Un ancien de l’ITA qui continue de s’illustrer Famille de Gerry Van Winden: sa fille Julie, son fils François, sa soeur Pauline, Gerry, son épouse Claudine et sa mère Yolande Le Conseil de la transformation alimentaire du Québec (CTAQ) a décerné, lors de son récent congrès annuel, son prestigieux prix de la Personnalité du monde alimentaire 2019 à monsieur Gerry Van Winden, président-directeur général de VegPro International inc.. L’aventure de M. Van Winden dans la salade a débuté dès son enfance, alors qu’il travaillait dans l’entreprise familiale avec ses frères et nombreux cousins. Par la suite, il s’inscrit à l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA), campus Saint-Hyacinthe et obtient son diplôme en 1977 (Horticulture légumière et fruitière). Il avait même été élu président de l’association étudiante. Au sortir de l’ITA, c’est le début d’une grande aventure. Dès le début des années ’80, Gerry Van Winden et ses cousins décident de se spécialiser dans la culture de la laitue. Il a été un des premiers à exporter de façon significative les légumes québécois vers le marché des États-Unis. En 1998, Gerry Van Winden devient co-fondateur de Veg Pro International qui est devenue depuis, le plus important producteur de légumes frais au Canada. En plus de ses immenses installations à Sherrington sur la Rive-Sud de Montréal, Vegpro est aussi présente en Colombie-Britannique et en Floride. Sous sa gouverne, Veg Pro International s’est vu décerner de nombreux prix dont en 2010, le prix d’Entreprise exportatrice canadienne. En 2014, Grand Lauréat du Prix Innovation en Alimentation. La même année, l’Association des technologues en agroalimentaire (ATA) lui remettait son Mérite technologique agroalimentaire pour avoir incarné tout au long de sa carrière le savoir-faire des technologues en agroalimentaire et être devenu ainsi un exemple pour les générations de technologues présentes et futures. Innover, être à l’écoute, remettre en question les normes et façons de faire sont les lignes directrices qui ont guidé les actions de Gerry Van Winden tout au long de sa carrière. Et une bonne formation à l’ITA ! | Étudier à l’ITA à l’automne 2019 La période d’admission pour étudier à l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) à l’automne prochain se poursuit encore pour quelques semaines. Ainsi, les personnes qui désirent étudier à l’Institut peuvent acheminer leur candidature d’ici le 24 avril au sram.qc.ca pour ceux du campus de Saint-Hyacinthe et d’ici le 1er mai au sracq.qc.ca pour les programmes du campus de La Pocatière. Au total, six programmes techniques spécialisés sont encore accessibles au deuxième tour d’admission dans les campus de l’établissement : - Gestion et technologies d’entreprise agricole;
- Technologie des productions animales;
- Technologie du génie agromécanique;
- Technologie de la production horticole et de l’environnement;
- Paysage et commercialisation en horticulture ornementale;
- Technologie des procédés et de la qualité des aliments.
L’ITA : le choix de l’excellence! Les étudiants admis pourront recevoir une formation de pointe, dynamique et en adéquation avec les besoins de l’industrie, profiter des plus imposantes installations pédagogiques existant en milieu scolaire au Québec et s’assurer d’un emploi stimulant à la fin de leurs études en raison d’un taux de placement exceptionnel. De plus, des programmes DEC-BAC et des passerelles avec le secteur universitaire permettent aux diplômés de l’ITA de poursuivre leurs études à l’université dans de nombreux programmes, tout en se voyant reconnaître des unités universitaires pouvant représenter jusqu’à une année d’études de premier cycle. Depuis sa création en 1962, l’Institut a déjà formé plus de 12 000 technologues dans les domaines animal, horticole, alimentaire, agricole, agroenvironnemental et équin. Pour plus de détails sur les programmes d’études, les métiers accessibles et les taux de placement, ainsi que de l’information sur la procédure d’admission et les critères d’admissibilité, consultez le site Internet www.ita.qc.ca/admission. | Nouvelles formations en agriculture urbaine L’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) propose deux nouvelles formations touchant l’agriculture urbaine, une pratique de plus en plus populaire. Ces activités de courte durée auront lieu ce printemps au campus de La Pocatière. 16 avril : Intégrer des plantes comestibles aux aménagements paysager Toute personne qui veut se familiariser avec l’agriculture urbaine peut s’inscrire à cette formation d’une durée de six heures. L’objectif poursuivi est de faire connaître les plantes comestibles, de mettre en lumière leurs avantages en matière d’aménagement paysager et de caractériser les plantes comestibles les plus appropriées pour des projets d'aménagement sains et productifs. 15 mai : Gestion écologique de l’eau au jardin D’une durée de trois heures, cette activité s’adresse aux personnes que le jardinage et la gestion écologique de l’eau intéressent. Des thèmes variés seront explorés : l’utilisation de plantes dans la gestion de l’eau au jardin, la récupération de l’eau de pluie, les méthodes d’arrosage adéquates, les bonnes pratiques de préservation de l’eau, etc. Pour s’inscrire ou trouver plus d’information sur ces activités, consultez le site Web du service de la formation continue de l’ITA, au ita.qc.ca/formationcontinue, en utilisant le chemin d’accès suivant : « Nos formations > Horticoles > Aménagement ». | Assemblée générale annuelle de votre association le mercredi 24 avril 2019 C’est le 24 avril prochain à 16h00 qu’aura lieu la prochaine assemblée générale annuelle de l’Association des anciennes et anciens de l’ITA – campus St-Hyacinthe. Tous les diplômé(e)s et membres retraités du personnel de l’ITA sont les bienvenus à cette assemblée qui aura lieu au local D-204 de l’ITA. Ordre du jour - Ouverture de l'Assemblée
- Lecture et adoption de l'ordre du jour
- Lecture et adoption du procès-verbal de l’assemblée générale du 26 avril 2018
- Rapport annuel du conseil d’administration
- Présentation du bilan financier
- Nomination de l’expert-comptable
- Élection des membres du Conseil d'administration
- Période de questions
- Affaires nouvelles
Il y aura élection d’administrateurs: pour poser votre candidature, vous devez communiquer avec la permanence de l’association au 450-778-6504poste 6298. L'assemblée générale sera suivie d’un goûter. SVP confirmer votre présence avant le mardi 16 avril - par téléphone au 450-778-6504poste 6298 ou
- par courriel à: associationanciens.ita@gmail.com
Au plaisir de vous compter parmi nous. Sylvain Biron Président | Enfin le printemps et un vrai Les derniers relents d’un hiver qui tardent à relâcher son étreinte. Oufff ! On ne l’a pas eu facile cet hiver. Neige et glace en alternance et en quantité. Heureusement, tous les patrons météo, canadiens et américains, s’entendent pour nous prévoir un mois d’avril, plus chaud et plus agréable que l’an dernier où les températures avaient été de 3 à 5 °C sous les normales de saison. Quelques exceptions dont le Saguenay, l’Est et le Nord de la province devraient connaître un mois d’avril assez frais. Dans certaines régions comme le sud du Québec, les clients de cabane à sucre croisent déjà ceux des quelques rares terrains de golf déjà ouverts. Cependant, il faudra aussi s’attendre à un mois d’avril en montagnes russes d’une journée à l’autre. En attendant, attention : ils sont de retour et ils sont nombreux! | Les Canadiens un petit peu moins heureux Le Canada deviendrait-il un pays moins heureux? Le World Happiness Report 2019, produit par l'ONU, indique que le pays est passé de la septième à la neuvième place dans son classement des pays où les gens sont le plus heureux. La Finlande occupe le premier rang pour une deuxième année consécutive. Le rapport classe 156 pays selon le niveau de bonheur perçu par leurs citoyens. Il s'appuie sur des facteurs incluant l'économie, l'espérance de vie, le filet social et la liberté de faire ses propres choix. L'indice révèle que les pays nordiques ont un taux de bonheur particulièrement élevé, puisque le Danemark, la Norvège et l'Islande occupent respectivement les deuxième, troisième et quatrième rangs. Les États-Unis sont, quant à eux, passés de la 18e à la 19e place. Au cours des 10 dernières années, c'est au Venezuela — actuellement en 108e place — que le niveau de bonheur a le plus baissé. Les 10 pays les plus heureux - Finlande
- Danemark
- Norvège
- Islande
- Pays-Bas
- Suisse
- Suède
- Nouvelle-Zélande
- Canada
- Autriche
| | Pas de chicane dans ma cabane Après un hiver long et rude, voici enfin poindre le printemps et la saison des sucres. Ce sont généralement les variations de température entre le jour et la nuit qui influencent le plus les coulées de l’eau d’érable, gel durant la nuit et dégel durant le jour. Cependant un rapport soumis au consortium Ouranos, intitulé Production de sirop d'érable face aux changements climatiquesen vient à la conclusion que les changements climatiques affecteront à la baisse la production de sirop d’érable au cours des prochaines années, à moins que des alternatives de production soient trouvées. Comme la tendance globale est au réchauffement, il faut s’attendre à ce que les écarts entre les températures froides de l’hiver et la chaleur de l’été soient moins marqués dans les années à venir. Des températures estivales élevées stimulent la croissance des érables et favorisent la production de sève au printemps suivant, tandis que des températures hivernales froides stimulent la production de sucres et en augmentent la concentration dans la sève. L’acériculture pourrait donc en subir les contrecoups au cours des prochaines années. Heureusement, certaines pistes de solution pointent à l’horizon comme, par exemple, l’érable rouge. Il semblerait que cette variété d’érables à sucre tolèrerait mieux les variations climatiques à venir. En attendant, le Centre de recherche et de développement sur les aliments de Saint- Hyacinthe a établi que le sirop d’érable peut avoir 85 goûts différents : fleurs, pommes cuites ou même vadrouille souillée ! Le goût dépend de l’arbre, de l’ensoleillement, du type de sol, etc. Cette année, est-ce qu’il goûtera la glace et le verglas ? | Les Exceptionnelles 2019 Après un hiver aussi rude et difficile, quoi de mieux qu’un peu de couleur pour nous permettre d’anticiper le prochain été et les paysages colorés. Comme à chaque année, le programme « Les Exceptionnelles » parrainé notamment par le Jardin Daniel A. Séguin de l’ITA, campus Saint-Hyacinthe, publie son programme de sélection des meilleures nouvelles fleurs annuelles et des meilleures plantes potagères. | Begonia 'Canary Wings' | Begonia Valentino Pink | Salvia Rockin® Fuchsia | | Parmi les gagnantes de 2019, on retrouve la Begonia 'Canary Wings' avec ses fleurs d’un rouge vibrant qui en font la reine incontestée dans zones ombragées, la Begonia Valentino Pink, une vedette des plates-bandes, ainsi que la Salvia Rockin® Fuchsia qui peut aisément servir comme toile de fond dans une plate-bande Rappelons que c’est le vote du public et des experts qui mène à la sélection des meilleures annuelles et que depuis 2010, deux autres grands jardins du Québec se sont associés au projet soit le Jardin botanique de Montréal ainsi que le Jardin Roger Van den Hende de l’Université Laval, situé à Québec. Seules les plantes naturellement performantes passent l’épreuve de sélection. On peut se les procurer dans un très grand nombre de jardineries au Québec.Une des particularités du programme Les Exceptionnelles® est de reproduire le plus fidèlement possible les conditions de vie des plantes chez le consommateur d’aujourd’hui qui a peu de temps à consacrer à l’entretien des végétaux. Pour en savoir plus sur les Exceptionnelles 2019, consulter le site http://www.lesexceptionnelles.ca/. | Une image vaut mille maux ! Pas de doute : les cyclistes ont vraiment la priorité. | Fallait y penser - La vie est un bon professeur. Si t’apprends pas la leçon, elle te la répète.
- Quand le camembert est « passé date » sent-il bon ?
- Lorsque souffle le vent du changement, certains construisent des murs, d’autres construisent des moulins.
| Saviez-vous que Il existe une scie qui détecte la chair humaine pour ne pas la couper ! Chaque année des milliers de cas d’amputations sont causés par les scies. Mais un inventeur américain a eu l’idée ingénieuse de créer une scie circulaire capable de faire la différence entre un morceau de bois et la chair humaine. L’inventeur a utilisé le principe de la conductivité électrique. En effet, le morceau de bois n’est par un conducteur électrique tandis qu’un doigt est conducteur de l’électricité. Les bancs de scie sont donc équipés d’un mécanisme de sécurité permettant de faire arrêter la lame en 5 millièmes de seconde seulement après avoir détecté la peau. Jusqu’à présent cette scie, la Stop Saw fonctionne à merveille et permet ainsi d’éviter de nombreuses blessures et mutilations. | Le truc du mois Étirer votre ruban à mesurer Avec l’arrivée du printemps, on en profite pour faire différents travaux. À ce sujet, tous les bricoleurs ont déjà probablement remarqué qu’il y a un petit « lousse » à l’extrémité du ruban à mesurer et qu’ils n’ont pas l'unité de mesure de 1 pouce complète au début du ruban. En fait, il manque 1/16 de pouce. Sachez que ce n’est pas une erreur de fabrication : c’est voulu. Donc lorsque vous prenez une mesure et que vous étirez le ruban, la languette de métal prend sa position la plus étendue et vous donne la différence qu’il vous manque, soit 1/16 de pouce. Cette marge de manoeuvre correspond exactement à la largeur du crochet. Mais si vous prenez la mesure à partir d’un coin, assurez-vous d’étirer votre ruban et non de le compresser, sinon il vous manquera 1/16 de pouce. Pourquoi un petit trou au bout ? Et vous êtes-vous déjà demandé, pourquoi il y a un petit trou au bout ? Ce trou, que l’on appelle aussi l’oeil, vous permet de réaliser des mesures à partir d’une vis ou d’un clou. Il vous suffit simplement de placer la tête du clou ou de la vis dans l’oeil, puis de mesurer dans n’importe quelle direction. | Peut-être l’avez-vous connu … Cette chronique « Peut-être l’avez-vous connu … » vise à souligner le décès d’un(e) ancien(ne) de l’ITA ou quelqu’un de proche de l’Institut. Si vous connaissez quelqu’un qui a fréquenté l’ITA ou qui a un lien avec notre Institut et qui est décédé, vous pouvez nous faire parvenir de l’information (vérifiable) au sujet de cet événement via notre courriel : associationanciens.ita@gmail.com. Monsieur Denis Gélinas – Nous avons appris récemment le décès de M. Denis Gélinas survenu le 20 février dernier à l’âge de 67 ans à Sainte-Flore en Mauricie. Monsieur Gélinas était un diplômé de l’ITA, campus La Pocatière en Bio-conservation du milieu rural (1973). Il laisse dans le deuil sa conjointe des 25 dernières années, Claudette Gélinas et ses deux fils Guillaume Frigon-Gélinas (Chantal Boucher) et Julien Frigon-Gélinas (Jessika Branconnier-Mercier). Une pensée ! | Nos offres d’emploi ce mois-ci Vous avez une offre d’emploi ou vous connaissez quelqu’un qui recherche du personnel qualifié? L’Association des anciennes et anciens de l’ITA qui regroupe tous les diplômé(e)s des campus St-Hyacinthe et La Pocatière, peut vous aider via son service d’offres d’emploi. Visitez nos deux sites internet aux adresses suivantes : http://www.anciensita.ca/saint-hyacinthe ou http://www.aaaita.ca/ ou communiquez directement avec l’une des deux associations au : (450) 778-6504 poste 6298 ou (418) 856-1110 poste 1378. Il nous fera plaisir de vous aider. Nos offres d’emploi sont maintenant aussi diffusées sur Facebook. Offres d’emploi disponibles actuellement: | | | | |