Infolettre

27 avril 2019

vol. 4,  no 7

 

 
 

Conseil syndical

Le Conseil syndical, réuni le 4 avril 2019, a reçu le Bilan 2018 de la trésorerie du SCCCUM et le bilan de la rémunération.

 

Une assemblée syndicale
riche en idées et en partages

Nous saluons les nombreux membres qui sont venus à l’AG du 16 avril participer au bon fonctionnement du SCCCUM et partager leurs connaissances et leur enthousiasme. L’ordre du jour de la séance incluait les points suivants : don de solidarité au STTTU-CSN; bilan de la trésorerie pour l’exercice 2018; élection du Conseil syndicat; présentation et proposition sur la vie des comités.

Solidarité

L’AG a adopté dans l’enthousiasme la proposition d’un don de 2 000 $ au Syndicat des tuteurs et tutrices de la TÉLUQ (STTTU-CSN) pour le soutenir dans sa grève. De plus, les membres ont salué la nouvelle d'un jugement de la cour en faveur de la présidente du STTTU-CSN, Nancy Turgeon, qui était victime de représailles de la part de la TÉLUQ. Le président du SCCCUM, Pierre G. Verge, a profité de l’occasion pour s’élever contre toute forme de sous-traitance en enseignement supérieur et rappeler que le combat des tuteurs et tutrices de la TÉLUQ est aussi le nôtre. Rappelons que nous avons été extrêmement heureux d’accueillir le jeudi 18 avril, au pavillon 3200-Jean-Brillant, des représentants du STTTU-CSN, qui ont sensibilisé un très grand nombre de membres de la communauté universitaire à leur situation et ont recueilli autant de signatures de soutien.

 

On a aussi attiré l’attention de l’AG sur la grève des mécaniciens de machines fixes et techniciens en mécanique du bâtiment (MMF/TMB) du SCFP-1186, qui sont des camarades de la CASUM (coalition des syndicats de l’Université de Montréal). Comme ils l’avaient fait lors de manifestations récentes tenues près du métro Université de Montréal, les membres ont dénoncé l’attitude injuste et obstinée de l’employeur dans ce conflit. Le SCCCUM continuera de soutenir ces camarades dans leur lutte et vous tiendra au courant de l’évolution de ce dossier.

 

Bilan de la trésorerie

L’AG a ensuite reçu les rapports de vérification externe et interne, le Bilan de la trésorerie et le bilan de la rémunération.

Madame Roxanne Dusseault, vérificatrice externe, a présenté à l’AG son rapport sur les états financiers du SCCCUM pour 2018. Son opinion a été sans réserve : les états financiers donnent, dans tous leurs aspects significatifs, une image fidèle de la situation financière du Syndicat, conformément aux normes sur les OBNL, et ils sont exempts d’anomalies significatives.

Madame Marie-Claude Paradis nous a fait part du rapport du Comité de vérification interne des finances pour l’exercice 2018. Le comité estime que les documents soumis par le SCCCUM étaient clairs et lui ont permis de procéder à une vérification selon les règles de l’art. Le Comité est satisfait de la composition du grand livre, du journal général et des états financiers pour la période vérifiée. Il exprime sa satisfaction au sujet des suites données à certaines des recommandations des rapports de vérification de 2016 et 2017, et fait ensuite quelques recommandations pour l’avenir.

Le président du Syndicat a présenté le bilan de la rémunération pour 2018. Il a ensuite répondu aux questions des membres sur la politique de libérations. Enfin, il a expliqué comment les vice-présidences supervisent le travail accompli par les personnes membres des comités et qui bénéficient de libérations syndicales.

Élection au Conseil syndical

L’élection au Conseil syndical s’est déroulée par vote électronique. Ont été élus : Kaveh Boveiri, Athmane Chelbi, Pierre-David Desjardins, Godefroy Desrosiers-Lauzon, Nahida El-Assi, Yasmina El Jamaï, Bertrand Hounkannounon, Isabelle Jordi, Louise Larivière, Florence Lebeau, Xiao-Fei Li, Alice Mascarenhas Tavares, Luminata Panaït, Gilles Rouleau, Gwenn Scheppler, Mary Silas, Eliana Sotomayor, Marc Touchette, Carole Yeroschevski.

Vie syndicale

Françoise Guay, vice-présidente à la vie syndicale, a présenté brièvement les travaux des CS du 18 décembre, 18 janvier et 15 février, tenus à la suite d'une résolution de l’AG du 20 novembre 2018. Les discussions avaient porté sur les principes devant guider la future mise jour de la politique de rémunération du SCCCUM, ainsi que sur la vie des comités.

Lors du CS du 15 février, après une enrichissante discussion sur la vie syndicale, le CS avait adopté une résolution demandant à l’AG de le mandater pour poursuivre sa réflexion sur le projet syndical du SCCCUM, le recrutement des membres de comités, la place des comités dans la vie syndicale et la rémunération. L’AG a adopté à l’unanimité une résolution à cet effet.

 

Programme de formation professionnelle
et de perfectionnement –
les demandes maintenant en ligne

 

Le processus de demande de formation professionnelle et de perfectionnement a été revu et simplifié. Les demandes se feront en ligne à partir du 24 avril 2019. Ce virage garantira aux chargés et chargées de cours un meilleur suivi de l’état de leur demande, et à l’Université une plus grande efficacité dans le traitement des demandes.

Marie-Hélène Brousseau, conseillère en développement organisationnel et formation, nous assure que toutes les demandes remplies et reçues avant le 24 avril seront acceptées. Les demandes qui n’auront pas été complétées ou signées avant cette date devront être refaites en remplissant un formulaire en ligne. Vous trouverez les formulaires sur le portail des chargés et chargées de cours : https://monportail.umontreal.ca/RH/espace/charge-de-cours/ressources-enseignement/Pages/Formation-professionnelle-et-perfectionnement-SCCCUM.aspx

Il est à noter qu’à partir de maintenant tous les documents nécessaires, incluant les documents d’information, les factures et les preuves de participation, devront être déposés avec la demande, et ce, directement par le portail.

 

« La rencontre. Formelle ou informelle? »

 

 

« Je suis chargé de cours. La direction du département où j'enseigne m'invite à la rencontrer, ce que j'accepte très cordialement. Le sujet de la rencontre n'étant pas précisé, je m'attends à une discussion plutôt informelle.

 

Or, durant la rencontre, je m'aperçois que j'aurais dû être minimalement préparé, si j'avais connu le sujet de discussion. Je n'avais pas d'opinion très claire à exprimer et mon interlocutrice a semblé déçue, sinon contrariée. J'en suis resté troublé. Je me suis senti clairement " évalué ". »

 

 

L'article 14.06 de notre convention stipule que « Une chargée ou un chargé de cours convoqué.e à une rencontre pour des raisons disciplinaires a le droit d’être représenté.e par une représentante ou un représentant syndical. »

 

Le plus souvent, quand la direction d'un département vous convoque de manière formelle, elle vous signale ce droit. Advenant un oubli de sa part, vous pouvez le réclamer. Nous vous encourageons fortement à nous contacter pour nous signaler ce type de situation. Notre rôle, au comité de la convention collective, est de vous informer ou de vous conseiller à propos de vos droits. Cela se traduit par une prise de contact assez rapide afin de saisir l'ampleur ou l'impact de la situation.

 

Dans le cas proposé en début de cette chronique, le chargé de cours a pris l'initiative de nous contacter immédiatement après la rencontre, étant donné qu'il n'avait pas été mis au courant préalablement du vrai motif de ladite rencontre. Cela nous a permis de préparer, de concert avec le chargé de cours, une stratégie d'intervention qui a permis que ses droits soient respectés.

 

Semaine nationale de la santé mentale
Conférence sur l’Étude Salveo à l’UdeM
le 9 mai

Cette année, la Semaine nationale de la santé mentale, qui se tiendra du 6 au 12 mai, a pour thème « Découvrir, c’est voir autrement ».

Les représentants en Santé et sécurité au travail du SCCCUM, avec leurs partenaires du SERUM, du SGPUM, de l’ACPUM, du 1244, et du 1186, sont heureux de vous inviter à une conférence qui aura lieu de 12h15 à 13h le jeudi 9 mai à la salle E-310 du pavillon Roger-Gaudry. La conférence sera retransmise à la salle 1134 du Pavillon principal du campus de St-Hyacinthe.

Mme Isaline Collet du Mouvement santé mentale Québec sera avec nous pour l’occasion et fera l’allocution d’ouverture. M. Alain Marchand, professeur titulaire à l’École de relations industrielles, directeur de l’Observatoire sur la santé et le mieux-être au travail (OSMET) et responsable principal du regroupement thématique « Déterminants sociaux de la santé » de l’IRSPUM, fera une conférence portant sur « l’Étude Salveo – être en bonne santé, bien se porter ».

Il présentera les principaux résultats de l’étude sous trois angles :

  • les facteurs au travail, hors travail et individuels qui influencent la santé mentale;

  • la réaction physiologique de l’exposition au stress et ses répercussions sur la santé mentale;

  • les pratiques de gestion des ressources humaines qui favorisent des taux plus faibles de réclamations pour des problèmes de santé mentale.

Une visioconférence avec St-Hyacinthe a été organisée pour laquelle nous demandons un minimum de 10 participants. Les places étant limitées, pour assister à la conférence, il faut obtenir une réservation qui doit être demandée avant 11h le jeudi 2 mai :

  • Réservation au campus de Montréal :

https://www.eventbrite.ca/e/billets-conference-sur-la-sante-mentale-60428111107

  • Réservation au campus de St-Hyacinthe :

https://www.eventbrite.com/e/conference-sur-la-sante-mentale-tickets-60491330197

Au plaisir de vous y voir en grand nombre!

 

CRÉDIT : MAXIME JUNEAU-HOTTE

Un chargé de cours à l’honneur

Nous soulignons le travail remarquable de Pierre Guimond, chargé de cours en journalisme et en communication à l’UdeM, qui a réalisé la série documentaire produite par le CHU Sainte-Justine « Revenir les bras vides ».

Selon le Forum de l’Université de Montréal, il s’agit d’une série documentaire de quatre épisodes d’une heure qui présente le deuil périnatal à travers des témoignages de parents et d’entrevues de spécialistes (professionnels de la santé, thanatologues, etc.).

Par des propos à la fois touchants et utiles, le réalisateur se propose de briser les tabous sur la mort d’un enfant pendant ou peu après la grossesse et d’informer le public sur ce qu’on doit faire et ne pas faire dans l’accompagnement des parents en deuil.

La série Revenir les bras vides, produite par le CHU Sainte-Justine, sera diffusée sur les ondes de Savoir média dès le 6 mai.

 

La Semaine de la Terre avec le collectif
« La Planète s’invite à l’Université »

 

Dans le cadre du mouvement La Planète s’invite à l’Université, une nouvelle manifestation a eu lieu le lundi 22 avril. Les militant(e)s et sympathisant(e)s de la cause ont encerclé l’Assemblée nationale à Québec pour envoyer un message fort aux décideurs et décideuses politiques et pour demander des gestes concrets de leur part. Les participants sont venus des quatre coins du Québec : Montréal, Rimouski, Saguenay, Sherbrooke, Rivière-du-Loup, Trois-Rivières, Gatineau, etc. Les parlementaires étaient en relâche ce jour-là.

Cette manifestation s’inscrit dans une série plus ample d’actions pour le climat. Cette année, devant l’urgence de la situation, le Jour de la Terre se transforme en Semaine de la Terre. Différentes actions sont prévues jusqu’au 27 avril.

Le collectif La Planète s’invite à l’Université manifestera avec les jeunes de Pour le Futur Montréal le 26 avril à 13h au Parc Jeanne-Mance, sera présent à un événement spécial à Montréal le 25 avril et vous invite aussi à la Grande Manifestation de la semaine de la terre le 27 avril à Montréal à 14h. Pour ce dernier événement, trois points de départs ont été établis :

- Place des Festivals, au coin des rues Sainte-Catherine et Jeanne-Mance;

- Parc Laurier, au coin des rues Christophe-Colomb et Laurier;

- Parc Lafontaine, au coin de la rue Rachel et de l’avenue du Parc Lafontaine.

Les trois groupes de manifestants convergeront sur le mont Royal. Il s’agit, selon les organisateurs, d’un « appel pressant à la mobilisation » et au déploiement du message qu’il reste très peu de temps pour « renverser la vapeur ».

Les organisations syndicales invitent la population à manifester le 27 avril pour l’avenir de la planète. Il est temps que nos gouvernements fassent de l’environnement leur priorité!

 

Mesures de représailles à l’activité syndicale 

sanctionnées par le Tribunal

 

Nancy Turgeon, présidente du STTTU-CSN, vient d’avoir gain de cause devant le Tribunal administratif du travail, contre l’Université TÉLUQ. Madame Turgeon avait poursuivi son employeur pour avoir usé de représailles à son endroit. En effet, les interventions médiatiques de la présidente du Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-Université lui avaient attiré les foudres de l’administration, qui est allée jusqu’à lui retirer la priorité d’embauche pour quatre cours, sous prétexte que la tutrice ne répondait plus aux nouvelles exigences de qualification à la suite de la révision de ces cours, non avéré.

Les interventions de Madame Turgeon dénonçaient notamment la sous-traitance avec une entreprise privée, l’Institut MATCI, en raison de laquelle une quarantaine de postes de tuteurs et tutrices avaient été abolis, ainsi que la réorganisation du modèle d’encadrement sans consultation de ceux et celles qui effectuent la quasi-totalité de ce travail depuis 45 ans. Cette réorganisation s’est traduite uniquement par la nouvelle convention collective des professeurs, qui prévoyait l’embauche d’ainsi-dits « professeurs sous contrat », qui n’auraient pas les avantages des professeurs réguliers, dont la permanence, mais qui recevraient une charge d’encadrement supérieure à celle des tuteurs et tutrices, sans égard à l’ancienneté de ceux-ci.

Le refus de la TÉLUQ de garder Nancy Turgeon sur la liste de priorités d’attribution des cours a été considéré par le Tribunal comme une mesure prise au détriment de la tutrice, car celle-ci perd des occasions d’emploi, et comme une mesure de représailles, car non seulement l’inscription de la tutrice sur la liste prioritaire lui était garantie en vertu de la convention collective mais aussi le Code du travail protège les salariés qui exercent des activités syndicales contre des représailles.

Pour donner son verdict, le Tribunal s’est appuyé sur les constatations suivantes :

  1. La présidence du syndicat dans ces circonstances constitue l’exercice d’un droit;
  2. La mesure imposée à la salariée est contemporaine à l’exercice de ses droits;
  3. L’employeur (représenté par la professeure titulaire des quatre cours, la directrice des ressources académiques et l’assemblée départementale) n’a pas prouvé avoir eu des raisons rationnelles de retirer la priorité d’attribution de cours à Nancy Turgeon, et les modifications invoquées ont été des prétextes pour priver la salariée de cette priorité. Au moment de l’appel de candidatures pour recruter des tuteurs selon les nouvelles exigences, à l’été 2018, un seul cours sur les quatre en litige était en ligne en version modifiée. Le 2e allait être modifié un trimestre plus tard, et les deux autres le seront peut-être en 2020;
  4. L’employeur a opéré le changement des exigences de qualification sans vérifier préalablement s’il respectait ou violait la convention collective, en apportant aux cours des modifications factuelles, et non substantielles[1], au sens de la convention collective.

Au terme des délibérations, Nancy Turgeon a obtenu la réinscription de son nom au premier rang de la liste de priorité des quatre cours qu’elle donne depuis 2010-2011, ainsi que l’équivalent du salaire et des autres avantages dont elle avait été privée.

Cette belle victoire de notre camarade et amie Nancy Turgeon rappelle « qu’il y a des limites à mépriser le monde », selon ses paroles. Cette victoire a été acclamée aussi dans « Quartier libre », le journal des étudiants de notre université, et dans les communiqués de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN). Richard Bousquet, vice-président de la FNEEQ, déclare fermement que « c’est scandaleux de voir un établissement d'enseignement de cette envergure tenter de museler la porte-parole d'un syndicat en la privant de son gagne-pain ».

En entrevue téléphonique avec le SCCCUM, madame Turgeon affirme avoir été réintroduite dans ses fonctions, mais qu’il restait encore d’autres recours pendants entre le STTTU et la TÉLUQ. Elle déplore qu’en onze semaines de grève générale illimitée il y ait eu seulement deux séances de négociations.

La TÉLUQ a également déposé un recours contre le STTTU et des représentant(e)s de la FNEEQ et du Conseil central de Québec-Chaudières-Appalaches pour diffamation, litige sur lequel la Cour supérieure se penchera sous peu. Les représentants syndicaux contestent juridiquement ceci comme une poursuite-bâillon.

 


[1] Nous voulons préciser, pour les chargés et chargées de cours qui nous lisent et qui sont intéressés par l’épineux problème des EQE, le fait que des changements de sigle ou de titre du cours, de données factuelles (comme la mise à jour de données statistiques, de législations, etc.) ne constituent pas des modifications substantielles qui puissent permettre la modification des EQE. De plus, les nouvelles exigences de qualification doivent être transmises au syndicat, et l’employeur doit les justifier.

Le 18 avril, quelques membres du STTTU en grève sont venus à l'Université de Montréal pour recueillir des signatures de personnes les appuyant dans leurs revendications.

 

Entente de principe entre les chargées et chargés de cours de l’Université Laval (SCCCUL) et l'Université Laval

Le 16 avril, entre le SCCCUL et l’Université Laval est intervenue une entente de principe. À l'assemblée générale spéciale qui a eu lieu le vendredi 26 avril, les 1 600 chargés de cours l'ont ratifiée à 91,3 %.

 

Campagne « Dites merci! »

 

La CSN mène une campagne de valorisation du travail qu’accomplissent les travailleuses et travailleurs en santé et services sociaux, en éducation et dans les organismes gouvernementaux. Vous êtes invités, vous aussi, à prendre part à cette campagne, dans les réseaux sociaux ou sur le terrain.

Avec le mot-clic #ditesmerci, vous pouvez faire des témoignages sur des personnes et des situations qui ont marqué votre parcours. Vous avez aussi le choix de participer au défi de cinq jours : chaque jour vous publiez sur Facebook une photo d’un merci destiné à une travailleuse ou à un travailleur du secteur public et vous désignez une personne de votre entourage pour qu’elle continue l’effet boule de neige.

Voici un exemple de texte qui pourrait accompagner vos publications :

Cinq jours, cinq travailleuses ou travailleurs du secteur public ayant eu sur moi un impact positif. Aujourd’hui je dis merci à [le nom du/de la travailleuse et son titre d’emploi] pour [brève explication du pourquoi du remerciement].

Désigné par [x], je désigne [y]. 

N’oubliez pas de rendre cette photo publique afin que le plus de personnes possible puissent y avoir accès.

Des affiches, des cartes de remerciements, etc. s’ajouteront au fur et à mesure dans cette campagne lancée par la CSN.

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Dates à retenir

 

Activités universitaires
 

16 mai Assemblée universitaire

 du 1er au 15 juin 2019 Affichage pour le trimestre de l'automne 2019 

 

 Activités au SCCCUM

 

29 avril – AG électorale

 

Activités intersyndicales

 

du 22 au 27 avril – La semaine de la Terre

27 avril – Manifestation pou l'avenir de la planète

28 avril 2019 – Journée internationale de commémoration des travailleuses et des travailleurs morts ou blessés au travail

1er mai  Marche du 1er mai pour la Fête internationale des travailleuses et des travailleurs 

du 6 au 12 mai – Semaine nationale de la santé mentale

9 mai – Conférence sur l’Étude Salveo à l’UdeM (réserver avant le 2 mai)