VOTRE BULLETIN - JUIN 2016

Avis de recherche : un succès mais où sont les autres

À la suite de notre Avis de recherche publié le mois dernier dans le Bulletin et sur Facebook, plusieurs diplômé(e)s se sont manifesté(e)s et ont procédé à la mise à jour de leur profil. De façon générale, ce sont les finissant(e)s des années 2000 et plus particulièrement 2004 qui ont été les plus actifs pour nous faire parvenir leurs nouvelles coordonnées. Bravo, vous avez été les meilleurs ! Quelques finissants des années 1995, 1998 et 1999 se sont aussi manifestés. Merci !

Où sont les autres

Mais où sont passés les finissants des années ’80 ? Pourtant, il nous manque beaucoup de diplômé(e)s des années ’80 dont nous avons perdu la trace. En consultant la rubrique « Avis de recherche » (mettre le lien) sur le site internet de l’Association des anciennes et anciens de l’ITA – campus St-Hyacinthe, vous y trouverez les noms de tous les finissants dont nous avons perdu la trace.

En cliquant sur chacune des années de promotion, vous y trouverez des collègues de classe des années 1965 à 2015 inclusivement. Si vous reconnaissez certaines personnes et que vous avez leurs coordonnées, pourriez-vous leur faire savoir que l’Association des anciennes et anciens de l’ITA est à leur recherche. Ces personnes peuvent facilement mettre à jour leurs coordonnées et ce, en quelques minutes seulement, en cliquant sur « Vos coordonnées à jour" .

Si votre nom NE FIGURE PAS sur ces pages, c’est que nous avons déjà vos coordonnées. Aidez-nous à retrouver les autres. Merci !


50 ans plus tard à l’ITA

Le deuxième plus ancien groupe de diplômé(e)s de l’ITA – St-Hyacinthe, la cohorte de 1966, a décidé de souligner la fin de leurs études, un demi-siècle plus tard. Le 18 mai dernier, ces diplômé(e)s de 1966 se sont donné rendez-vous au campus de l’ITA pour des retrouvailles symboliques. Douze personnes étaient présentes sur les 21 qui ont reçu leur diplôme. Deux autres diplômés se sont joints au groupe en fin d’après-midi.

Rangée 1 (avant) Gilles Cardinal- Claudette Dupont - Nicole Voghel - Jean-Pierre Desnoyers - Georges Lemay, Rangée 2 Adrien Laroche - Bertrand Leclerc - François Nantel, Rangée 3 Guy Langelier - Réjean Rainville - Gilles Rodrigue - Bernard St-Martin

Cette visite avait deux caractéristiques particulières. D’abord, bien que diplômé de l’ITA, le groupe de 1966 n’a jamais étudié dans le campus actuel qui a été inauguré peu de temps après la fin de leurs études. Ils ont été les derniers à avoir étudié dans l’enceinte de l’ancienne École de laiterie qui a d’abord été fermée puis détruite par un incendie, juste en face du campus actuel. Pour l’occasion, le directeur du campus, M. Alain Couture, leur a donc fait visiter le campus actuel, ce qui a suscité beaucoup d’intérêt dans le groupe.

La deuxième caractéristique particulière de cette cohorte, est la présence des trois (3) premières femmes étudiantes et diplômées de l’ITA – campus St-Hyacinthe (l’une d’elles Pierrette Dumais fille du directeur de l’ITA, Robert Dumais en 1966 est décédée). Un petit lunch à l’ITA, une visite du campus et un p’tit tour à la brasserie (comme il se doit) ont contribué à ressasser plein de souvenirs de leur passage à l’ITA, il y a 50 ans.


De la jeune visite à l’ITA

L’Institut de technologie agroalimentaire (ITA), campus de Saint-Hyacinthe, a été envahi par près de 300 élèves du secondaire il y a quelques semaines dans le cadre d’une journée complètement AGRO. Ces jeunes ont pris conscience de la relation qui existe entre la Terre et l’agroalimentaire et de l’importance qu’elle revêt dans leur quotidien.

Une formule améliorée

Alors que, par le passé, les participants devaient choisir les ateliers susceptibles de les intéresser, cette année, un nouvel horaire leur a permis d’assister à l’ensemble des activités. Ce nouvel aménagement répond à une demande fréquemment faite aux organisateurs lors des éditions précédentes. Ainsi, tous ont pu suivre les cinq ateliers portant sur :

  • La production horticole,
  • L’horticulture ornementale,
  • La transformation alimentaire,
  • L’agriculture, tant en production animale que végétale,
  • Les équipements et la machinerie agricoles utiles aux travaux de champs et au bien-être des animaux de ferme.

Au total, les quatre éditions de la Journée complètement AGRO ont réuni près de 1 000 participants. Les organisateurs de l’événement pensent d’ailleurs déjà à une 5e édition afin de recevoir les écoles désireuses de participer qui ont malheureusement dû être écartées cette année en raison des limites de la capacité d’accueil. Il semble que le domaine agroalimentaire séduise davantage de jeunes, comme le révèle également la hausse des demandes d’admission observée à l’ITA depuis trois ans.


Été à quoi s’attendre

Le mois de juin, c’est celui où on espère l’été mais c’est aussi un mois de contraste. Il peut faire très chaud ou très froid selon les régions et les années. À preuve, Le 11 juin 1972, on a enregistré -3,9 °C à Val-d’Or, tandis que le même record a été égalé le 1er juin 1990 à Gaspé. Ces deux records mensuels sont les plus importants records de froid au Québec. À l’opposé, il y a les chaleurs intenses comme le 26 juin 2003, à Saguenay, où le mercure a atteint 36,3 °C. Et si on y ajoute le facteur humidex, Montréal a connu un indice de chaleur humidex extrême, avec une température ressentie de 45 °C le 21 juin 1953.

Et pourquoi attendre

Qu’en sera-t-il cette année, nul ne le sait. Mais pourquoi ne pas en profiter pour faire un peu de jardinage. Ça tombe bien puisque depuis 10 ans maintenant, une sélection de plantes uniques couronnées «les meilleures de la saison» par les visiteurs du Jardin Daniel A. Séguin à Saint-Hyacinthe, aboutit en magasin. Les Exceptionnelles est une marque déposée par la Fondation en horticulture ornementale de l’ITA de Saint-Hyacinthe. Ce titre est attribué à des nouveautés horticoles qui se démarquent par leur performance au jardin, leur facilité de culture et leur résistance aux insectes et aux maladies.

Parmi les 10 Exceptionnelles de cette année, il y a la Campfire Fireburst une plante éclatante qui fleurit abondamment tout l'été, car elle est stérile et ne perd pas d'énergie à produire des semences. De plus, la plante est autonettoyante : les fleurs fanées tombent toutes seules. Son entretien est des plus faciles : il suffit de l'arroser!


EN VRAC

Nouveau président à l’Association des anciens

L’Association des anciennes et anciens de l’ITA – St-Hyacinthe a un nouveau président en la personne de Sylvain Biron. Il a été élu le 9 mai dernier lors d’une réunion régulière du conseil d’administration. Il remplace Jani Beauchamp qui occupait le poste depuis avril 2012. 

Mme Beauchamp a préféré ne pas se représenter pour des raisons personnelles et parce qu’elle entrevoit moins de disponibilités au cours des prochains mois. Elle demeure cependant membre du conseil d’administration.

À cette même réunion, les administrateurs ont élu André Campeau à la vice-présidence et Bernard Desautels au poste de secrétaire-trésorier. Quant à Sylvain Biron, outre son travail actuel de directeur régional chez Valacta, il a également été président de l’Association des technologues en agroalimentaire pendant plusieurs années.

Le service d’offres d’emploi innove

Le service d’offre d’emploi de l’Association des anciennes et anciens de l’ITA innove. Depuis le 1er juin dernier, toutes les offres d’emploi seront dorénavant affichées sur Facebook pour une période de 45 jours, la même durée que sur le site internet de votre association. Cette nouveauté s’applique autant pour le Service de Base que le Service PLUS.

Les employeurs pourront ainsi profiter d’une plus large visibilité tandis que les offres d’emploi seront vues par plus de candidat(e)s potentiel(le)s. Rappelons que l’Association des anciennes et anciens de l’ITA est la seule à offrir :

  • Un bassin de diplômé(e)s dédié à l’agroalimentaire et à l’horticole.
  • Un service d’envoi par courriel.
  • Des diplômé(e)s du plus grand centre de formation en technologie agroalimentaire de langue française en Amérique du Nord.

Il quitte l’ITA après 24 ans

M. Richard Samson, figure connue de la formation continue a quitté l’ITA – campus St-Hyacinthe il y a quelques jours pour prendre sa retraite. Depuis janvier dernier, il avait accepté d’assurer l’intérim à la direction adjointe du développement des affaires et des partenariats pour les campus St-Hyacinthe et La Pocatière.

Difficile de résumer une carrière d’un quart de siècle mais on peut sans doute lui attribuer deux périodes marquantes. Il a d’abord été responsable de la mise sur pied d’un programme de formation sur la mise en marché des grains, programme qui a touché plus de 2 000 producteurs à travers le Québec. Il a également participé activement à l’informatisation des fermes au Québec.

Certains diront que Richard Samson, c’est un spécialiste du programme Excel. Ceux et celles qui l’ont côtoyé, disent de Richard Samson qu’il est quelqu’un à l’écoute de son environnement de sorte qu’il a toujours su être collé sur les nouveautés et les besoins des producteurs. Comme conseiller pédagogique, il a également été répondant de la formation agricole pour l’ITA dans le cadre de la concertation entre les maisons d’enseignement. Soucieux de soutenir le développement des compétences, il n’en demeure pas moins sensible à l’idée d’autofinancement des formations. « C’était mon ministre des finances » dira un de ses ex-collègues.

Quant à ses qualités personnelles, on dit de lui qu’il est un homme patient, rigoureux, qu’il faut convaincre mais aussi très humain et un pince-sans-rire. Pour résumer, on dit de Richard Samson qu’il est un généraliste spécialisé.

À l’aube de ses 60 ans, Richard Samson s’engage maintenant dans une autre carrière : son projet immédiat est la rénovation importante d’une maison. Sans doute que son caractère patient lui sera encore une fois très utile. Bonne retraite Richard Samson.

Les personnes suivantes ont été consultées pour ce texte. Réjean Prince (MAPAQ), Mélanie Hamel (CIAQ), André Young (UPA).


Capsule rétro – En 1910, un vent de changement souffle sur l’École. En effet, pour assurer la survie de celle-ci, on parle de changer complétement le programme d’étude afin d’y inclure un diplôme universitaire. Un contrat est alors signé avec le Ministère de l’Agriculture pour que l’École soit affiliée à l’Université Laval et ainsi décerné un diplôme de Science agricole.

La première École ne pouvant accueillir qu’une vingtaine d’étudiants, une nouvelle construction est de mise. Un premier plan, daté du 5 septembre 1910, est alors proposé par David Ouellet et Pierre Lévesque, deux architectes de Québec. Un deuxième plan, signé en avril et mai 1911, soulignant des changements au niveau des divisions intérieures et à l’entrée principale est déposé et c’est à partir de ce dernier qu’on érigera la nouvelle École.

Ayant des dimensions de 50 pieds par 100 pieds, le nouveau bâtiment, construit au coût de 61 049 $, abrite non seulement des salles de classe, mais également des chambres ainsi qu’une chapelle située à l’Est au troisième étage. Des installations sanitaires sont également installées au sous-sol et l’électricité est fournie par le Collège de Ste-Anne-de-la-Pocatière. On peut maintenant y longer jusqu’à 60 étudiants tout en y offrant les cours universitaire ainsi que le cours moyen aux agriculteurs.

C’est donc le 27 février 1912, que les premiers étudiants, au nombre de 42, font leur entrée. Quelques travaux sont à compléter dont les armoires du vestiaire et l’ameublement de certaines pièces.

Une inauguration officielle des installations a lieu le 22 octobre suivant, soulignée par une grande fête.


L’ITA se dote de quatre valeurs organisationnelles

Dans le cadre d’une réflexion plus large en matière de gouvernance, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) annonce que l’ITA vient de se doter de quatre (4) valeurs organisationnelles. Compte tenu de sa nature d’établissement d’enseignement spécialisé, le ministère a invité l’ITA à identifier ses propres valeurs. Un atelier a donc eu lieu sur chacun des deux campus (Saint-Hyacinthe et La Pocatière). Les travaux ont fait émerger quatre valeurs prioritaires à l’ITA, soit la collaboration, la transparence, le professionnalisme et l’équité.

COLLABORATION : Les employés du Ministère s’engagent à travailler en collaboration avec la clientèle, les partenaires et leurs collègues. Le travail de collaboration doit permettre de briser les silos et d’assurer une cohérence organisationnelle dans le traitement des dossiers.

TRANSPARENCE : La transparence est l’une des voies privilégiées pour que les employés du puissent faire leur travail dans un environnement honnête et intègre, permettant ainsi d’assurer la confiance de la population dans les services offerts. On parle ici de favoriser les échanges et une circulation plus fluide de l’information vers les collègues, la clientèle et les partenaires.

PROFESSIONNALISME : Faire preuve de professionnalisme en utilisant les ressources de l’organisation de manière efficace. Agir continuellement dans l’intérêt des citoyens, de la clientèle, des partenaires et de l’organisation et s’engager à être disponibles et accessibles pour eux.

ÉQUITÉ : Cette valeur repose sur la volonté d’agir auprès de ses collègues et de la clientèle de façon juste et impartiale en appliquant de façon équitable, auprès de tous les citoyens, les lois, les règlements et les normes sous la responsabilité du Ministère.

Pour la suite des choses, un plan d’intégration des valeurs organisationnelles est actuellement en préparation, afin de les mettre en pratique au sein de l’ITA.


Notre Coup de chapeau

À une ancienne de l’ITA La Pocatière

Notre Coup de chapeau de ce mois-ci va à Claudie Ouellet finissante de 2004 en GEEA de l’ITA, campus de La Pocatière qui est une travailleuse acharnée, une passionnée de l’agriculture et une bonne gestionnaire. Depuis 2005, Claudie est propriétaire de la ferme Claudie Ouellet 2005 enr. En plus d’exploiter avec succès une entreprise bovine grandissante, Claudie est maman de deux enfants et occupe un emploi à l’extérieur par les soirs. Son objectif est de vivre de son exploitation d’ici 3 ans.

Pour y parvenir, Claudie mise sur la génétique de ses bovins et la qualité de ses pâturages. Son Exploitation compte maintenant 75 vaches et son but est d’atteindre 100 vaches d’ici 3 ans. Pour Claudie, tout est calculé, elle n’hésite pas à utiliser les outils mis à sa disposition tels que le programme d’analyse des troupeaux de boucherie du Québec et l’analyse financière personnalisée de la Financière agricole. Depuis 4 ans, l’entreprise a triplé son chiffre d’affaires en même temps que sa marge d’exploitation.

Félicitations Mme Ouellet ! L’Association des anciennes et anciens de l’ITA vous décerne son Coup de chapeau du mois de juin.

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Félicitations et bonne continuation dans ton projet!

L’AAAITA, Campus de La Pocatière


Fallait y penser

  • Vous n'êtes pas responsable de la tête que vous avez mais vous êtes responsable de la gueule que vous faites.
     
  • De nos jours, l'assistance à personne en danger se résume à assister au danger...
     
  • L’autre jour, une personne est venue sonner chez moi pour me demander un petit don pour la piscine municipale : je lui ai donné un verre d'eau.

 


Saviez-vous que

La grange la plus longue est chez nous !

Saviez-vous que la plus longue grange en Amérique du Nord se trouve dans les Cantons-de-l’Est et plus particulièrement à Coaticook. Cette grange a été construite en 1912 par Eugene Orson Baldwin, un riche excentrique. De confession protestante, on raconte qu’il aurait choisi de la construire sur un plateau pour que sa grange domine le clocher de l’église catholique du coin.

Il aurait utilisé un héritage important pour construire cette grange hors du commun qui en fait la plus longue grange en Amérique du Nord et inscrite dans le livre des records Guinness. Et pour être bien certain de ne pas perdre son titre, M. Baldwin a même fait rallonger la structure de sorte qu’aujourd’hui, la grange mesure 340 pieds de long. À cause de cet ajout, le silo d’origine est maintenant emprisonné dans la grange.

En 1940, la ferme a été achetée par la famille Savoie, puis transmise de père en fils pendant 49 ans. Faute de relève, la grange a été vendue en 1989 à la Ville de Coaticook. La même année, un groupe de producteurs laitiers, jugeant qu’un tel bâtiment ne pourrait être abandonné, décide de prendre les choses en main. Ils ont créé un organisme, le Centre d’initiative en agriculture de la région de Coaticook, (CIARC) qui en a pris possession. En 2012, la grange a fêté ses 100 ans et a toujours fière allure.


Le truc du mois

Un seul récipient pour vos sauces

L’été nous donne souvent l’occasion d’organiser des barbecues entre parents et amis.

Simplifiez-vous la tâche ! Servez-vous d’un moule à muffins pour servir différentes sauces et condiments lors du barbecue. Un seul récipient à transporter, tout est regroupé et ça vous fera moins de vaisselle.


Bonnes vacances

L’été arrive à grands pas et pour plusieurs, cette saison est synonyme de vacances. Après un printemps plutôt chaotique en termes de température, il faut espérer que la saison chaude en soit véritablement une. Parce que l’été, c’est la pelouse à tondre, c’est la chaleur qui fait suer mais c’est aussi les fleurs, les baignades, les légumes frais du jardin, le chant des oiseaux et les déplacements. 

Parlant de déplacements, voici quelques citations drôles sur l’été et les déplacements.

  • Je préfère un vélo à un cheval, les freins sont plus faciles à vérifier.
     
  • Les gens de la ville adorent passer leurs vacances chez leurs cousins agriculteurs parce qu’ils trouvent que c'est des paysans...
     
  • Le prix de l’essence augmente ? Moi je m'en fous, j'en prends toujours pour 50 $.

Et finalement, petit conseil de votre Association des anciennes et anciens de l’ITA : 

si vous prenez la route cet été, attendez-vous à voir des cônes oranges. Ne désespérez pas, il y a toujours une façon de s’en sortir : il suffit de suivre la signalisation !

Ceci est votre dernier Bulletin avant les vacances estivales. Nous faisons relâche durant l’été mais notre service de publication d’offres d’emplois demeure actif durant toute la période estivale.

À toutes les anciennes et tous les anciens de l’ITA – campus Saint-Hyacinthe et campus La Pocatière, bonnes vacances !


Nos offres d’emploi ce mois-ci

Vous avez une offre d’emploi ou vous connaissez quelqu’un qui recherche du personnel qualifié? L’Association des anciennes et anciens de l’ITA qui regroupe tous les diplômé(e)s des campus St-Hyacinthe et La Pocatière, peut vous aider via son service d’offres d’emploi. Visitez nos deux sites internet aux adresses suivantes : anciensita.ca/saint-hyacinthe ou http://aaaita.ca/ ou communiquer directement avec l’une des deux associations au : (450) 778-6504 poste 6298 ou (418) 856-1110 poste 1378. Il nous fera plaisir de vous aider.

Offres d’emploi disponibles actuellement: