Célébrons la journée
des chargées et chargés de cours
ensemble!

À l’occasion de la Journée nationale des chargées et chargés de cours, nous souhaitons vous inviter à un débat festif qui portera sur :

• le profil sociodémographique des personnes chargées de cours (qui sont-elles?) à partir du plus récent traitement des données administratives;
• le chemin que nous avons parcouru ces dernières années (en matière de conditions de travail et de représentation politique au sein de l'Université);
• les avenues qui s'offrent à nous pour parvenir à des plus grandes stabilisation de nos emplois et valorisation de notre travail.

Nous vous convions donc à participer nombreux à cette activité et à faire entendre vos points de vue 

le 21 novembre de 16 h à 17 h 30

dans la salle C- 2059 du Carrefour des arts et des sciences de la FAS

(au 2e étage du pavillon Lionel-Groulx).

🍷

Cette rencontre sera suivie d’un vin d’honneur

de 18 h à 20 h dans la salle adjacente (C-2081/83).

Formation sur la politique contre les violences à caractère  sexuel (VACS) : le SCCCUM intervient auprès de l'Université

L’Université a fait parvenir à l’ensemble de la communauté universitaire un courriel faisant mention d’une formation obligatoire sur la politique contre les violences à caractère sexuel.

Plusieurs membres du SCCCUM nous ont interpelés afin de savoir si le temps passé à cette formation serait rémunéré et si des sanctions pouvaient être imposées à quelqu’un qui ne l’aurait pas suivie. Nous nous sommes donc rapidement adressés à l’Université pour faire connaître ces préoccupations tout à fait légitimes.

À la suite de cette intervention, nous avons obtenu l’assurance de la direction qu’une personne chargée de cours ne subirait pas de sanction pour ne pas avoir suivi la formation. Cependant, en cas de plainte en matière de violence à caractère sexuel, ne pas avoir suivi la formation pourrait être considéré comme un facteur aggravant.

En ce qui concerne la rémunération, l’Université se dit encore en réflexion. Le Syndicat poursuivra ses représentations auprès de l’Université, car, que ce soit l'employeur ou la loi qui exige la formation, les personnes chargées de cours doivent être rémunérées pour le temps de formation au même titre que les membres des groupes d’emploi qui peuvent la suivre pendant leurs heures de travail.

Nous réitérons que nous sommes favorables à cette formation, qui ne peut que bénéficier à toutes et à tous. Nous encourageons donc nos membres à la suivre sans attendre.

Le comité santé et sécurité au travail du SCCCUM souhaite recueillir de l’information sur toutes les situations qui, à l’Université, pourraient présenter un risque pour votre santé, ainsi que sur les problèmes d’insalubrité et de qualité d’air dans votre environnement de travail à l’Université.

Nous vous serions très reconnaissants de répondre à ce bref sondage afin de nous aider à dresser un portrait des problèmes que vivent les personnes chargées de cours. L’objectif est de fournir au SCCCUM des données concrètes qui lui permettront de proposer des solutions à la direction de l’Université.

ANONYMAT ET CONFIDENTIALITÉ : la saisie des données et la production des rapports de sondage seront effectuées par le SCCCUM, et vos réponses resteront anonymes et strictement confidentielles.

Vous êtes entièrement libre de remplir ce questionnaire. Nous vous remercions d’avance de votre participation!

Voici l'hyperlien vers le sondage sur la qualité de l'environnement de travail :
https://www.surveymonkey.com/r/VZCBZP2

Le 31 octobre 2019, le nom des trois candidats et candidates qui ont accepté de rendre leur candidature publique dans la course au rectorat a été révélé sur le site du Secrétariat général.

Il s’agit de :

• M. Jean Charest, vice-recteur aux ressources humaines et à la planification à l’Université de Montréal
• Mme Marie-Josée Hébert, vice-rectrice à la recherche, à la découverte, à la création et à l’innovation à l’Université de Montréal
• M. Yves Joanette, professeur titulaire à la faculté de médecine de l’Université de Montréal

La communauté universitaire tient à bien se faire entendre dans le cadre du processus de sélection de la prochaine personne rectrice de l'Université qui est en cours. La Coalition des associations et des syndicats de l’Université de Montréal (CASUM) organise donc un colloque ouvert à tous et à toutes :

le 14 novembre 2019

de 11 h 30 à 14 h,

à la salle K-500 du pavillon Roger-Gaudry

sous le thème :

« La gouvernance d’une université du monde »

Madame Catherine Larouche, avocate, professeure agrégée au département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Chicoutimi, présentera de 11 h 30 à 12 h 15 une conférence intitulée « Une typologie des conceptions des universités : établir le dialogue ».

Par la suite, à partir de 12 h 15,  et ce, jusqu’à 14 h, la candidate et les candidats au rectorat pourront exprimer leur vision de l’avenir de notre Université et les actions qu’elle et ils comptent mener comme recteur ou rectrice de l’Université de Montréal. Elle et ils seront également invités à échanger avec les membres de la communauté universitaire.

Le conseil exécutif du SCCCUM convie ses membres à participer en grand nombre à ce colloque ! Plusieurs membres de votre équipe syndicale seront sur place.

Michaël Séguin

Vice-président aux relations intersyndicales

Le gouvernement suspend sa réforme du
Programme d’expérience québécoise (PEQ) 
 

Le gouvernement du Québec a reculé : le projet de réforme du Programme d'expérience québécoise pour les étudiantes et étudiants étrangers (PEQ) a été retiré. Il y aura vraisemblablement des consultations avant toute formulation de nouveau projet. Le SCCCUM s'en réjouit.

La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN), comme beaucoup de regroupements de syndicats et d'associations étudiantes, a participé au mouvement de dénonciation de la décision du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Inclusion (MIFI) de restreindre l’accès au Programme d’expérience québécoise (PEQ) à une liste de programmes d’études ciblés. Pour la Fédération, l’adéquation très étroite avec le marché de l’emploi que l’on retrouvait en filigrane de cette décision était symptomatique d’une vision biaisée de l’enseignement supérieur au Québec. Le ministre Jolin-Barrette instrumentalisait l’enseignement supérieur pour le mettre au service des entreprises, au mépris des valeurs humanistes et émancipatrices à la base de notre système d’éducation. Sa réforme aurait assurément alimenté la compétition entre les établissements et aurait défavorisé les étudiants et étudiantes de certains programmes d’études. En accroissant ainsi les iniquités entre les établissements, le ministre compromettait la vitalité de plusieurs cégeps et universités. 

Pour lire la prise de position que la FNEEQ a publiée la semaine dernière à ce sujet, position que partageait entièrement le SCCCUM, cliquez ci-dessous.

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Les demandes de la CSN: des services publics
plus humains pour toutes les Québécoises
et tous les Québécois

Pour la CSN, il est clair que l’attraction et la rétention du personnel des réseaux publics passent aussi par l’amélioration des conditions de travail et de pratique.

Aujourd’hui, les fédérations du secteur public de la CSN, qui représentent 150 000 personnes travaillant dans les réseaux de la santé et des services sociaux et de l’éducation ainsi que dans les organismes gouvernementaux déposent leurs demandes communes auprès du Conseil du trésor. Après avoir passé une année à consulter les membres et à débattre des solutions à proposer au gouvernement afin d’améliorer la situation dans les services publics, la CSN se présente à la table de négociation avec des revendications qui répondent aux besoins des travailleuses et des travailleurs, de même qu’à ceux de la population québécoise.

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Ben voyons, Québec!

La vérité sur le secteur public

La campagne Ben voyons!, développée sous la forme d’un jeu-questionnaire, se déploiera sur plusieurs semaines par un affichage massif dans l’espace public

Alors que s’achève la consultation des 150 000 membres du secteur public de la CSN sur les demandes à formuler en vue des prochaines négociations, et à quelques semaines du dépôt des cahiers de revendications auprès du gouvernement, les fédérations réunies au sein du Comité de coordination des secteurs public et parapublic (CCSPP), soit la FEESP, la FNEEQ, la FP et la FSSS, lancent une campagne de sensibilisation aux réalités des travailleuses et des travailleurs des services publics.

La campagne Ben voyons!, développée sous la forme d’un jeu-questionnaire, se déploiera sur plusieurs semaines par un affichage massif dans l’espace public, par une opération de visibilité via le microsite www.benvoyons.quebec, ainsi que par une offensive sur les médias sociaux. Elle vise principalement à poursuivre l’opération de démystification du travail fait quotidiennement par les employé-es de l’État, une opération menée par la CSN depuis plusieurs années. « Les mythes sur le secteur public ont la vie dure. Ils font partie des sujets de prédilection de plusieurs chroniqueurs et sont encore propagés par certains politiciens. Nous devons encore, malheureusement, remettre les pendules à l’heure quant aux réelles conditions de vie de celles et ceux qui soignent, éduquent et accompagnent la population, et qui répondent à ses besoins », explique Caroline Senneville, vice-présidente de la CSN et responsable des négociations du secteur public.

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Commémoration des 30 ans de la tuerie de Polytechnique

Le SEUM-1244 (Syndicat des employé.e.s de l'Université de Montréal) organise, de concert avec la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes, une activité de commémoration des 30 ans de la tuerie de Polytechnique.

L’activité aura lieu le 3 décembre, à la salle K-500 du pavillon Roger-Gaudry, entre 12 h et 13 h 30.

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