▪️ 23 OCTOBRE 2020 ▪️

MOT DU PRÉSIDENT


1930 – 2020 : Notre fédération de demain

Au moment d'écrire ce message, les couleurs du paysage changent au même rythme que celles de la carte pandémique. Résultat : une révision constante et un ajustement quotidien au sein de l'organisation des façons de faire, tant pour le personnel que pour la tenue d'instances. Devant l'adversité, l'humain s'adapte. Zoom, Teams, Via, Facebook, etc. sont devenus nos nouvelles salles de réunion.

Dans un tel contexte, le confinement et l'isolement risquent d'engendrer ou d'accentuer le degré de détresse de nos membres. Soyons vigilants et rappelons-nous que l’ACFA (Au cœur des familles agricoles) est là avec ses travailleurs de rang. Bref, la COVID-19 nous a amené son lot de tracas, mais nous a aussi forcés à devenir meilleurs collectivement.

Du côté de la société, la prise de conscience de l'importance de l'autosuffisance alimentaire sert favorablement nos intérêts centricois. Les PDZA élaborés par les MRC ne seraient-ils pas un outil pour ancrer solidement cette nouvelle tangente?

Au-delà de la COVID-19, de nombreux défis persistent. L'occupation du territoire, par la priorisation du maintien et du développement des activités agricoles, se retrouve de plus en plus sous pression. La persistance du ministère de l'Environnement de maintenir le moratoire sur l'expansion des surfaces en culture met à mal nos entreprises agricoles régionales. Il en va de même pour les plans régionaux des milieux humides et hydriques (PRMHH), qui risquent de soustraire eux aussi des surfaces importantes de l'usage agricole ou forestier. À cela s’ajoutent les multiples démarches pour obtenir un usage autre qu'agricole en zone agricole.

En lien avec la protection des ressources naturelles, les producteurs agricoles veulent et doivent faire partie des solutions à développer. C’est pourquoi nous parrainons un important programme régional visant à accompagner nos entreprises agricoles dans une perspective d'amélioration de la qualité de l'eau sur notre territoire.

Je profite de cet instant pour remercier les cinq MRC du Centre-du-Québec, qui ont consenti à supporter notre démarche dans le cadre du Fonds d’appui au rayonnement des régions (FARR). Le niveau de concertation développé au fil des ans avec les acteurs du milieu, dont les MRC, nous a permis de relever le grand défi et je suis convaincu que notre capacité collective nous permettra d'en relever d’autres tels que les PRMHH.

Toujours dans un esprit de mieux servir nos membres, le développement de services collectifs et individuels fait partie des objectifs quotidiens de la direction régionale. Je pense entre autres à la mise en place d'une coopérative provinciale unifiant tous les SCF dans une perspective d'offrir une expertise partout sur le territoire québécois. Je veux parler également de l'expansion du Centre d'emploi agricole, qui est propulsé par des projets favorisant l'intégration des immigrants sur le territoire en plus de composer avec un manque de travailleurs. Enfin, je pense aussi à l'embauche d'une équipe d'accompagnants environnementaux. Ce sont là quelques exemples de réalisations de la dernière année, supportées par vos élus.

Comme le titre le souligne, nous franchissons cette année 90 ans d'existence. Je ne referai pas l'historique de neuf décennies gravées profondément dans les mémoires de la région du Centre-du-Québec. Rappelons-nous seulement que tous ces hommes et ces femmes qui nous ont précédés ont relevé des défis de taille en lien avec leur époque et que comme eux, nous avons le devoir de relever les défis d’aujourd’hui. Nous devons nous assurer de la continuité de notre Fédération régionale. La réalité contextuelle fait en sorte que nous ne pouvons pas célébrer physiquement cette longévité impressionnante, mais foi de centricois, ce n'est que partie remise!

Bien entendu, je dois faire abstraction d'un très grand nombre de dossiers réglés tout au long de la dernière année, mais sachez que toutes ces réalisations sont rendues possibles grâce à l'implication d'un conseil d'administration assidu, de membres du conseil exécutif qui agissent avec un professionnalisme hors pair, d'un vice-président entièrement dévoué à la cause et d'une équipe technique qui rehausse le plafond de la compétence chaque jour.

Sous un angle plus personnel, je m'en voudrais de ne pas souligner la contribution de certains êtres chers qui me permettent d'avoir cette grande disponibilité pour notre organisation. Je parle bien entendu de mes deux garçons, Maxime et Pier-Luc, qui pallient à mes absences plus que fréquentes et de ma conjointe Nancy qui doit partager son existence entre l'organisation et son amoureux.

En conclusion, une autre année à travers laquelle le respect des partenaires avec qui nous échangeons a été mis à l'avant-plan. La rigueur des arguments soutenus et la fierté de représenter fidèlement nos pairs nous ont permis de passer à travers des épreuves colossales… Longue vie à notre Fédération!

Daniel Habel, président

Note : Ce texte est tiré du rapport annuel 2019-2020 de la Fédération

RETOUR SUR LE CONSEIL D’ADMINISTRATION
DU 22 OCTOBRE


Comme nous l’avons mentionné dans notre dernière édition, les administrateurs de la Fédération ont résolu exceptionnellement de reporter l’assemblée générale annuelle (AGA), sans fixer de date pour le moment. Pour nous permettre de nous rendre en toute légitimité à la tenue de l’assemblée quelque part en 2021, le conseil d’administration (CA) s’est réuni le 22 octobre et a pris les décisions suivantes :

✔️le CA a adopté le rapport des activités 2019-2020. Vous êtes invités à le consulter en ligne sur notre site Internetonglet Publications, section Rapport annuel;

✔️le CA a adopté les états financiers de la Fédération pour l’exercice 2019-2020. Compte tenu de la situation particulière imposée par la pandémie et par souci de transparence, les états financiers sont disponibles sur demande aux producteurs qui souhaitent les consulter. Il suffit d'en faire la demande par courriel à Mme Stéphanie Leblanc à sleblanc@upa.qc.ca;

✔️le CA a résolu de prolonger les mandats du président, du vice-président et des membres du conseil exécutif jusqu’à la tenue de l’AGA en 2021;

✔️un «toast virtuel» au 90e de la Fédération.

Comme on le voit sur cette photo, les administrateurs ont profité de leur rencontre virtuelle pour lever leur verre au 90e de la Fédération. Ce fut l’occasion de souligner le travail de nos prédécesseurs et de saluer leur engagement. Longue vie à la Fédération! 🍷

PROJET RÉGIONAL D'ACCOMPAGNEMENT DES PRODUCTEURS POUR UNE MEILLEURE GESTION DES COURS D'EAU, DES BANDES RIVERAINES ET DE LA BIODIVERSITÉ


En collaboration avec les cinq MRC et différents acteurs du Centre-du-Québec, la Fédération régionale lance un projet visant à faciliter la réalisation d’actions agroenvironnementales par les entreprises agricoles pendant et après des travaux d’entretien de cours d’eau. Le projet vise également à améliorer l’état des bandes riveraines et de la biodiversité le long de ces cours d’eau et d’autres cours d’eau ciblés.

Grâce à un financement du Fonds d’appui au rayonnement des régions (FARR) et réalisé en concertation avec les partenaires régionaux, quatre agents en agroenvironnement ont récemment été embauchés par l’UPA. Ces derniers amorceront des visites terrain dès cet automne et identifieront les actions à privilégier pour favoriser la durabilité des travaux d’entretien et contribuer à l’amélioration de la qualité de l’eau. Chaque MRC pourra désormais compter sur une ou plusieurs ressources sur son territoire afin de bonifier le travail des gestionnaires de cours d’eau.

Dans les prochaines semaines et au cours des trois années du projet, il est ainsi possible qu’un agent de l’UPA communique avec vous et visite certains de vos champs le long des cours d’eau ciblés. Les données récoltées sur le terrain et auprès de votre entreprise agricole permettront de vous remettre un document résumant les actions qu’il sera possible de mettre en place avec l’aide de l’agent, de votre conseiller agricole et d’autres ressources. En plus de contribuer à l’amélioration des cours d’eau, plusieurs des actions recommandées (pratiques culturales, ouvrages de contrôle de l’érosion, etc.) pourront aussi vous aider à améliorer l’état des champs et de la santé des sols de votre entreprise.

Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de l’avancement du projet par le biais de différentes communications. L’implication des producteurs sera précieuse et contribuera indéniablement à la réussite de ce projet d’envergure. Nous comptons sur votre collaboration d’ici les trois prochaines années. Pour toute question, n’hésitez pas à nous en faire part en communiquant avec le coordonnateur du projet, M. Yann Bourassa au 819 519-5838, poste 157 ou ybourassa@centre-du-quebec.upa.qc.ca ou avec l’agent de projet en agroenvironnement attitré à votre MRC.

Sophie Augurusa possède un baccalauréat en Études environnementales, un diplôme en restauration écologique de l’Université de Waterloo et une maîtrise en Sciences de l’environnement de l’UQAM. Elle a été notamment assistante de laboratoire écologique, agente de projet en gestion d’eau en milieu urbain et conseillère en agroenvironnement. Elle apportera une perspective multidisciplinaire et une capacité à travailler avec plusieurs acteurs de diverses disciplines.

MRC attitrées: Bécancour et Nicolet-Yamaska
819 519-5838, poste 161 | saugurusa@centre-du-quebec.upa.qc.ca

Chloé Mathieu, technicienne en bioécologie a acquis diverses compétences au cours de ses expériences terrain. Elle a travaillé notamment sur l'aménagement de cours d'eau, la plantation de bandes riveraines et les espèces exotiques envahissantes. Elle a sensibilisé les gens avec diverses activités d'animation sur l'importance de la biodiversité.

MRC attitrées: Drummond et Nicolet-Yamaska
819 519-5838, poste 163 | cmathieu@centre-du-quebec.upa.qc.ca

Lucie Legoubey est biologiste et passionnée d’agriculture. Elle cumule 10 ans d’expérience, au Québec et en France, en biologie, en écologie et dans le domaine agricole à titre de chargée de projet des mesures européennes agroenvironnementales et climatiques, inspectrice et conseillère agricole. La caractérisation biologique des milieux terrestres et hydriques, les pratiques agroenvironnementales et climatiques et la réglementation relative à l’environnement font partie de ses champs d’expertise.

MRC attitrées: Bécancour et L'Érable
819 519-5838, poste 164 | llegoubey@centre-du-quebec.upa.qc.ca

Cédric Bouffard est agronome et a travaillé quelques années en recherche sur les sols et sur la fertilisation avant de devenir conseiller en géomatique agricole au sein d’un club-conseil, poste qu’il a occupé au cours des six dernières années. Il a développé une expertise en nivellement des terres agricoles ainsi que sur tout ce qui touche à l’agriculture de précision. Il complète actuellement une maîtrise sur la fertilisation azotée du maïs.

MRC attitrées: Drummond et Arthabaska
819 519-5838, poste 154 | cbouffard@centre-du-quebec.upa.qc.ca

NOUVELLES DES PRODUCTEURS DE LAIT
DU CENTRE-DU-QUÉBEC


Après plusieurs tentatives de formules, l’assemblée de réflexion des délégués du mois de novembre aura finalement lieu en mode virtuel.

Les 18 et 19 novembre prochain, producteurs et délégués seront interpelés notamment pour faire le bilan de l’année laitière, échanger sur les enjeux de la mise en marché, dresser un bilan et identifier les opportunités pour maintenir la place des produits laitiers dans le panier d’épicerie. Le conseil régional des producteurs de lait du Centre-du-Québec a maintenu une cadence de réunions en utilisant les moyens technologiques respectant les consignes gouvernementales.

Les administrateurs sont tenus informés de l’avancement des dossiers et de l’état des marchés. N’hésitez pas à communiquer avec eux.

BONNE RETRAITE MARYSE


Après plus de trois décennies à travailler avec nous, Maryse D’Amours quittera sous peu son poste d’adjointe à la mise en marché du lait pour un départ à la retraite.

Maryse est entrée en fonction à la Fédération en 1987. Peu de temps après, elle se joignait au Syndicat des producteurs laitiers, devenu aujourd’hui le Conseil régional des producteurs de lait. Un nombre impressionnant de producteurs connaissent Maryse, pour l’avoir rencontrée au bureau ou pour lui avoir parlé au téléphone à de nombreuses reprises.

Nous te remercions chaleureusement Maryse pour toutes ces années d’engagement, ton professionnalisme et ton souci constant du service à la clientèle. Nous te souhaitons beaucoup de bonheur dans ce nouveau chapitre de ta vie.

MISE EN MARCHÉ DE L’AGNEAU LOURD : UNE AGENCE DE VENTE QUI CONNAÎT UNE BELLE PROGRESSION


Sa mise en place a été chaotique et a nécessité plusieurs ajustements, mais aujourd’hui nous pouvons dire que cette agence de vente a su faire sa place et se développe avec maturité.

D’ailleurs, à l’assemblée annuelle des producteurs d’agneaux et moutons du Centre-du-Québec et de la Mauricie tenue le 15 octobre, le bilan de la dernière année a démontré que la commercialisation de l’agneau lourd a su tirer son épingle du jeu, et ce, malgré la COVID-19. Des propositions d’ajustements dans le fonctionnement ont été présentées. Les changements suggérés ont pour objectif de renforcer les contrats et ainsi apporter plus de stabilité et un approvisionnement plus sécuritaire pour les acheteurs. Les producteurs pourront ainsi obtenir une meilleure prévisibilité des prix et des perspectives de croissance.

NOTRE CENTRE-DU-QUÉBEC GOUTEZ-Y!


Les agents de développement des MRC, en collaboration avec la Fédération de l’UPA Centre-du-Québec et le MAPAQ, relancent en épicerie la campagne Notre Centre-du-Québec, goûtez-y! pour faire la promotion des produits bioalimentaires de la région.

Plus d’une dizaine d’épiceries (IGA, Métro, Provigo) ainsi qu’une trentaine de producteurs transformateurs participent au projet. Assurez-vous d’aimer la page Facebook Notre Centre-du-Québec, goûtez-y! Vous pourrez ainsi découvrir une variété de produits locaux de tous genres et connaître tous les événements gourmands du territoire. Les gens sont également invités à participer au mouvement en partageant leurs plus belles découvertes gourmandes centricoises sous le mot-clic #goutezy!

Pour en connaître davantage sur le projet, communiquez avec Mme Marie Picotin au mpicotin@icionfaitbougerleschoses.com ou au 819 469-0484.

NOUVELLES DES SYNDICATS LOCAUX


Pour la première fois depuis le mois de mars dernier, les administrateurs du Syndicat de Bécancour se sont réunis en personne pour une séance de travail, évidemment avec toutes les mesures de distanciation requises. Le point a été fait sur les milieux humides et hydriques (MMH) et on a convenu d’une démarche nécessaire auprès des élus municipaux afin que tous saisissent bien les enjeux. Un règlement de déboisement géré par la MRC a aussi fait l’objet de discussions. Ce dernier est plus contraignant que le REA et mérite qu’une démarche soit faite pour pallier aux contraintes imposées aux producteurs agricoles. L’opération d’accueil des nouveaux producteurs est aussi réactivée pour permettre leur adhésion et les intégrer rapidement dans leur Union en répondant à leurs préoccupations. La prochaine rencontre se tiendra par visioconférence et permettra aux administrateurs de prendre connaissance du Plan de développement de l’Union.

Le 1er octobre dernier, les administrateurs ont pris part à une rencontre à Baie-du-Febvre pour faire le point sur divers dossiers, notamment les enjeux liés aux milieux humides et hydriques (MHH) et la gestion de la zone inondable du lac Saint-Pierre. Des échanges s’imposent avec les élus municipaux afin que tous saisissent bien les impacts de la gestion des MHH qui pourrait être intégrée au Plan de gestion des milieux humides et hydriques exigé par le gouvernement. Quant à la gestion de la zone inondable du littoral du lac Saint-Pierre, des démarches légales sont en cours afin de permettre le maintien d’activités agricoles.

Réunies en conseil d’administration virtuel, les administratrices ont écouté la présentation faite par le vice-président de la Fédération, M. Alain Désilets, sur le plan de développement de l’Union 2020-2024. Dans l’ensemble, le plan a été bien accueilli, mais certains points ont fait sourciller les membres du conseil. En tout premier lieu, la vision : « L’Union contribue au maintien, au développement et au rayonnement d’une agriculture prospère, diversifiée et durable, portée par des entreprises familiales réparties sur tout le territoire ». Les mots « entreprises familiales » ont suscité de nombreux commentaires et réactions. Quelle est la définition d’une « entreprise familiale »? Se poser la question c’est déjà reconnaître l’ambiguïté à l’égard de ces mots et l’absence d’une définition qui fait écho auprès de l’ensemble des affiliés. Un autre point concerne la protection et le développement des activités et l’occupation dynamique du territoire agricole. Si une cohérence provinciale dans les politiques d’aménagement des fédérations régionales est souhaitable, elle devra tenir compte des particularités de chacune des régions. Le projet Ferme 59 est un bel exemple de la souplesse souhaitée. Un élément qui se doit d’être ajouté à ce plan de développement concerne le plan de financement. Au dernier congrès, il a été adopté par voie de résolution de mettre en place d’ici 2024 une méthode de financement équitable par et pour tous les producteurs agricoles. Il faut s’assurer de respecter cet engagement. Finalement, en plus de présenter chaque année les actions et les gains de l’Union, un bilan du plan de développement est à ajouter au rapport annuel.

SAVIEZ-VOUS QUE?


👉Le programme de récupération en supermarché (PRS) que nous avons ici au Québec est le premier du genre au Canada. Ce programme propose une solution aux problèmes de gaspillage et de précarité alimentaires avec la collaboration des détaillants en alimentation. Le PRS bénéficie à 500 000 personnes, dont 150 000 enfants qui chaque mois n’ont d’autres choix que de s’adresser aux organismes d’aide alimentaire. Le réseau des Banques alimentaires (BAC) coordonne actuellement le déploiement du PRS à travers le Québec via les organismes Moisson.

👉La commercialisation des produits alimentaires au Québec se décline de la façon suivante :

  • 60 % dans la grande distribution (épicerie petite, moyenne et grande surface);
  • Moins de 10 % dans les marchés de proximité (marché public, boucherie, boutique spécialisée, etc.);
  • 30 % dans les HRI (hôtel, restaurant et institution).

👉Avec la fermeture des HRI dans la première vague et maintenant de façon partielle dans la deuxième vague, on comprend mieux pourquoi tous les secteurs de production ont été touchés et plus particulièrement le veau de lait où 100 % des ventes se font dans les restaurants et dans les bateaux de croisière. C’est 50 % en ce qui concerne le veau de grain.

👉Au cours des 9 premiers mois de 2020, les ventes mensuelles de produits Bœuf Québec ont augmenté de 350 % dans les épiceries des grandes bannières du Québec. Cette croissance confirme que les Québécois tombent en amour avec le bœuf du Québec et que les producteurs réussissent à répondre à la demande des grandes bannières. On peut entrevoir une place plus importante du bœuf du Québec dans le panier d’épicerie. On assiste à une augmentation de la disponibilité des produits Bœuf Québec, qui sont maintenant accessibles dans 3 grandes bannières, soit IGA, Maxi et Provigo.

LA FORMATION, UNE SAISON QUI S’ÉTIRE 


La saison de formation, qui débutait en janvier, commence maintenant dès novembre.

Il y aura des cours d’espagnol en agriculture à Drummondville, Nicolet, Plessisville et Victoriaville. Cinq formations en acériculture sont proposées pendant ce mois : Friandises et dérivés à l’érable, Installation de tubulures, La production de sirop d’érable biologique, L'univers des défauts de saveur des sirops d'érable en grands contenants, Optimiser la croissance de son érablière : une approche payante.

Pour plus d’information, consultez www.uplus.upa.qc.ca
ou communiquez avec Guylaine Martin, répondante en formation agricole:

Tél. : 819-758-6401, poste 2702 | gmartin@formationagricole.com

FORMATION EN LIGNE SUR LES RÔLES ET RESPONSABILITÉS