VOTRE BULLETIN - NOVEMBRE 2017

Belle cohorte de nouveaux diplômés à l’ITA

L’Institut de technologie agroalimentaire (ITA), campus Saint-Hyacinthe a tenu sa 53e cérémonie de remise des diplômes le 14 octobre dernier. Plusieurs centaines de parents, d’amis et d’invités ont participé à cette cérémonie qui soulignait la réussite de 149 nouveaux diplômés.

Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) a décerné des médailles et des bourses aux six diplômé(e)s qui ont obtenu les meilleurs résultats scolaires, soit un diplômé dans chacun des six programmes d’études collégiales offerts à St-Hyacinthe.

Les récipiendaires des médailles du MAPAQ sont :

  • Didier Ruel (Gestion et technologies d'entreprise agricole)
  • Anne Schmidlin (Technologie des productions animales)
  • Jessy Lewis Tsihoarana (Technologie des procédés et de la qualité des aliments)
  • Gabriel Lapalme (Technologie de la production horticole et de l'environnement)
  • Judith Desrochers (Paysage et commercialisation en horticulture ornementale)
  • Martin Brazeau (Technologie du génie agromécanique)

C’est Gabriel Lapalme qui a reçu la médaille académique du Gouverneur général du Canada, pour les meilleurs résultats scolaires au terme de ses études à l'ITA, campus de Saint-Hyacinthe. De son côté, Alexandre Gamache a reçu le prix de l'Association des technologues en agroalimentaire, offert au diplômé qui a manifesté les meilleures aptitudes à se démarquer dans sa future carrière de technologue agroalimentaire. Finalement, Didier Ruel s’est vu remettre le prix de La Financière agricole du Québec, offert au finissant qui s'est distingué par ses qualités entrepreneuriales et pour l'excellence de son dossier scolaire.

La Pocatière

Deux semaines plus tôt, le campus de La Pocatière procédait à cette remise annuelle de diplômes en soulignant la réussite de 75 étudiants. Les récipiendaires des médailles de mérite du MAPAQ sont :

  • Émile Pouliot (Gestion et technologies d'entreprise agricole);
  • Catherine Laflamme (Technologie des productions animales);
  • Andrée Lelièvre (Technologie des procédés et de la qualité des aliments);
  • Émilie Rivest (Technologie de la production horticole et de
  • l'environnement)
  • Éva Cormier (Techniques équines).

Le récipiendaire de la médaille académique du Gouverneur général du Canada,

décernée au diplômé qui a obtenu les meilleurs résultats scolaires au terme de ses études, a été Catherine Laflamme. Pour ce qui est du prix de l'Association des technologues en agroalimentaire offert au diplômé qui a manifesté les meilleures aptitudes à se distinguer dans sa future carrière de technologue agroalimentaire, il a été attribué à Lou-Ann Boulet.

Chaque année, l'ITA forme près de 60 % des nouveaux diplômés disponibles pour l'industrie agroalimentaire. Le nombre de diplômés depuis la création de l'ITA en 1965 avoisine aujourd'hui les 12 000.


Record d’inscriptions à l’ITA

L’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) accueille cette année un nombre record d’étudiants. En effet, l’ITA accueille 1 000 étudiants cet automne soit 333 au campus de La Pocatière et 667 au campus de Saint-Hyacinthe. Pareille affluence pour la nouvelle année scolaire ne s’était pas vue depuis plus de 10 ans.

En cinq ans seulement, le campus de Saint-Hyacinthe a augmenté de 118 le nombre de personnes inscrites à ses programmes. Cette hausse constante est une bonne nouvelle pour le secteur puisqu’il y a en ce moment, 10 offres d’emplois pour chaque diplômé qui sort de l’école.

Fait à noter, la clientèle est de plus en plus mixte et même majoritairement féminine pour l’ensemble des deux campus avec une forte augmentation de la présence des filles à St-Hyacinthe. En production animale, le ratio est de trois filles pour un garçon tandis que le programme de gestion d’entreprise agricole est plus fréquenté par les garçons tout comme technique en agro-mécanique. Le programme technique équine continue d’être l’apanage des filles.

 


Les deux nouveaux directeurs de l’ITA

Les deux campus de l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) ont maintenant deux nouveaux directeurs. En effet, monsieur Sylvain Gingras vient d’être nommé directeur du campus de La Pocatière tandis que monsieur Michel Ste-Marie devient directeur du campus de Saint-Hyacinthe.

Sylvain Gingras est entré à l’ITA en 1998, d’abord comme professeur, puis il a rempli les charges de directeur de l’enseignement, de directeur des études et de directeur des affaires étudiantes. Depuis août dernier, il était directeur par intérim du campus de La Pocatière. Il est titulaire d’un baccalauréat en sciences appliquées en agronomie.

De son côté, Michel Ste-Marie est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires. Il a travaillé notamment au sein du ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale, du Protecteur du citoyen, du ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles et de la Régie des rentes du Québec, avant d’entrer à l’ITA en 2016 à titre de directeur des études de l’ITA. Depuis quelques mois, il agissait également comme directeur par intérim du campus de Saint-Hyacinthe en remplacement de Alain Couture.


En Vrac

Automne anormalement chaud : records par-dessus records

Records battus en septembre, records battus en octobre, la chaleur a définitivement été la vedette cet automne au Québec. En septembre, plusieurs régions de la province ont enregistré au moins 20 jours au cours desquelles le mercure a dépassé les 20 °C. À Québec, ce nombre de jours est deux fois plus qu’un mois de septembre normal.

Octobre : d’autres records

Nous venons de connaître le mois d’octobre le plus chaud jamais enregistré depuis que les statistiques de météo sont compilées. Nous avons battu un record datant de 1948 et ce record a été éclipsé de façon éclatante avec des températures de 4,8 degrés plus chaudes que la moyenne. Plusieurs villes à travers le Québec ont brisé ce record dont notamment Montréal, Rimouski, Sherbrooke et Roberval.

Le 23 octobre, Sherbrooke, Québec et Montréal ont aussi battu un record de chaleur vieux de plus de cinquante ans. Du même coup, il y a eu aussi plus de pluie qu’à l’habitude mais ces précipitations ont été concentrées dans quelques journées. C’est la ville de Québec qui a reçu le plus de pluie au Québec en octobre, avec un total de 203 mm, soit deux fois plus que la moyenne mensuelle.

Mais maintenant, la récréation est terminée à partir de cette semaine !

Une citrouille d’un poids record

M. Daniel Tessier de Notre-Dame-du-Mont-Carmel en Mauricie a établi un nouveau record de poids pour une citrouille en faisant osciller la balance à 1689 livres. Ce nouveau record a été enregistré lors de la pesée des citrouilles géantes dans le cadre du 27e Potirothon qui s’est tenu à Gentilly, il y a quelques semaines.

C’est la seconde année consécutive que l’une des citrouilles de M. Tessier remporte le concours. L’événement est inscrit au Great Pumpkin Commonwealth, une organisation internationale qui fixe les règles et standards pour ce type de concours.


Une enquête sur la fraude dans l’industrie agroalimentaire

Le CIRANO (Centre Interuniversitaire de recherche en analyse des organisations, basé à Montréal), en collaboration avec le CRIBIQ (Consortium de recherche et d'innovation en bioprocédés industriels) et l’INAF de l’Université Laval, mène actuellement une enquête pancanadienne sur les perceptions et les préoccupations de l’industrie agroalimentaire face à la fraude alimentaire. Cette recherche est dirigée par Nathalie de Marcellis-Warin, présidente directrice générale du CIRANO et professeure titulaire à Polytechnique Montréal.

Cette recherche vise à recueillir des données nouvelles et récentes qui fourniront une information précieuse sur l’industrie alimentaire canadienne. Les résultats de cette étude permettront aux entreprises de mieux se positionner dans leur secteur industriel relativement à la thématique de la fraude alimentaire.

Les responsables de la recherche assurent qu’aucune information permettant de vous identifier personnellement, ou d’identifier votre entreprise ne vous sera demandée. L’anonymat sera de plus renforcé dans les rapports et publications découlant du projet puisque seules les données agrégées seront présentées. Aucune donnée individuelle ne sera donc publiée. Cette étude a obtenu la certification du comité d’éthique de la recherche de l’École Polytechnique de Montréal (CER 1617-49).

L’enquête est accessible par le lien suivant : https://survey.cirano.qc.ca/index.php/435883?lang=fr


Nouvelle formation de l’ITA sur la fraude alimentaire destinée aux entreprises de fabrication

Un tout nouveau cours portant sur la lutte contre la fraude alimentaire vient bonifier l’offre de formation continue de l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA). La formation d’une durée de sept heures permettra aux participants de développer des stratégies et des outils pour contrer les possibles fraudes à leur égard.

La formatrice, Mme Christine Dupuis, spécialiste en audit et système qualité, amènera les directeurs d’entreprise ou de production ainsi que le personnel technique à prendre conscience des menaces qui pèsent sur leur entreprise et à cibler leurs vulnérabilités.

Concrètement, les participants en apprendront plus sur les exigences concernant les fraudes alimentaires comprises dans les principales normes reconnues GFSI, le programme d’évaluation et de qualification des fournisseurs de matières premières et l’analyse des vulnérabilités face à la fraude alimentaire.

Les entreprises pourront ainsi se doter de mécanismes de prévention des fraudes, qui peuvent survenir notamment au moment de leur approvisionnement d’ingrédients.

Les personnes et entreprises intéressées par cette formation auront le choix parmi trois séances présentées au campus de Saint-Hyacinthe : le 16 novembre 2017, le 2 février ou le 18 avril 2018. Information et inscription sur le site Web de la Formation continue de l’ITA au https://ita-formationcontinue.omnivox.ca, sous la section Formations alimentaires, Management de la sécurité.


Portes ouvertes à l’ITA

Vous avez fréquenté l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) et vous connaissez quelqu’un (enfants, parents, amis) qui est mordu d’agriculture, d’agroenvironnement, d’aménagement paysager, de chevaux, ou d’horticulture : c’est le moment de l’amener aux Portes ouvertes de l’ITA pour lui faire connaître l’environnement que vous avez vécu et éventuellement l’amener à s’inscrire en vue d’obtenir un DEC dans une discipline de son choix.

Cette année, les étudiants et le personnel de l’Institut vous accueilleront de 10 h à 14 h, le samedi 11 novembre au campus de La Pocatière et le samedi 18 novembre au campus de Saint-Hyacinthe. Comme toujours, les Portes ouvertes sont l’occasion d’en savoir plus sur un programme, de discuter avec des professeurs et des étudiants, de découvrir l’ensemble des services offerts aux étudiants et d’admirer les installations incomparables utilisées en formation.

L’ITA offre au total, sept programmes qui sont dispensés dans ses campus :

La Pocatière et Saint-Hyacinthe

  • Technologie des productions animales
  • Technologie des procédés et de la qualité des aliments
  • Technologie de la production horticole et de l’environnement
    Profil en agroenvironnement unique à La Pocatière
  • Gestion et technologies d’entreprise agricole
    Nouveaux profils en production biologique laitière, monogastrique ou polygastrique et cultures végétales associées uniques à La Pocatière

La Pocatière seulement

  • Techniques équines

Saint-Hyacinthe seulement

  • Technologie du génie
  • Paysage et commercialisation en horticulture ornementale

Rappelons que la prochaine période d'admission se déroulera à compter de la mi-janvier 2018 pour la session d'automne 2018.


Une image vaut mille maux !

 

 

Un escalier purement décoratif !


Les étudiants en horticulture de l’ITA mis à contribution

La façade de la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal se refait une beauté grâce à la collaboration de l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA), campus de Saint-Hyacinthe. La mise en œuvre de ce projet d’aménagement paysager constitue un exemple concret de collaboration au sein du Quartier des études supérieures de Saint-Hyacinthe.

En mai dernier, cinq étudiants de l’ITA du programme de paysage et commercialisation en horticulture ornementale (PCHO) ont présenté leur projet d'aménagement paysager pour la façade du pavillon principal de la Faculté. La conception de ces projets s’inscrivait dans le cours « Composer le paysage avec les végétaux », proposé aux étudiants de deuxième année. Le projet retenu est une création de Mme Caroll-Ann Hébert.

Les étudiants de l’ITA accompliront la première étape de l’aménagement choisi cet automne. Des étudiants de première année avaient déjà été mis à contribution récemment pour préparer le terrain. Au cours des prochaines semaines, leurs collègues de deuxième année entreprendront la planification des différents travaux du chantier, pour ensuite réaliser le projet d’implantation dans leur cours « Implanter et entretenir : arbustes, conifères et grimpants ». La seconde étape des travaux se déroulera à la session d'automne 2018.

Rappelons qu’une nouvelle passerelle DEC-BAC en architecture de paysage est offerte aux finissants de l’ITA en PCHO depuis cet automne. Lorsqu’ils auront été admis au programme de premier cycle en architecture de paysage de la Faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal, ils pourront se voir reconnaître jusqu’à neuf crédits de cours. Les étudiantes et les étudiants ayant obtenu leur diplôme à l’ITA depuis moins de dix ans pourront également se prévaloir de cette entente entre les deux établissements d’enseignement.


Saviez-vous que 
Les outardes peuvent être agressives

C’est l’automne et le moment où on voit et on entend les grandes bandes d’outardes se diriger vers le sud. On reconnaît leur ingéniosité pour leur façon de voler en formation V et ainsi économiser leurs énergies ou à leur cacardement qui servirait à encourager la bernache de tête.

N’en demeure pas moins que les bernaches du Canada sont des oiseaux très agressifs, même envers l’homme, surtout suite à la ponte de leurs oeufs. Il faut dire que plusieurs animaux sauvages s’intéressent de près (parfois même de trop près!) à la chose et que les outardes n’ont jamais guère d’autre choix que d’adopter un comportement hyper agressif pour dissuader les nombreux prédateurs qui tenteront de lui voler ses œufs ou ses petits, que ce soient les mouettes, les goélands, les corbeaux et bien sûr, son principal prédateur le renard arctique.

Quand elle sent une menace, la bernache ouvre alors grand ses ailes pour se donner toute l’envergure et tout le panache possibles, en sifflant bruyamment et en assénant des coups de bec et d’ailes à la tête de son prédateur, que ce soit un ours, une mouette… ou un humain!


Fallait y penser

  • C'est toujours quand il y a un temps mort qu'il faut tuer le temps.
     
  • Si veux parler à Dieu, arrête-toi, trouve un endroit calme et parle-lui. Si veux le voir … envoie-lui un texto en conduisant.
     
  • Quand on est mort, on ne sait pas qu’on est mort : c’est pour les autres que c’est difficile. Quand on est con, c’est pareil !

Le truc du mois
Des utilisations différentes de la fécule de maïs

On connaît tous les utilisations courantes de la fécule de maïs (bicarbonate de soude), comme par exemple, pour épaissir des sauces. Mais ce produit possède des propriétés qui offrent beaucoup d’autres utilisations dans la vie courante. En voici deux.

Enlever des taches sur un tapis ou un fauteuil

Pour enlever une tache de gras sur un fauteuil ou un tapis, saupoudrez la tache avec de la fécule de maïs. Laissez reposez toute une nuit, puis enlevez avec un aspirateur.
La fécule de maïs aura alors absorbée le corps gras et l'excès de graisse.

Atténuer les bruits de plancher ou d'escalier qui grince

Si votre plancher de bois ou vos marches d’escalier grincent, la fécule de maïs peut aussi vous aider. Saupoudrez généreusement le tout avec de la fécule de maïs et à l'aide d'une brosse fine, faites pénétrer la fécule de maïs dans les jointures et petites fentes.

La fécule de maïs va s’insérer dans les interstices et jouer le rôle d’assouplissant en permettant aux deux morceaux de bois qui entrent en contact l’un avec l’autre de glisser plutôt que de frotter. Vous pourrez ainsi atténuer les craquements et autres bruits de grincements.


Peut-être l’avez-vous connu …

Cette chronique « Peut-être l’avez-vous connu … » vise à souligner le décès d’un(e) ancien(ne) de l’ITA ou quelqu’un de proche de l’Institut. Si vous connaissez quelqu’un qui a fréquenté l’ITA ou qui a un lien avec notre Institut et qui est décédé, vous pouvez nous faire parvenir de l’information (vérifiable) au sujet de cet événement via notre courriel : associationanciens.ita@gmail.com .

Madame Josée Salerno – À l’âge de 48 ans, madame Josée Salerno est décédée le 12 octobre dernier à l’hôpital Sainte-Croix de Drummondville des suites d’un cancer. Mme Salerno avait fréquenté l’ITA, campus Saint-Hyacinthe en 1991-1992 et avait repris ses études pour obtenir son diplôme (GEEA) en 2001. La défunte laisse dans le deuil son conjoint Marc-Alexandre Morin et ses deux fils Yan et Bruno.

 

Une pensée !


Nos offres d’emploi ce mois-ci

Vous avez une offre d’emploi ou vous connaissez quelqu’un qui recherche du personnel qualifié? L’Association des anciennes et anciens de l’ITA qui regroupe tous les diplômé(e)s des campus St-Hyacinthe et La Pocatière, peut vous aider via son service d’offres d’emploi. Visitez nos deux sites internet aux adresses suivantes : http://www.anciensita.ca/saint-hyacinthe ou http://www.aaaita.ca/ ou communiquez directement avec l’une des deux associations au : (450) 778-6504 poste 6298 ou (418) 856-1110 poste 1378. Il nous fera plaisir de vous aider. Nos offres d’emploi sont maintenant aussi diffusées sur Facebook.

Offres d’emploi disponibles actuellement:

Nous joindre

Campus de
Saint-Hyacinthe

3230, rue Sicotte (Local AA-205)
Saint-Hyacinthe (Québec)
J2S 2M2
450-778-6504, poste 6298
associationanciens.ita
@gmail.com

Facebook

Campus de
La Pocatière

401, rue Poiré
La Pocatière (Québec)
G0R1Z0
418 856-1110 poste 1378
permanence.anciens
@gmail.com