Des cadres éthiques font certes valoir l’importance d’un développement responsable de l’intelligence artificielle, mais ils ne sont pas contraignants. C’est d’ailleurs pourquoi des projets législatifs sont à l’étude dans différentes régions du monde.
À la lumière de son analyse, le Conseil demande au gouvernement québécois d’agir pour que l’utilisation de l’intelligence artificielle soit en phase avec la quête d’égalité entre les femmes et les hommes. Il pointe plusieurs pistes d’action à sa portée, à titre de législateur, de subventionnaire et d’utilisateur de l’intelligence artificielle au sein de l’administration publique québécoise.
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