3 raisons de prendre des vacances cet été 

Article du site Internet de l'ACSM-National

Les Canadiens renoncent en moyenne chaque année à trois jours de congé annuel. De plus, ils passent approximativement un tiers de leur vie au travail.

Il peut sembler productif de travailler sans relâche, mais en fait c'est plutôt le contraire. Lorsqu'on oublie de décrocher, notre rendement professionnel peut diminuer. En outre, sans conciliation travail-vie personnelle, on met en péril notre santé physique et psychologique.

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Livre blanc sur la santé mentale au travail

La Commission de la santé mentale du Canada estime que chaque année, un Canadien sur cinq souffre d'un problème de santé mentale ou d'une maladie mentale, ce qui équivaut à 500 000 employés qui se trouvent dans l'impossibilité de travailler chaque semaine pour l'une ou l'autre de ces raisons.

La compagnie Morneau Shepell s'est associée au Globe and Mail pour mener une enquête sur « la santé mentale dans les milieux de travail au Canada ». 

La Commission de la santé mentale du Canada et Morneau Shepell viennent tout juste de publier un livre blanc qui détaille les résultats de cette étude.

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Une campagne de sensibilisation originale en Grande-Bretagne

En Grande-Bretagne, le suicide fait trois fois plus de victimes chez les hommes que chez les femmes. Il est la principale cause de décès chez les hommes de moins de 49 ans. L’association anglaise Time to Change a donc décidé d’agir en communiquant non pas directement auprès des hommes dépressifs, mais auprès de leur entourage.

Pour ce faire, ils ont imprimé des messages de sensibilisation sur la santé mentale sur des sous-verre, comme : « est-ce qu’il y a un ami qui manque à cette table ? Essayez de le joindre ». 

La campagne a été saluée par le public anglais, car elle permet d’entamer une discussion sur le sujet autour d’un verre entre amis, en plus d’alerter ceux qui pourraient avoir une personne dépressive dans leur entourage.

Une vidéo très accrocheuse a également été conçue avec le concept d'un ring de boxe dans lequel un groupe d'amis vient supporter l'un des leurs qui est en détresse psychologique. Une campagne originale et inspirante!

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Avoir la tête à la rentrée scolaire

Article provenant de psychologies.com

La rentrée scolaire est une période qui peut être stressante pour toute la famille. Dans cet article intéressant de Radio-Canada, la psychologue Nadia Gagnier suggère aux parents quelques astuces pour mieux aborder la rentrée scolaire.

Elle propose avant toute chose de bien informer les enfants. Il se peut qu'à cause de la rentrée qui s'en vient, ils soient un peu plus dans la lune que d'habitude. « C'est important de reconnaître leurs émotions et d'apaiser leurs inquiétudes », souligne-t-elle.

« On reçoit des lettres de l'école, on est mis au courant par l'administration de la planification de la rentrée (rentrée progressive, demi- journées et autres), mais les enfants ignorent ce qui s'en vient, alors c'est important de dire à son enfant ce qui se prépare. »

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Empathie : peut-on vraiment se mettre à la place des autres?

Article provenant de psychologies.com

La vraie empathie consiste à tenter de comprendre l’autre de l’intérieur, tout en ayant conscience que cela reste impossible, donc en restant vigilant à ne pas trop empiéter sur lui. Loin de la posture prétentieuse de celui qui se croit capable de se mettre à la place d’une personne, la posture empathique est profondément modeste, puisqu’elle reconnaît les limites de celle-ci.

Mise en place par le psychologue Carl Rogers pour définir une relation plus humaine entre le thérapeute et le client, l’écoute active a été reprise par nombre de techniques de communication et de développement personnel pour s’appliquer à toutes sortes de relations. Appelée aussi « écoute bienveillante », elle repose sur les principes suivants :

Savoir se taire : laisser l’autre parler jusqu’au bout, sans l’interrompre.

Se montrer disponible et attentif, sans se laisser distraire par des éléments extérieurs.

Donner des signes visuels et verbaux d’intérêt (hochement de tête, « J’entends », « Je vois »…).

Reformuler les derniers propos de l’autre ou ceux qui nous ont marqués pour s’assurer que nous avons bien compris.

Poser des questions neutres sur ce qui a été dit.

Faire une synthèse de ce qui a été dit.

Se refuser à tout jugement ou à toute interprétation.

Faire preuve d’empathie.

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