Marcus Wilcour offre l'extrait «L'interrupteur»

Crédit photo: La Ptite Photographe

Communiqué pour diffusion immédiate

Montréal, le 31 janvier 2020 | Révélé l'été dernier avec son premier extrait «Trouver mon train», Marcus Wilcour poursuit son chemin avec une toute nouvelle chanson, «L'interrupteur».

Toujours bien ancré dans la douce chanson-folk, Marcus Wilcour mise cette fois sur la richesses des harmonies vocales pour venir appuyer ses lignes de guitatre.

«L'interrupteur», c'est une chanson qui évoque la relation entre une personne et son corps, quand la dépression frappe et que le corps devient un peu une prison invisible, qui dresse des murs et voile la réalité de ses filtres distordus.

Artiste vagabond exilé du Québec au profit d’aventures à travers l’Europe, Marcus Wilcour (alias Marc-André Rouillard) gravite dans le monde du folk acoustique tout en se laissant librement inspirer par le jazz, le soul et la pop. L'auteur-compositeur-interprète offre une musique où harmonies et mélodies se collent naturellement à des textes humains et authentiques, plus souvent qu'autrement puisés dans son vécu personnel.

À l'instar du EP à venir, l'extrait a été enregistré en quelques jours à Montpellier en France, en compagnie du réalisateur Borza Ghomeshi de Mayk Music (Éclos Bis, Funk Lion, Safia Nolin, Jason Bajada, Rufus Wainwright, Martha Wainwright, Jorane, Richard Desjardins, The McGarrigle Sisters, Emmylou Harris, Laurin Hill). Ghomeshi a pour l'occasion transporté sur l'autre continent son studio mobile.

À propos de Marcus Wilcour

Dans les rues de Montréal, Paris, Berlin, Dublin ou Londres comme sur des scènes telles que celles de La Voix (2013), Ma première Place des Arts (2014) et Nouvelle Star (2017), Marcus Wilcour fait de chaque instant musical un moment de connexion et de partage où le temps s'arrête. Sa guitare à la main ou un piano sous les doigts, l'auteur-compositeur conjugue ses mélodies vocales à des textes humains et authentiques, plus souvent qu'autrement puisés dans son vécu personnel.

Depuis fin 2018 et pour toute l’année 2019, Marcus a visité plus d’une quinzaine de pays à travers sa musique; avec un EP à venir  enregistré en France avec le réalisateur québécois Borza Ghomeshi, la sortie de son tout premier single (Trouver mon train) et son vidéoclip tourné en Irlande (en plus de plusieurs concerts à travers le pays), des spectacles en Angleterre, France, Espagne, Albanie, Bulgarie, Croatie, des activités humanitaires auprès des réfugiés en Grèce, et des performances de rue à chaque destination, la musique est un fil conducteur omniprésent dans ses aventures.

Plus nomade que jamais, et en tandem avec sa compagne Laurence Brouillette dans l'art comme le voyage, Marcus se lance cette année vers l'Océanie et l'Asie, tout en continuant de raconter ses histoires à travers ses textes et compositions.

Marcus Wilcour

«L'interrupteur»

 

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