VOTRE BULLETIN - JUIN 2017

Bientôt l’été

Après un des printemps les plus arrosés qu’a connu le Québec, voici enfin l’été avec ses petits bonheurs, ses petites douceurs mais aussi ses petites corvées. Mais la saison estivale possède son propre lexique qu’il convient de bien apprivoiser. Voici donc quelques définitions relatives à l’été.

Camping

  1. Action de se priver volontairement de confort afin de mal dormir dans un beau paysage.
  2. Endroit étrange où des êtres humains s'empilent les uns à côté des autres dans des roulottes, afin de ne rien faire, mais en société.

Feu de camp

  1. Attraction des soirs d'été qui consiste à regarder brûler du bois avec un air nostalgique, à recevoir de la fumée au visage et à occuper les gars pendant des heures.
  2. Pour les enfants, prétexte à manger des guimauves.

Piscine

  1. Attraction de cour arrière qui amuse les enfants et qui fatigue les parents.

Sieste

  1. Activité obligatoire qui attriste les tout-petits.
  2. Activité facultative qui enchante les parents.

Et pour ceux et celles qui ont des enfants, voici une échelle de mesure ainsi que les solutions appropriées.

Niveau de saleté des enfants (et solutions)

  1. Propres
  2. Défraîchis (= débarbouillette)
  3. Pas très propres (= piscine)
  4. Sales (= bain)
  5. Crottés (= douche)
  6. Crasseux (= nettoyeur à pression)
  7. Croutés (= macération prolongée + toutes les solutions précédentes)

Sur ce, l’Association des anciennes et anciens de l’ITA vous souhaite un bon été. Notre Bulletin fait relâche pour les mois de juillet et août et nous serons de retour en septembre.

Par contre, notre service de publication d’offres d’emploi ne prend pas de vacances. Employeurs et diplômés, nous continuerons de publier vos offres d’emploi pendant tout l’été.


D’autres honneurs pour Julie Lefort

Julie Lefort vient de se classer dans le palmarès Women in Produce de l’hebdomadaire américain The Packer. Cette prestigieuse publication spécialisée dans le secteur des fruits et légumes publie régulièrement le portrait de huit productrices maraîchères ou fruitières qui se sont distinguées en Amérique du Nord.

Le nom de Julie Lefort, directrice de la division biologique aux Serres Lefort, sur la Rive-Sud de Montréal a été publiée il y a quelques semaines. C’est sa volonté en 2011 de démarrer la culture bio au sein de l’entreprise familiale qui a retenu l’attention de la publication américaine.

À l’époque, les transplants constituaient 100 % du chiffre d’affaires des Serres Lefort : aujourd’hui, 90 % des ventes de l’entreprise proviennent de la production biologique. Et l’an dernier, l’entreprise avait annoncé un investissement de 27 millions de dollars pour augmenter la production de légumes biologiques.

Julie Lefort, une ancienne de l’ITA, campus Saint-Hyacinthe (TPHE-HLF 2009) a été membre du conseil d’administration de l’Association des anciennes et anciens de l’ITA.

Pour consulter l’article :

http://www.thepacker.com/marketing-profiles/women-produce/women-produce-julie-lefort


Les Exceptionnelles 2017

Cette année marque la 11e édition du programme Les Exceptionnelles® initié par le Jardin Daniel A. Séguin de l’ITA, campus Saint-Hyacinthe. Il s’agit en fait d’un programme de sélection qui fait appel au public et à un comité d’experts pour cibler les meilleures nouvelles fleurs annuelles. Seules les plantes naturellement performantes passent l’épreuve de la sélection. C’est la raison pour laquelle on les appelle Les Exceptionnelles. Dix (10) plantes sont choisies annuellement parmi les centaines de nouveautés horticoles qui arrivent chaque année sur le marché et qui sont faciles et performantes, ne nécessitant généralement aucun soin particulier.

Parmi les gagnantes cette année, la Begonia Unbelievable™Lucky Strike. Cette plante a mérité une note parfaite pour sa floraison qui se poursuit tout l’été. Tout comme cette bégonia, neuf autres plantes ont remporté des récompenses. Vous pouvez les voir sur le site http://www.lesexceptionnelles.ca/ . Une des particularités du programme Les Exceptionnelles® est de reproduire le plus fidèlement possible les conditions de vie des plantes chez le consommateur d’aujourd’hui qui a peu de temps à consacrer à l’entretien des végétaux. Ces plantes sont maintenant disponibles dans presque tous les centres de jardin au Québec.


Une image vaut mille maux !

L’utilité reste encore à démontrer

 


EN VRAC

Une politique bioalimentaire ambitieuse

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ), M. Laurent Lessard, a exprimé la semaine dernière sa volonté de voir le Québec prendre sa place sur son propre marché. Le ministre souhaite que le Québec « soit moins dépendant » de l’offre alimentaire internationale.

Le ministre a fait cette déclaration le 26 mai dernier, lors de la 3e rencontre préparatoire au Sommet sur l’alimentation prévu pour plus tard cette année. Le ministre a également indiqué son intention de bâtir une politique bioalimentaire qui fixera des objectifs et des cibles de croissance pour l’agriculture du Québec.

Un été couci couça

C’est en tout cas la prévision selon les modèles météo. Un été moins chaud que l’an dernier, moins ensoleillé, avec plus d’orages violents et une chaleur qui ne devrait pas s’allonger jusqu’en novembre. En fait, l’été risque de ressembler au printemps actuel qui a été moins ensoleillé et bien arrosé avec des quantités de pluie qui font que le mois de mai que nous venons de connaître aura été le plus pluvieux depuis 1986. S’ajoute un déficit d’heures d’ensoleillement qui a même atteint 80 heures dans le sud du Québec.

Bref, les seuls qui ont profité du temps exceptionnellement frais ce printemps, sont peut-être les producteurs de sirop d’érable qui ont produit une quantité record de 152 millions de livres de sirop d’érable. Cette production bat le record de l’an dernier qui était déjà supérieur à l’année 2015. Un printemps frais, un dégel lent ont évidemment contribué à cette production.

C’est le Bas-Saint-Laurent qui a obtenu le meilleur rendement à l’entaille, à 3,89 lb/entaille, ce qui constitue également un record pour cette région. Suivent la Montérégie, avec une moyenne de 3,87 lb, et le Centre-du-Québec, avec 3,68 lb.


Saviez-vous que

Le ketchup a été inventé au 17e siècle

L’été arrive et c’est la saison des barbecues. Un des condiments les plus utilisés est évidemment le fameux ketchup dont la compagnie américaine Heinz tire des milliards de dollars en revenus. Pourtant, l’origine de ce condiment n’est pas les États-Unis.

Le ketchup a été inventé en Indonésie. Son nom original était Ké-Tsiap. Cette sauce piquante à base de vinaigre, d’herbes, d’épices et de poissons a été importée en Europe par les marins anglais au 17ᵉ siècle. Les occidentaux trouvaient la sauce un peu trop piquante et ils ont décidé d’y rajouter des champignons, des tomates et du sucre.

En 1869, deux américains qui fabriquaient de la brique, Henry J. Heinz et L. Clarence Noble, se lancent dans le commerce de la sauce Raifort. En 1876, Heinz lance son "Tomato Catsup" : le mot Catsup est en fait un diminutif de « Categorys upgrade » c’est-à-dire "qualité supérieure". Il est alors composé de tomates, sucre, vinaigre et épices. Et pourquoi le chiffre 57 ? En 1892, Heinz voit une publicité pour un marchand de chaussures qui était fier de présenter ses 21 modèles. Il compte alors ses produits et, au 57ème, décide d'apposer le slogan "57 variétés" sur ses bouteilles de ketchup. C’est tout.

Aujourd’hui, il se vend 650 millions de bouteilles de ketchup dans le monde chaque année. La prochaine fois que vous dégusterez votre hamburger avec du ketchup, rappelez-vous que la dernière version du produit a été élaborée par … des fabricants de briques.


Fallait y penser

  • Lorsqu'un minable s'attaque à un autre minable, il faut s'attendre à une guerre ''inter-minables''...

 

  • Dites à quelqu'un qu'il y a 300 milliards d'étoiles dans l'univers et il vous croira. Dites-lui que la peinture n'est pas sèche et il aura besoin de toucher pour en être sûr.

 

  • Quand tu fais de la chute libre, tant que tu vois les vaches comme des fourmis, il n'y a pas de quoi s'inquiéter. Quand tu commences à voir les vaches comme des vaches, il est temps de s'inquiéter. Et quand tu vois les fourmis comme des vaches, tu n'as de toute façon plus le temps de t'inquiéter.

Le truc du mois

Recyclez vos vieux ustensiles

 

Juin est enfin arrivé et on peut maintenant penser aux plantes et aux fleurs extérieures sans craindre raisonnablement un gel tardif.

En faisant le ménage de la maison, vous avez retrouvé de vieux ustensiles.

Ne les jetez pas : utilisez-les comme supports à plantes.

 

 


Peut-être l’avez-vous connu …

Cette chronique « Peut-être l’avez-vous connu … » vise à souligner le décès d’un(e) ancien(ne) de l’ITA ou quelqu’un de proche de l’Institut. Si vous connaissez quelqu’un qui a fréquenté l’ITA ou qui a un lien avec notre Institut et qui est décédé, vous pouvez nous faire parvenir de l’information (vérifiable) au sujet de cet événement via notre courriel : associationanciens.ita@gmail.com .

Monsieur Jean-Luc Archambault – est décédé le 14 mai dernier à l’âge de 68 ans à Henryville, en Montérégie. M. Archambault, était un diplômé de l’ITA, campus Saint-Hyacinthe (Hygiène publique – 1971).

Technologue professionnel, M. Archambault adorait sa profession. Il a d’ailleurs exercé ses compétences durant onze ans comme employé à l’Ordre des technologues professionnels du Québec (1985-1996), notamment à la direction de l’inspection professionnelle.

Il a également siégé plus tard au Conseil d’administration de son Ordre professionnel durant trois ans (1998-2001). Il laisse dans le deuil ses enfants: Annick (Donald Lafrenière) et Julie.

Madame Jeanne Aubin – À l’Hôtel-Dieu de Saint-Hyacinthe, le 10 mai dernier, est décédée Mme Jeanne Aubin à l’âge de 57 ans, épouse de M. Gilles Cantin.

Mme Aubin était diplômée de l’ITA, campus Saint-Hyacinthe (Technologie de laboratoire – 1980).

Elle laisse dans le deuil son époux, Gilles Cantin, également diplômé de l’ITA, campus Saint-Hyacinthe (Zootechnologie – 1980), de même que ses enfants Guillaume et Cynthia (Sébastien Jacques).

 

Une pensée !


Nos offres d’emploi ce mois-ci

Vous avez une offre d’emploi ou vous connaissez quelqu’un qui recherche du personnel qualifié? L’Association des anciennes et anciens de l’ITA qui regroupe tous les diplômé(e)s des campus St-Hyacinthe et La Pocatière, peut vous aider via son service d’offres d’emploi. Visitez nos deux sites internet aux adresses suivantes : anciensita.ca/saint-hyacinthe ou aaaita.ca/ ou communiquez directement avec l’une des deux associations au : (450) 778-6504 poste 6298 ou (418) 856-1110 poste 1378. Il nous fera plaisir de vous aider. Nos offres d’emploi sont maintenant aussi diffusées sur Facebook.

Voici nos offres d’emplois en cours


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