L'Écho-Nouvelles


L'infolettre du DC

Mars 2024

Au sommaire

 

 

 

Test de survie des bourgeons pour la vigne

Par Agnès Klimkiewicz


Avec le printemps qui arrive bientôt au vignoble, c'est le moment de s'intéresser à la survie hivernale des bourgeons. Cette méthode d'étude de la survie des bourgeons nous donne une idée de la façon dont nos vignes ont résisté aux conditions hivernales lors des derniers mois de dormance et de ce à quoi nous pouvons nous attendre pour la saison à venir. Observer la survie de nos bourgeons est aussi un bon outil que nous pouvons utiliser pour adapter notre stratégie de taille aux dégâts qu'ont pu subir nos vignes lors d'un hiver particulièrement froid.

La première chose que nous ferons, c’est de récolter 10 cannes de nos vignes avec 10 bourgeons sur chaque canne. Cela nous donne un bon échantillon à partir duquel tirer des résultats. Nous collecterons cet échantillon de 100 bourgeons pour chaque cépage et chaque bloc que nous souhaitons examiner. La survie des bourgeons peut varier principalement en fonction de l'emplacement de la parcelle et de la rusticité du cépage. Il est important de prélever les cannes de la zone de fructification.


 


La canne doit être représentative de ceux que vous laisseriez sur le plant. Souvent, il y a plusieurs sarments qui pourraient être gardés comme cannes ou des coursons fruitiers sur nos vignes. En prendre un ne posera pas de problème à moins que le plant soit déjà entièrement taillé. C'est pourquoi il est préférable de réaliser ce prélèvement avant la taille définitive des vignes.

Une fois l’échantillon de tissu collecté, vous le laisserez dans un endroit sec, à l’abri du froid, pour que le tissu atteigne une température plus chaude pendant environ 24 heures. Cela permettra à tous les tissus morts de changer de couleur si ce n’est pas déjà fait.

Afin de pouvoir utiliser les résultats adéquatement, certains aiment noter l'emplacement des bourgeons sur la canne (1 à 10), tandis que d'autres mesureront simplement la mortalité et la survie générale.

Le rasoir ou la lame utilisé à cet effet doit être bien aiguisé afin de pouvoir bien couper le bourgeon sans le couper trop profondément. Il est préférable de faire plusieurs coupes (3 à 5) et de parcourir la pointe de croissance à plusieurs niveaux pour bien voir sa couleur.

Vous couperez le bourgeon parallèlement à la longueur de la canne. Si vous coupez correctement, vous verrez trois têtes de bourgeon une fois arrivé au milieu. Le plus gros est le bourgeon principal et sera le premier à s'ouvrir s'il est vivant. C'est généralement le plus fructueux. Les bourgeons secondaires et tertiaires se trouvent sur chaque côté du primaire et sont plus petits. Ces bourgeons agissent comme un plan de secours si le bourgeon principal est mort. Un bourgeon vert vif signifie qu'il est vivant. Une couleur marron foncé signifie que le bourgeon est mort. C'est vraiment aussi simple que ça !

Sur cette image, nous voyons que le bourgeon primaire est mort et le secondaire est vivant.

 

Ci-dessus, on voit que les bourgeons primaires et secondaires sont vert- foncé/brun, signifiant leur mortalité.

Habituellement, si vous avez 10 à 15 % de dégâts sur les bourgeons primaires, il n'est pas nécessaire d'ajuster votre taille hivernale. Au-delà de 15 % des bourgeons primaires morts, vous pouvez envisager de laisser plus de bourgeons sur les cannes et les coursons (un à deux de plus par courson et trois par canne avec une mortalité de 20% par exemple). Si la survie des bourgeons est meilleure que prévue au printemps, un simple ébourgeonnage permettra de maintenir l'équilibre.


Ici nous voyons de près le bourgeon primaire qui est mort et les bourgeons secondaires tertiaire qui sont vivants.

Pour ceux qui souhaitent réfléchir à leur stratégie de taille ce printemps et intégrer la mortalité des bourgeons à la planification, c'est une bonne idée de discuter des résultats de cet exercice avec votre agronome ou conseiller.e.

 

 

 

Capsule
semoir/épandeur en bande pour culture de couverture et intercalaire

Par Jean-Philippe Gagné

À la suite de la sortie du nouveau programme prime-vert, il apparait qu’il soit encore possible d’obtenir une aide financière pour l’achat de semoir en bande afin de couvrir nos entre-rangs plastiques d’un intercalaire ou d’un engrais-vert pleine largeur en post-récolte.

Les semoirs suggérés pour ces 2 techniques sont les semoirs Delimbe (image de gauche) ou APV pneumatic avec ventilateur alimenté au courant 12volt (ci-dessous). Ces 2 semoirs sont préconisés en raison de leur facilité à être installés à n’importe quel endroit de n’importe quel tracteur ou outil de travail de sol. Ils peuvent même être installés sur un VTT ou un côte-à-côte, si l’accès à un tracteur agricole n’est pas assuré.

Les 2 modèles permettent l’application de semences de différentes grosseurs en plus de permettre un ajustement infiniment variable de l’écartement entre les tubes applicateurs. Ce dernier atout rend possible l’application de semences en bande ou pleine largeur, selon nos besoins.

N’hésitez-pas à communiquer avec votre conseiller.e. Dura-Club pour plus de détails ou pour vos stratégies de couverture.

 

La production des transplants est bien commencée et il est important de remettre vos connaissances à jour. En tout premier lieu, il est important de se rappeler que la qualité des transplants sera proportionnelle à la qualité de la récolte. Il serait donc une grave erreur de négliger cette étape et de penser qu’un transplant stressé pourra donner des bonnes récoltes. La bonne nouvelle est que la plupart des stress qu’un transplant risque de subir sont contrôlables et qu’une bonne gestion des facteurs abiotiques devrait résulter en une production de transplants vigoureux.

La gestion de l’humidité relative (HR) en pépinière est le principal élément à contrôler. L’air chaud contient une plus grande quantité d’humidité, et plus l’air est humide, moins les plants transpireront. Par conséquent, moins le plant transpire, moins il sera tenté de développer son système racinaire.


 

Des algues sur le terreau, de la gutation sur les feuilles et de l’œdème sont des symptômes de mauvaise gestion de l’HR. Au contraire, des belles racines blanches remplies de radicelles est un signe que les transplants sont en santé et que le climat est propice à la transpiration.

Autre point important et trop souvent mis de côté est le traitement de semence à l’eau chaude. La technique, principalement utilisée pour les crucifères et les solanacées, permet de réduire de façon significative l’inoculum de maladies bactériennes en début de croissance de la culture.

En terminant, il est important de rappeler qu’il vaut mieux perdre un peu d’argent en éliminant un lot de transplants que d’entretenir une parcelle sans potentiel de rendement dû a une mauvaise qualité de transplants.

Voici quelques références avec plus de détails sur la gestion de l’HR ainsi que sur la technique du traitement de semence à l’eau chaude.

  Ici                                                                 ici                                                  et ici !

 

 

 

Capsule greffage du Dura-Club

Par Antoine Tremblay-Lemieux

Aujourd’hui, l’équipe pomme aimerait vous faire une petite capsule sur les rudiments du greffage des pommiers.

Le greffage des pommiers est utile non seulement pour créer les nouveaux arbres de nos futures implantations, mais aussi, pour remplacer une variété après la plantation, revigorer un vieil arbre ou essayer de développer et propager soi-même une variété de pommier.

Voici les principales techniques de greffage et leur utilité :


1. Ce qu’on appelle les greffes de rameaux. Ce sont des greffes de départ pour partir de nouveaux arbres tel qu’utilisées par les pépinières pour la production de leurs arbres.

A) Anglaise simple

C’est la technique de base du greffage. Elle utilise des rameaux dormants.

 

B) Anglaise compliquée

Comme l'anglaise simple, elle s'en différencie que par la coupe.

 

C) Oméga

Elle a la même utilité, elle utilise aussi les rameaux dormants. Coupe nécessitant un outil spécifique. Type de greffe populaire dans la vigne.


2. Les greffes de bourgeons sont des greffes de départ faites à partir d’un bourgeon (parfait pour ajuster quelques arbres d’une implantation).

A) Écussonnage

(Méthode la plus répandue), nécessite un bourgeon. Elle est faite au moment de l’année où l’écorce se détache.

 

 

C) Placage de côté

Similaire au chip budding, mais avec un rameau.

B) Chip budding

 Elle est similaire à l’écussonnage, mais différente en utilisant un morceau de bois avec un bourgeons en l’insérant dans une cavité d’une forme analogue. C’est une greffe effectuée quand l’écorce ne se soulève pas.


3. Le surgreffage est souvent utilisé pour changer la variété d’un arbre déjà implanté.

A) Surgreffage en couronne

Des greffons sont insérés dans la branche charpentière ou le tronc fraîchement coupé au printemps, car l’écorce se décolle.

B) Surgreffage en incrustation

En incrustation, similaire à la couronne, exceptée que l’on effectue celle-ci lorsque l’écorce ne se détache pas, en été par exemple.


Ainsi, nous avons fait le tour des principales techniques de greffage et de leur utilité. De plus,  pour vous aider à choisir quelle technique de greffage convient à vos besoins et vos objectifs n’hésitez pas à contacter votre conseiller.e. Dura-Club en pomiculture.

 

 

 

Aménagement d'un étang d"irrigation

Par Julie Bellefroid

Dans le contexte actuel des changements climatiques, vous avez tous vécu les effets de la chaleur, mais cela devient encore plus inquiétant dans des conditions de sécheresse et des conséquences du manque d’eau sur vos cultures.

Bonne nouvelle !!! Il est maintenant possible d’obtenir une aide financière pour le creusage d’étang d’irrigation par le nouveau programme Prime-Vert 2023-2026.

Avant de creuser cependant, vous devez bien préparer votre projet.

Ce qu’il faut comprendre c’est que creuser un étang semble simple, mais dès qu’il sera creusé, il sera alors considéré comme un milieu humide auprès du MELCCFP. Il s’accompagne alors de diverses contraintes telles des bandes riveraines, entre autre. Il faut donc choisir un emplacement qui ne va pas restreindre vos occupations. Cependant, l’étang peut être recreusé puisque sa vocation est agricole pour des fins d’irrigation.

Malgré que vous puissiez recreuser l’étang d’irrigation, pourquoi ne pas réfléchir aux différentes techniques d’aménagement qui réduiront les risques de lessivage des sols et d’érosion des berges au moment de l’excavation. Ces aménagements peuvent repousser les recreusages le plus possible et ainsi économiser et éviter les dommages à cet écosystème.

Il est également important de demander les permis nécessaires selon la grandeur de notre projet ou la quantité de l’eau captée.

De plus, puisque que l’eau est une denrée précieuse, il faut idéalement l’utiliser à bon escient. Le programme Prime-Vert nous demande de remplir un diagnostique d’irrigation afin de bien prévoir les besoins en eau de vos cultures et les méthodes d’irrigation qui seront choisies.

Finalement, l’étang d’irrigation peut devenir un site très propice à la biodiversité. L’aménagement autour de l’étang peut également être subventionné par le programme Prime-vert.

Prévoir un plan d’aménagement est primordial et souvent, il peut aider à l’acceptation de notre projet auprès des instances municipales.

Pour prévoir toutes ces étapes, les professionnels du Dura-Club peuvent vous aider. N’hésitez pas à contacter:


Benoit McConnell-Legault : benoit.mcconnell@duraclub.com
ou
Julie Bellefroid : julie.bellefroid@duraclub.com

Lors de l’ AGA du 13 mars, nous vous présenterons les nombreuses étapes pour la réalisation de votre étang d’irrigation. Soyez-y!

 

Lorsqu’on entend les mots « agriculture de précision », on a trop souvent tendance à se bloquer en pensant aux dépenses que cela impliquerait : un nouvel épandeur, un nouveau semoir, de nouveaux tracteurs… Alors que dans les faits, l’agriculture de précision commence beaucoup plus simplement. Vous la pratiquez souvent sans le savoir lorsque vous créez des zones de gestion au sein de vos champs, soit en les divisant, soit en modulant les doses de fertilisant, de fumier ou les cultures. Le tout, sans besoin autre que de quelques conseils sporadiques.


 


L’agriculture de précision se définit essentiellement par l’utilisation de gestion différenciée (technologique ou non) en se basant sur des informations collectées automatiquement (satellites, drones, capteurs de rendement) ou manuellement (analyses géoréférencées rendement instantané, type de sol). Il est donc possible de pratiquer l’agriculture de précision avec des équipements de plus de 20 ans d’âge, du moment que l’on collecte des informations fiables. Les deux manières les plus simples de collecter des informations pour améliorer notre gestion sont les analyses géoréférencées et la réalisation de cartes de rendement des batteuses.

Les analyses géoréférencées sont simplement la prise d’analyses à plus haute densité dans un champ (on utilise souvent 1 analyse par hectare).

Ces analyses coûtent plus cher, mais elles permettent naturellement d’économiser si on sait bien les gérer, notamment en pratiquant un chaulage ou une application de potasse géoréférencée par le biais de votre forfaitaire de chaux. Au Dura-Club, les analyses géoréférencées sont le même prix par échantillon envoyé que les analyses standards (à raison de 1 par hectare si l’on opte pour la densité par défaut) alors que le temps de prise d’échantillon compte sur votre accompagnement, soit environ 30-60$ par champ. Si l’analyse géoréférencée d’un champ revient plus cher que l'analyse standard, elle permet d’appliquer des doses variables de chaux selon la variabilité du champ, ce qui influence la disponibilité de tous les autres nutriments pour donner un retour sur investissement intéressant, particulièrement dans des champs aux sols/topographie variables et encore plus dans le cas d’investissements faits à long terme (ex. implantation de culture pérenne, transition biologique/semis direct, etc.).


 

La réalisation de cartes de rendement comporte, en grandes cultures, l’extraction et le traitement des données brutes issues du moniteur de la batteuse afin de classifier les zones d’un champ et, idéalement, combiner les rendements de plusieurs années pour réduire l’écart entres les années au temps plus sec ou humide par exemple.

Dans les autres cultures, une tenue d’un registre de récolte permet également de produire des cartes de rendements. Une fois extraite, comment utiliser cette mine d’or sans se ruiner? Tout simplement en sortant la bonne vieille pelle et en remontant dans l’histoire du champ pour comprendre les causes des mauvais rendements et d’étayer les solutions possibles à ce problème avec l’aide de votre conseiller.e.


Ça vous parle?

Vous désirez en apprendre davantage sur ces outils, les autres outils d’agriculture de précision les plus fréquents (indices de végétation par satellite, imagerie par drone, etc.), ou comment ces technologies pourraient être utilisées sur votre ferme? Glissez-en un mot à votre conseiller.e!

 

 

 

Balancement des tracteurs: appli et fichier pratique

Par Philippe Jetten-Vigeant

Le 12 janvier dernier avait lieu la journée hivernale de la Caravane santé des sols du MAPAQ à St-Ignace. L’événement fut un succès avec une vingtaine de producteurs, surtout de grandes cultures, et une dizaine de conseillers du club. Cela faisait un certain temps que nous avions tenu une journée hivernale en grandes cultures, et force est de constater que l’expérience est à refaire!

 

Pour ceux et celles qui auraient de l’intérêt à mettre de l’avant les mesures de diagnostic et de prévention de la compaction, voici deux outils mentionnés par Bruno Garon dans sa présentation :

  • Le site web terranimo, récemment adapté au Québec
  • Le chiffrier de balancement de tracteur

 

Pour toute question sur ces deux outils ou sur la compaction en général, veuillez contacter votre conseiller.e. La compaction est un mal silencieux qui est le principal facteur de perte de rendement, avec le drainage dans certaines régions. Mais contrairement au drainage, les problèmes de compaction n’épargnent que très peu de champs. Il existe des solutions et ces problèmes sont faciles à diagnostiquer, alors n’hésitez pas à nous contacter pour une visite au champ ce printemps !

D’autres journées sur la santé des sols se tiendront au courant de la saison. N’hésitez pas à nous faire part de votre intérêt à en accueillir une chez vous, ou si vous avez des idées de sujet !

 

 

Nouveautés Prime-Vert
Par Daniel Venneman


 

 

Le nouveau programme Prime-Vert a été annoncé par le MAPAQ

 

Il est maintenant possible de déposer vos demandes.

Vous pouvez consulter les détails du programme ci-dessous.          

                             👇

ICI 

 

Voici les grands changements et nouveautés du programme :


  • Le programme a été annoncé pour une période d’environ 2 ans (jusqu’au 15 février 2026).
     
  • Les montants d’aide maximaux ont été annoncés pour la durée du programme (voir les détails sur le site du MAPAQ). Les taux de subventions sont différents pour chaque volet du programme. Il y a une bonification pour la relève, pour les entreprises en régie biologique et pour les CUMA (Coopérative d'utilisation de matériel agricole).
     
  • Les projets d’implantations d’ouvrages d’approvisionnement et du stockage d’eau (ex : lacs d’irrigation) sont maintenant subventionnés.
     
  • La subvention pour l’appui à la conversion biologique est maintenant incluse dans le programme prime-vert (sous-volet 1.4).

     


  • Le sous-volet 1.3 pour l’appui à la réalisation d’essais d’implantation de pratiques agroenvironnementales à la ferme permet à l’entreprise de subventionner 70 % des coûts reliés à l’implantation d’un tel essai. L’essai doit être en lien avec une technique déjà éprouvée. Les conseillers du Dura-Club sont en mesure de vous aider à déposer de tels projets.
  • Les demandes seront traitées de manière centralisée pour tout le Québec. Pour chaque volet, il y a des répondants dans chaque région qui peuvent répondre à vos questions.
     
  • Au moment de déposer une demande, tous les documents exigés doivent être présents avec la signature du répondant de l’entreprise, sinon la demande ne pourra pas être reçue.

     

 

Le printemps se fait déjà sentir, mais il est encore trop tôt pour entrer dans vos champs alors le moment est idéal pour mettre à jour vos équipements de protection individuelle (EPI) et de vous assurer que les conditions d’entreposage de vos pesticides sont sécuritaires.

Bon… On sait que jaser EPI n’est pas le sujet de conversation le plus sexy, mais il est tout de même important de s’y attarder. Les effets des pesticides sur la santé de ceux qui les utilisent sont de mieux en mieux connus. Que ce soit à la suite de plusieurs années d’expositions répétées ou après une exposition de courte durée, les risques de maladies sont importants et peuvent avoir de graves conséquences sur votre vie et celle de ceux qui vous entourent.

 

Prenez donc le temps de consulter les étiquettes et les fiches de sécurité (FDS) des produits que vous utilisez et accomplissez les trois actions suivantes:

  1. Identifiez les EPI requis
  2. Identifiez les conditions d’entreposage sécuritaires
  3. Identifiez les autres consignes de sécurité et les mesures d’urgences

Vous désirez apprendre comment vous y prendre, avoir plus d’informations sur les EPI et les bons réflexes à avoir?

Voici une page intéressante 

Vous manquez de temps pour vous pencher sur la question, vous ne savez pas trop par où commencer ou vous ne savez pas quoi ni où l’acheter? N’hésitez pas à en parler à votre agronome. Au Dura-Club, nous avons des ressources qui peuvent vous rencontrer afin de réaliser un diagnostic EPI adapté à vos besoin et vous aider à mettre sur pied les actions nécessaires pour assurer votre sécurité et celle de vos employés.

Ça vaut la peine d’en parler!

 
 

 🌻 Votre Santé nous tient à coeur 🌻

Rappelez-vous qu'il y a des services de psychologie agricole dans la région. Prenez soin de vous et parlez-en à un professionnel. C'est confidentiel, en ligne ou en présentiel. 

Psycologie agricole - Pro-Conseil 

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