Cela fait maintenant une semaine et demie que vous travaillez de chez vous, et vous commencez à ressentir une curieuse fatigue. Oui, une fatigue que vous ne connaissiez pas vraiment auparavant. Une fatigue que vous vous expliquez mal.
De quoi s’agit-il, au juste? De vos proches qui commencent à vous taper sur les nerfs (ex.: les enfants qui font les fous toute la journée; le repas à préparer le midi; etc.)? De l’absence de lien social véritable (ex.: les collègues avec qui vous aimiez jaser de manière inopinée, etc.)? De vos horaires de travail explosés (fini, le bon vieux 9@5: comme vous réalisez que vous êtes un peu moins efficace que d’habitude, vous vous y remettez le soir, après 20h, quand les enfants sont couchés)?
Sûrement un peu de tout ça, c’est vrai. Mais aussi, fort probablement, d’un détail auquel vous n’avez même pas songé une seconde : depuis que vous travaillez à la maison, vous ne prenez plus de pauses comme vous le faisiez au bureau! Non, vous n’allez plus jaser dix minutes à la distributrice de café, vous n’allez plus voir vos collègues préférés à leur bureau, vous ne prenez même plus le temps de respirer un peu (dès que vous avez un peu de temps à vous, vous réalisez qu’il y a le lavage à faire, une ampoule à changer, ou encore les courses à faire, pas vrai?)
D’où l’importance - vitale - de réapprendre à souffler un peu… (Source : Les Affaires)
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