Ordre des opticiens d'ordonnances du Québec

EXPRESS-O

La voix officielle de l'Ordre

Déconfinement des soins oculovisuels

Une reprise des activités régulières dans les cabinets d’opticiens d’ordonnances et d’optométristes annoncée pour le 1er juin prochain.

Le gouvernement du Québec a annoncé aujourd’hui la reprise des activités régulières, le 1er juin prochain partout au Québec, dans les cabinets privés de professionnels, dont les opticiens d’ordonnances et les optométristes. Les textes juridiques relatifs à cette annonce ne sont pas encore disponibles, donc d’autres conditions pourraient être annoncées ultérieurement à ce sujet.

Malgré cette annonce, il est entendu que la pandémie est loin d’être terminée et que les opticiens d’ordonnances et les optométristes et devront adapter leurs pratiques suivant les recommandations émises conjointement par l’Ordre des opticiens d’ordonnances et l’Ordre des optométristes. Il s’agit là d’abord d’une question de protection du public et d’une obligation déontologique pour les professionnels, mais aussi, d’une obligation liée à la responsabilité qu’ils peuvent encourir à titre d’employeurs en matière de santé et sécurité au travail de leur personnel, et, plus largement, au plan de la responsabilité civile, pour les préjudices qui pourraient résulter de leurs activités, en lien avec la transmission du virus dans la communauté par exemple. Il y a aussi bien sûr des enjeux réputationels pour l’ensemble du secteur oculovisuel et pour chacun des bureaux qu’on y retrouve.

Les professionnels qui ont des employés à leur charge sont invités à consulter la trousse produite par la Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST). Les indications données par la CNESST recoupent, pour l’essentiel, celles indiquées dans les recommandations émises par les deux ordres.

En terminant, l’Ordre des opticiens d'ordonnaances et l’Ordre des optométristes tiennent à remercier chaleureusement leurs membres, qui, tout en contribuant activement à assurer les services d’urgence à la population au cours des deux derniers mois, ont su faire preuve de discipline et de courage, afin de participer aux efforts collectifs visant à contenir la pandémie. Les impacts de cette réduction d’activités professionnelles, tant pour la population que pour les professionnels, ne sont certainement pas négligeables. Il faudra continuer de faire preuve de solidarité et de rigueur au cours des prochains mois pour atténuer ces impacts et, aussi, pour être en mesure de faire face à d’autres écueils que pourrait réserver cette pandémie.

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À propos des communications liées à la raison d'être de l'Ordre

L'Ordre se conforme à la Loi canadienne anti-pourriel (LCAP) entrée en vigueur le 1er juillet 2014 qui stipule qu'il est maintenant interdit d’envoyer des messages électroniques commerciaux (MEC) sans le consentement (la permission) du destinataire. Un MEC est un message qui encourage la participation à une activité commerciale, notamment l’offre, l’annonce ou la promotion d’un produit, d’un service ou d’une personne.

Les communications liées à la raison d'être de l’Ordre, à savoir, la protection du public, de même que celles liées aux activités reliées au cadre législatif et réglementaire de la profession ne constituent pas un message électronique commercial (MEC) en vertu de la LCAP. C’est pourquoi ces communications continueront d’être acheminées aux membres électroniquement et qu’il n’est pas possible de se désabonner de ce genre de communications.

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