Saint Etienne-Théodore Cuenot : Originaire du Doubs, ce prêtre des Missions Etrangères de Paris, devenu évêque, évangélisa sans relâche la Cochinchine (au sud de l'actuel Vietnam), avant de mourir martyr lors d'une persécution antichrétienne. Canonisé en 1988.
Bienheureuse Hélène de Chappotin : « Nous sommes desséchés par le manque de vérité. Nous sommes blessés par le manque de charité » déplorait cette Nantaise, fondatrice en 1877 de l'institut des Franciscaines Missionnaires de Marie. Béatifiée il y a vingt ans, en 2002.
Sainte Marguerite d'Ecosse : Ayant épousé le brutal roi d'Écosse Malcom III, elle exerça sur lui une influence bénéfique. Elle veilla sur leurs huit enfants, contribua réformer l'Église dans son pays et vint en aide aux plus démunis.
Sainte Élisabeth de Hongrie : Après le décès précoce de son mari, le duc Louis IV de Thuringe, cette jeune femme pieuse fut chassée de chez elle. Devenue tertiaire franciscaine, elle se voua au soin des malades et à la prière, Canonisée dès 1235.
Saint Odon de Cluny : Élevé à Tours, ce brillant lettré fut le deuxième abbé de Cluny (Saôneet-Loire, France). Il joua un rôle déterminant dans l'expansion de cet ordre bénédictin.
Saint Raphaël Kalinowski : « Le monde peut me priver de tout, mais il me restera toujours un lieu caché qui lui est inaccessible : la prière! », affirmait celui qui favorisa la restauration du Carmel en Pologne. Canonisé en 1991.
Bienheureuse Maria-Fortunata Viti : Il y a un siècle, cette sœur converse bénédictine du monastère de Veroli (au sud-est de Rome) rendait son âme à Dieu. Elle avait édifié les autres religieuses pendant soixante-dix ans par son humilité et sa simplicité. Béatifiée par saint Paul VI en 1967.