Activité physique et changements climatiques : les sports d'hiver à l'eau?
Amélioration de la qualité de l’air, systèmes de réfrigération à faibles émissions de CO2, alimentation en électricité 100 % renouvelable : Pékin, la ville-hôte des Jeux olympiques d’hiver 2022, a redoublé d’ardeur pour démontrer qu’il est possible d’organiser et d’accueillir des jeux à faible impact sur le climat. Bien que louables, il y a fort à parier que ces efforts auront bien peu d’impact sur les interférences croissantes du climat avec les exigences de la pratique de sports de plein air. À quels changements dans le climat hivernal pouvons-nous nous attendre au Québec et ailleurs dans le monde au cours des prochaines décennies, et quels sont les impacts escomptés sur l’activité physique à l’extérieur? Inversement, comment la pratique de sports, tant lors de grands événements internationaux comme les Jeux olympiques que lors de manifestations plus modestes, peut-elle contribuer à la crise climatique?
Panélistes:
Paquito Bernard | Professeur, sciences de l’activité physique
Philippe Gachon | Professeur, géographie et directeur du RIISQ
Jean-Philippe Martin | Conseiller changements climatiques, Hydro-Québec et diplômé du PhD sc. de l’environnement
Animation: Tanya Handa, Professeure sciences biologiques et directrice du programme de maîtrise en sc. de l’environnement
Mardi 8 février, 12h à 13h
En ligne sur Zoom
Entrée libre, inscription requise
Inscription gratuite requise