VOTRE BULLETIN - DÉCEMBRE 2019

Eh oui, bientôt le temps des Fêtes !

À peine eu le temps de ranger le barbecue, de faire poser les pneus d’hiver et de sortir les mitaines que déjà, le temps des Fêtes s’annonce. La musique de Noël, les promos dans les magasins, les demandes des enfants qui s’empilent et nous revoilà à trois semaines de l’événement.

Les plus vieux vous diront que « dans le temps » les cadeaux c’était le moindre des soucis et, de toute façon, il n’y avait pas d’argent. Ce qui comptait, c’était d’être en famille. Maintenant, c’est la course pour l’achat des cadeaux, le festival des cartes-cadeaux et le cauchemar des bousculades dans les centres commerciaux. À moins que vous fassiez des achats en ligne. Avant, le peu de cadeaux disponibles était apporté par le Père Noël. Très bientôt, des drônes pourraient être utilisés pour la livraison des paquets. Le Père Noël va perdre son emploi.

Noël, c’est pas un cadeau

Et puis, il y a les lendemains de Noël comme recevoir la facture de nos achats sur cartes de crédit, l’échange d’un cadeau qui n’est pas de la bonne taille : oups, j’ai pas gardé mon reçu. Ou l’agréable ( ! ) sensation de marcher nu-pieds sur des morceaux de légos laissés dans le passage par les enfants. À ce sujet, voici quelques réflexions sur le temps des Fêtes.

  • Dans le temps des Fêtes, le plus occupé, c’est le coude. On joue du coude dans les magasins, on lève le coude dans les partys et on tousse dedans.
  • Noël est dans mon cœur un mois par année et sur mes cartes de crédit pendant douze mois.
  • Enseigne à l’entrée d’un magasin : POUSSEZ ! Si ça marche pas : TIREZ ! Si ça ne marche pas non plus, c’est parce qu’on est fermé.

À toutes les anciennes et à tous les anciens de l’ITA,

l’Association vous souhaite de Joyeuses Fêtes.

( * ) Notre service de publication d’offres d’emploi continue ses opérations pendant la période des Fêtes.


Les « Portes ouvertes », toujours aussi populaires

Encore cette année, l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) a ouvert les portes de ses deux campus au public. Au total, Ce sont 600 visiteurs qui ont pu constater le professionnalisme du personnel et la qualité de l’offre pédagogique.

Cette activité s’est déroulée le 9 novembre au campus de La Pocatière et le16 novembre au campus de Saint-Hyacinthe.

Campus La Pocatière

Les journées Portes ouvertes sont l’occasion pour l’ITA de faire découvrir aux gens passionnés par l’agroalimentaire cet établissement d’enseignement. Elles permettent aux visiteurs de se renseigner sur les programmes d’études offerts, de rencontrer les membres du personnel et des étudiants et de visiter les nombreuses installations pédagogiques.

Campus Saint-Hyacinthe

Encore une fois, l’activité a été un franc succès!


La plus grande vente de terre agricole jamais vue au Canada

Fourni par Canadian Broadcasting Corporation

À environ 630 km de Winnipeg au Manitoba, quatre familles de producteurs ont décidé de vendre leur terre ensemble en en faisant un lot qui totalise 10 117 hectares pour un montant demandé de 56 millions de dollars. Cet ensemble de quatre propriétés représente la plus grande terre cultivable du Canada actuellement sur le marché selon Darren Sander, l’agent immobilier qui a en charge de la vente.

Pour un des quatre propriétaires, la famille Markus, c’est l’aboutissement de 57 ans de travail. Venus s’installer au Canada à l’âge de 18 ans, Anthony et sa femme Margareta ont fui au péril de leur vie leur pays natal la Hongrie, qui était à l’époque sous l’emprise totale du parti communiste. Il décide de s’installer au Manitoba et d’investir ses économies dans un lopin de terre de 162 hectares à Le Pas.

Cinquante-sept ans plus tard, la propriété familiale s’étend sur 5900 hectares soit l’équivalent de 59 kilomètres carrés. Seule une vue aérienne permet de saisir la grandeur d’une partie seulement de cette terre qui est maintenant en vente.


Succès pour le banquet gastronomique annuel des étudiants de l’ITA et du Cégep Limoilou

Les étudiants du programme de Gestion et technologies d’entreprise agricole de l’ITA et ceux du programme de Gestion d’un établissement de restauration du Cégep Limoilou.

Le banquet gastronomique annuel des étudiantes et des étudiants de l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) et du Cégep Limoilou a eu lieu le 5 novembre dernier à la salle à manger pédagogique La Grappe d’or du Cégep Limoilou. Près de 30 convives ont eu le privilège de déguster un repas gastronomique apprêté à l’aide des produits d’élevage des étudiants du programme de Gestion et technologies d’entreprise agricole (GTEA) de l’ITA, campus de La Pocatière. Ce repas quatre services était préparé par les étudiants du programme de Gestion d’un établissement de restauration (GER) du Cégep Limoilou.

Cette collaboration entre les deux établissements a pour objectif premier d’offrir aux deux groupes de futurs gestionnaires, du domaine de l’agriculture comme de celui de la restauration, la possibilité d’apprendre à travailler ensemble, ce qui s’observe d’ailleurs de plus en plus fréquemment dans les métiers visés. L’activité est entièrement réalisée par les étudiants des deux établissements, sous la supervision de leurs enseignants.

Les produits qui constituaient la base de ce savoureux repas ont été réalisés par les étudiantes et les étudiants de deuxième année de GTEA dans le cadre du cours « Exercer le métier de gérant des ressources » du trimestre d’hiver 2019. Les étudiants devaient procéder à un essai comparatif pour la production de leur choix dans une perspective d’agriculture durable. Leurs projets s’intitulaient :

  • « Bovisucre » (viande veau de grain) : l’essai consistait à valoriser les farines inutilisées provenant d’une usine de production de biscuits, afin de remplacer une partie du maïs dans l’alimentation des veaux.
  • « Les canardins » (viande de canard) : étant donné que les insectes sont moins énergivores pour la planète que la culture des grains, le projet visait à diminuer l’apport de grains, habituellement compris dans l’alimentation des canards, en les remplaçant par de la farine d’insectes.
  • « LapOméga » (viande de lapin) : la viande de lapin retient facilement les oméga-3 et le tourteau de caméline en est une bonne source, mais il est un déchet une fois qu’on en a extrait l’huile. Les étudiantes et les étudiants ont donc essayé de trouver une utilité au tourteau de caméline dans l’élevage des lapins.
  • « Margigume » (légumes cultivés en serre) : le projet consistait à faire découvrir des légumes moins connus au Québec, tels que différents types de poivrons, de haricots et de betteraves.

Le menu proposait donc un consommé de veau mikado, un canard effiloché façon miniburgers et une sauce barbecue aux oignons caramélisés, ainsi qu’un lapin à la bière accompagné de légumes sautés et d’une purée de courge Butternut. Le repas était suivi d’une tarte au citron, à la noix de coco et aux petits fruits rouges. Belle initiative !


Un nouveau programme de formation en production horticole agroenvironnementale à l’ITA

À compter de la rentrée scolaire 2020, l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) offrira le nouveau programme de Technologie de la production horticole agroenvironnementale (TPHA) qui remplacera l’actuel programme de Technologie de la production horticole et de l’environnement (TPHE). Le programme sera offert dans les deux campus, soit à La Pocatière et à Saint-Hyacinthe. Cette nouvelle version du programme vise à former des technologues en production horticole qui posséderont des compétences et une expertise horticole plus variées que par le passé et qui seront par le fait même plus polyvalents.

L’ancien programme, en vigueur depuis 1995, menait les étudiants à la spécialisation dans une des quatre voies offertes (à savoir : les cultures légumières, fruitières et industrielles; les cultures de plantes ornementales; les cultures horticoles, légumières, fruitières et ornementales en serre et de champ; l’environnement).

Avantages du nouveau programme pour l’industrie

Les technologues formés en vertu du nouveau programme de TPHA seront aptes à intervenir tant dans les cultures fruitières, légumières ou ornementales que dans les grandes cultures, qu’il s’agisse d’un mode de production durable, biologique, urbain ou traditionnel, et ce, en intégrant dans tous les aspects de leur pratique une préoccupation pour l’agroenvironnement.

Par exemple, s’ils sont appelés à travailler dans des entreprises de production, ils seront à même d’élaborer des programmes de gestion de culture et d’en assurer l’implantation et le suivi. Ils pourront travailler dans des entreprises de soutien visant les producteurs horticoles, où sont offerts des services-conseils et où l’on fait de la représentation commerciale. Ils pourront également réaliser des activités d’information, de formation et de recherche dans le domaine horticole.

L’industrie pourra dorénavant compter sur des technologues ayant une meilleure vue d’ensemble des activités et des réalités du domaine horticole. L’offre de formation plus détaillée est à venir.


Une image vaut mille maux !


Fallait y penser (spécial temps des Fêtes)

  • Le premier verre de vin, c’est pour la santé : le reste de la bouteille, c’est pour le moral.
     
  • Les bons crus font les bonnes cuites.
     
  • Paraît que je vais passer Noël au chaud... » (La dinde)
     
  • C’est bien beau les anges dans nos campagnes, mais si on reste en ville, on fait quoi ?

Saviez-vous que …

Les boules de Noël ont remplacé les pommes

Au cours des prochains jours, les sapins de Noël vont envahir la plupart des maisons pour souligner la période des Fêtes. Mais vous êtes-vous déjà demandé d’où vient cette tradition de mettre des boules dans le sapin ?

En fait, il faut savoir qu’auparavant, on prenait l’habitude de décorer le sapin avec des vraies pommes. Sauf que, la récolte de l’année 1858 dans les Vosges du Nord en France, a été catastrophique et il n’y avait pas assez de pommes pour décorer les sapins. Un agriculteur a eu l’idée de remplacer les pommes par des boules de verre. Le succès a été immédiat et a traversé l’Atlantique pour se répandre chez nous. Et depuis ce temps nos sapins sont ornés de boules multicolores et multiformes.


Le truc du mois

Un panier organisateur de rubans (Noël)

À chaque année, c’est l’emballage de cadeaux, c’est la décoration du sapin et la recherche du ruban rangé pêle-mêle avec d’autres rubans les années précédentes. Cessez de chercher ! Voici un moyen simple et original de ranger vos rubans et de les visualiser facilement.

Le panier à linge est une belle idée pour ranger les petits rouleaux de rubans. En les insérant dans les trous du panier, ils resteront bien en place, plutôt que de s’entremêler. Vous pouvez utiliser la même méthode pour ranger vos rubans décoratifs du sapin de Noël.


Peut-être l’avez-vous connu …

Cette chronique « Peut-être l’avez-vous connu … » vise à souligner le décès d’un(e) ancien(ne) de l’ITA ou quelqu’un de proche de l’Institut. Si vous connaissez quelqu’un qui a fréquenté l’ITA ou qui a un lien avec notre Institut et qui est décédé, vous pouvez nous faire parvenir de l’information (vérifiable) au sujet de cet événement via notre courriel : associationanciens.ita@gmail.com .

Heureusement ce mois-ci, pas de décès.


Nos offres d’emploi ce mois-ci

Vous avez une offre d’emploi ou vous connaissez quelqu’un qui recherche du personnel qualifié? L’Association des anciennes et anciens de l’ITA qui regroupe tous les diplômé(e)s des campus St-Hyacinthe et La Pocatière, peut vous aider via son service d’offres d’emploi.

Visitez nos deux sites internet aux adresses suivantes : anciensita.ca/saint-hyacinthe ou http://aaaita.ca/ ou communiquez directement avec l’une des deux associations au : (450) 778-6504 poste 6298 ou (418) 856-1110 poste 1378. Il nous fera plaisir de vous aider. Nos offres d’emploi sont maintenant aussi diffusées sur Facebook.

Voici nos offres d’emplois en cours :


Nous joindre

Campus de
Saint-Hyacinthe

3230, rue Sicotte (Local AA-205)
Saint-Hyacinthe (Québec)
J2S 2M2
450-778-6504, poste 6298
associationanciens.ita
@gmail.com

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401, rue Poiré
La Pocatière (Québec)
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418 856-1110 poste 1378
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