbone des végétaux . Après études des données, les chercheurs sont venus à la conclusion que l’apport des toitures vertes sur l’impact environnemental était négligeable, mais d’autres facteurs pourraient être analysés ultérieurement comme l’albédo, la réduction des îlots de chaleur, l’évapotranspiration pour bonifier l’importance des toits verts versus les toitures conventionnelles.
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